2eme place 13

Babes

2eme place 13(trouver sur le net)dernier chapitreDanielle se pressait vers la salle de conférence, son cœur battait la chamade. Les PDG des plus grosses entreprises locales étaient déjà arrivés. Si la fusion se passait bien, elle serait assez riche pour prendre sa retraite!La jeune cadre était un peu en retard… elle venait de finir de recevoir les services de Terri dans les toilettes de l’entreprise. La bimbo l’avait particulièrement bien léchée ce matin, et Danielle réfléchissait à ce qu’elle allait faire d’elle. La petite salope devait espérer que si la fusion se faisait, Danielle serait suffisamment riche et influente pour qu’elle ne s’embête plus à l’exploiter et à la faire souffrir.Ce qui convenait très bien à Danielle — oh, oui! La cruelle patronne y pensait même avec plaisir. Elle adorait quand sa petite pute prenait confiance, puis comme il était amusant de chaque fois réduire ses espoirs en poussières. D’ailleurs, Danielle avait été extrêmement occupée dernièrement, des fois même trop occupée pour torturer Terri. Les affaires marchaient du feu de Dieu depuis que Danielle avait été promue. La contrepartie était qu’elle était très fatiguée ces derniers temps. Elle se réveillait certains matins en ayant l’impression de n’avoir pas dormi. Des jours comme ça, elle souhaitait rester au lit, et que sa malheureuse esclave soit aux petits soins pour elle (et pour sa chatte, et son cul…)Danielle se rappela que si la réunion se déroulait comme prévu, elle serait plus riche qu’elle ne l’avait jamais rêvé. Une heure et demie pour conclure une vente, et elle aurait sa vie entière pour poursuivre sa vendetta de supplices et d’humiliations sur Terri.En parlant d’elle, Danielle remarqua que Terri s’activait discrètement autour la salle de conférence installant les supports visuels. Après avoir fait jouir sa patronne avec sa talentueuse langue, la plantureuse secrétaire avait été chargée de la préparation de la salle de la conférence, pendant que Danielle se reposait épanouie et vautrée sur les lavabos des toilettes.En entrant dans la salle de conférence, Danielle fut étonnée de voir le nombre de supports visuels qui n’étaient pas encore installés. Quelle FOUTUE conne! Elle traînait des pieds exprès. Terri se déplaçait timidement autour de tous les PDGs rassemblés. Putain de merde, salope, aurait voulu crier Danielle, tu as BAISÉ un peu près tous ceux présent dans cette pièce, pourquoi devenir timide tout un coup?Danielle attrapa par l’épaule son assistante : « Tu vas payer pour ça, sale chienne. As-tu AU MOINS installé le vidéo projecteur et chargé les diapos? »Terrifiée, Terri hocha la tête en regardant l’appareil. « D-d-désolée, Madame, il est là, je vais… » La bimbo saisit une pile de diagrammes, mais Danielle la repoussa de son bras. Le résultat fut que Terri fit tomber la pile de feuilles sur le sol.La voix de Danielle se transforma en un chuchotement mortel, un chuchotement qui promettait de la douleur, des humiliations extrêmes et des supplices pour plus tard. « Sors d’ici salope incapable. Attends-moi dans mon bureau. Tu sais quoi faire quand tu y seras.— O-oui, je –— DEHORS. »Terri se précipita pour sortir du champ visuel de sa patronne, Danielle s’adressa aux PDGs réunis avec un sourire d’excuse. « Désolée, messieurs, mesdames. Un léger contretemps. Nous allons commencer presque tout de suite… » Intérieurement, elle était furieuse contre Terri. La bimbo idiote ne pouvait même pas suivre les instructions les plus simples! Danielle dut se faire v******e pour écarter sa salope de secrétaire de son esprit. Elle réglerait son compte avec la putain plus tard. Elle devait d’abord conclure le contrat, et faire fortune… Elle ramassa les diagrammes et remit tout en ordre.Que le spectacle commence! Danielle se concentra et marcha jusqu’au pupitre.Elle se rappela soudainement la fois où elle avait forcé Terri à se tenir derrière ce pupitre dans des dessous en dentelle, face aux membres de l’entreprise et qu’elle avait dû faire un exposé sur les façons dont elle-même, la salope de l’entreprise, pouvait être utilisée plus efficacement… la patronne savoura cette pensée un moment, l’utilisant pour se relaxer. On conseille souvent aux personnes ayant peur de parler en public d’imaginer son auditoire en sous-vêtements ; pour Danielle ce qui marchait le mieux était de se rappeler sa pauvre salope d’assistante en sous-vêtement en train de se faire violer et humilier. Et elle commença. — Pendant ce temps, dans le bureau de Danielle, Terri complètement nue retirait la rosette “Deuxième place” du mur et se l’épinglait sur son téton percé. ——- « Nous avons conclu de nombreuses affaires ces dernières années. » Danielle regardait son public « Et il est temps d’amener nos relations affaires à tout autre niveau… » —— La bimbo glissait le gode “Bobby” dans sa bouche pour le lubrifier et l’enfoncer plus facilement dans son cul… —— « …nous avons préparé un exposé qui démontrera où nous en sommes maintenant… et où nous serons un an après la fusion… » ———– Terri se dépêchait de passer quelques appels et d’accomplir certaines tâches. —— Danielle saisit la télécommande et pressa le bouton de mise en route. Dans la cabine, le projecteur s’alluma et afficha un diagramme et une série de tableaux. « Comme vous pouvez le voir ici, nous avons commencé avec une base de client de moins de dix pour cent » elle cliqua sur la télécommande « et les six mois suivants… » —Presque collectivement, tous ceux réunis à la table de conférence en eurent le souffle coupé. — « une augmentation intense! cela a continué, comme vous pouvez le voir… » Danielle jeta un coup d’œil à l’écran…—— toutes ses tâches accomplies, Terri mit la fonction haut-parleur de la salle de conférence en marche, qui servait aussi a communiqué avec la salle. Alors elle prit sa place sous le bureau de Danielle, se baisant avec le gode pendant qu’elle écoutait ——… D’abord, son cerveau n’accepta pas ce qu’elle voyait. « Pendant le trimestre suivant quand… quand… à continuer dans le suivant…suivant… » Son cerveau avait accepté. Sur l’écran, il y avait une diapo d’une femme qui était sans le moindre doute Danielle. La partie choquante n’était pas qu’elle fut complètement nue…ce qui était choquant était qu’elle était dans une sorte d’étable en train de se faire baiser par un âne.Danielle en eut le souffle coupé et resta incrédule devant l’image. Elle n’avait jamais fait ce genre de chose! Pensa-t-elle les idées confuses. Quelqu’un devait avoir fait un montage — Terri…la SALE GARCE… Elle cliqua sur le bouton “off” de la télécommande. Ça ne marcha pas.« Um…um…cela à continuer au trimestre suivant… » elle essaya d’autres boutons, devenant de plus en plus désespérée. Finalement, elle réussit à faire passer l’affreuse diapo du projecteur… mais pour qu’une autre prenne la place. Cette fois, on voyait Danielle en train de sourire à l’appareil photo, le gros a****l la montant par derrière (clic) cette fois, Danielle était entourée d’hommes, et plus précisément par leur bite bien dure.« Non…attendez une seconde…um…nous avons… um… un problème technique… » Accablée, elle cliqua encore sur la télécommande, qui montra une nouvelle image, celle-ci presque identique à la précédente, à part que la fille avait fait jouir tous les hommes, la preuve en était sur son visage dégoulinant de sperme et son corps maculé de foutre, elle était étendue une expression de défonce et de vide sur le visageSe battant pour vaincre sa gêne, sa rage, et son sentiment de panique, Danielle se força à se calmer suffisamment pour réfléchir. Bien sûr! Le panneau de contrôle dans le pupitre! Elle se mit à genoux et ouvrit la boîte de contrôle. Elle vit l’option “MODE”, avec un interrupteur alternant entre “DIAPO” et “VIDEO”. Elle le bascula, et l’horrible image disparut de l’écran, remplacée par un écran bleu, et vide, à l’exception du mot VIDÉO en grandes lettres vertes amicales.Lentement, elle se releva pour regarder les personnes présentes à la réunion, elles étaient assises et abasourdies. « Um- » Danielle se racla la gorge. « M-mesdames et messieurs… il semble que quelqu’un m’ait fait une… une très mauvaise blague, et…et a essayé de saboter cette réunion. » Des regards compréhensifs s’affichaient sur quelques visages. Bien…c’était bien ça Danielle, pensa-t-elle. « Vous m’excuserez un moment, restez assis, je vous en prie… et je reviens tout de suite. » Oui… je jette mon assistante par la fenêtre et je reviens, pensa-t-elle, une rage meurtrière couvant en elle alors qu’elle quittait le pupitre.Elle ne fit que trois pas avant d’être stoppée dans sa marche par le son de sa propre voix.« Oh oui, BROUTE-MOI salope! J’ai toujours su que t’étais une petite lesbienne refoulée, comme moi, OUI!!! Je sais que t’en as envie, enfonce ta langue et bouffe moi!!! OHHHHHH OUI BOUFFE-MOI!!!!!! » l’écran bleu avait été remplacé par un film amateur fait par Danielle et Carrie. En effet, un soir, Danielle était finalement parvenue à faire accepter à Carrie ses “désirs secrets” comme elle les appelait, et les deux avaient passé la nuit entière ensemble. Danielle avait tout enregistré sur cassette… et c’était maintenant diffusé devant les PDGs de chaque entreprise avec qui elle faisait affaire.« Oh… » hoqueta la directrice financière d’une des plus grosses compagnies d’assurance d’Amérique. « Dégoûtant. » confirma le président de la plus puissante institution financière de la ville. Tous les autres étaient silencieux. Les mains de Danielle se déplaçaient de façon incohérente, pendant qu’elle restait immobile dans son costume à 800 dollars. Sa bouche bougea, mais aucun mot n’en sortit. Son pendant sur le grand écran n’avait pas ce genre de difficultés. Elle expliquait à son amante, avec des détails explicites, exactement ce qu’elle envisageait de faire avec son vibromasseur en argent qu’elle utilisait alternativement pour se caresser les nichons et le passer dans sa bouche. Carrie gémit de plaisir anadolu yakası escort et retira sa langue pendante de la chatte de son amie.« Bon, » déclara l’un des PDG avec un ton de fin de réunion. Danielle ne sut même pas lequel. Et elle s’en fichait. Elle était au milieu de la pièce, son visage rouge de rage, gênée et hystérique. Elle fit un grand effort sur elle-même, redescendit ses mains le long de son corps et se dépêcha de sortir de la salle… pendant que la Danielle à l’écran s’enquérait de savoir si son amoureuse lesbienne préférait d’abord recevoir sa langue ou le vibro sur son clitoris gonflé de gouine salope?« TERRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRIIIIIIIIIIIII!!!!!! » s’écria-t-elle alors qu’elle fonçait vers son bureau retrouver cette chienne.—————— De sa place, sous le bureau de Danielle, Terri avait tout entendu, et pendant tout ce temps, elle s’était pistonnée furieusement avec le gode. Des va-et-vient dans son cul, mais elle s’était aussi autorisée un doigtage à trois doigts dans sa chatte visqueuse. Quand les choses avaient commencé à s’écrouler pour Danielle, l’esclave soumise avait senti que sa chatte était sujette à un besoin pressant et irrésistible, et quand Danielle avait crié son nom dans un cri de rage (elle l’avait entendu du haut-parleur, et du fond du couloir), Terri avait joui plus violemment qu’elle ne l’avait jamais fait de sa vie. —————–Danielle prit d’assaut son bureau. « OÙ TU TE CACHES SALE CHIENNE??? » rugit-t-elle. Le silence seul lui répondit.Bien sûr… la connasse avait dû fuir le bâtiment. Eh bien, pensa Danielle sombrement, elle fuirait la police aussi, et dès ce soir.« Je vais t’arranger ça, petite salope, » éructa Danielle à haute voix. Elle s’assit à son bureau et récupéra son carnet d’adresses, cherchant le nom d’un officier de police qu’elle connaissait. Ce fut à ce moment qu’elle eut un autre choc :Toutes les fiches avaient été enlevées… Le carnet d’adresses était vide.Enfin, pas tout à fait vide. Placé dans la section XYZ, il y avait une pile de cartes et un post-it… Tremblante Danielle se mit à le lire.« Les cartes de vœux de Nouvel An sont toutes envoyées, tu n’auras plus besoin de tes fiches! J’ai utilisé le tour que tu m’as appris l’année dernière! (Son sang se glaça, elle se rappela les photos de Terri dans des situations humiliantes ou vicieuses, qu’elle avait envoyées à tous les proches de sa secrétaire.) Je pensais que tu voudrais peut-être consulter les quelques copies que j’avais en trop, elles sont là! N’est-ce pas SUPER de retrouver ta seconde place, poulette? Amitiés Terri. »« Non… » marmonna Danielle, maintenant blanche comme un linge. Elle déchira la ficelle du paquet de cartes de vœux… et recula avec horreur en les regardant.Carte #1, adressée aux parents de Danielle : une autre photo de Danielle avec un âne. Avec une légende en calligraphie élégante : “Je voulais m’assurer que “monté comme un âne” n’était pas une simple expression! Je vous aime, votre fille, Danielle.”Carte #2, adressée à un des PDGs qui aurait dû être le futur partenaire d’affaire de Danielle : Une photo de Danielle se faisant brouter par Carrie. La légende : “Dommage que tu ne puisses pas me faire ça, vieux schnock impuissant! Mais ce sera un plaisir de prendre le pognon de ta boîte cette année encore! D’ailleurs, j’ai vraiment adoré te plumer de 21.000 dollars sur le contrat Mercedes! Meilleurs vœux, votre partenaire favorite, Danielle… “Carte #3, adressée à la sœur de Danielle : Danielle prise en levrette par un ado. La légende : C’est mon nouveau mec. Dans deux ans il sera assez vieux pour voter! Ta sœur chérie.”« Non. NON!!! » se répéta la maléfique femme. Elle n’avait jamais vu ce garçon avant…ni l’âne… « Non… ce sont des faux…ce— » Un souvenir lui revint soudainement à l’esprit. La semaine dernière, alors qu’elle finissait de dîner, sa salope de servante se dépêchait de nettoyer la table… Et Terri lui avait jeté un regard étrange pendant qu’elle buvait son verre de vin.Puis, malgré tous ses efforts, Danielle NE SE SOUVENAIT D’ABSOLUMENT PLUS RIEN entre ce verre de vin et le matin suivant…elle avait supposé alors qu’elle était simplement beaucoup trop fatiguée ces derniers temps. Mais elle réalisait maintenant ce qui s’était passé…« Tu m’as drogué, » murmura la cadre avec un mélange de peur et de respect.C’est alors que Danielle eut une surprise plus grande encore, elle sentit sa jupe se faire remonter, et sa culotte se faire retirer… puis la langue de son esclave retrouver ses marques sur son berlingot, comme elle l’avait fait tant de fois au cours de ces dix-huit derniers mois.Mais cette fois, ce fut différent. Cette fois, la jeune femme utilisait tout ce qu’elle avait jamais appris pour baiser sa patronne avec sa langue de lesbienne.Et quand Terri partie à l’assaut du clito de sa maîtresse, Danielle perdit tous ses attributs moteurs. Elle s’affaissa dans sa chaise et frissonna sans plus pouvoir se contrôler.Alors la secrétaire poussa la chaise loin d’elle. Sa patronne ouvrit de grands yeux, et haleta sous le coup de la perte de la sensation merveilleuse que lui procurait la langue de Terri. Celle-ci retira le godemiché de son cul et le fourra dans la bouche ouverte de sa supérieure. Danielle s’étouffa et essaya de la repousser, mais son assistante la combattit sans relâche ; la chaise de Danielle bascula, faisant tomber Danielle dos au sol. L’horrible femme d’affaires sentit sa tête lui tourner, son esclave ne relâchait pas la pression du gode dans sa bouche.”Mon dieu, elle veut m’étouffer à mort, ” pensa Danielle désespérée. Mais les mots que prononça Terri lui donnèrent tort :« Suce ça, jusqu’à ce qu’il soit propre, sale chienne… »Danielle, les yeux affolés, secoua la tête de gauche à droite “NON. ” Alors, Terri enfonça le jouet au goût fétide plus loin encore. Le sommet du gode lui chatouillait l’entrée de sa gorge, et rendait son étouffement de plus en plus probable. « MMMM HMMMMM » gémit Danielle avec force.Terri laissa le gode reculer de deux ou trois centimètres. Danielle lui en fut reconnaissante et elle se mit à sucer.« Mon cul à bon goût, espèce de garce? » se moqua Terri.Danielle hocha faiblement la tête. Une fois que cette salope la relâcherait, elle décrocherait le téléphone et appellerait la police. La jeune Terri passerait alors ses plus belles années comme jouet sexuel pour lesbienne dans une prison pour femme. Et alors qu’elle salivait et léchait l’infâme gode puant, Danielle se dit que Terri goûterait sans doute à pire —BIEN pire— et de façon quotidienne pour le reste de sa vie.Son assaillante s’écarta soudainement d’elle. Danielle recracha le gode et se pencha pour déglutir dans le vain espoir de chasser l’atroce saveur de sa bouche, quand elle vit pourquoi Terri s’était reculée… Scott, Angela et plusieurs des principaux bourreaux de Terri durant l’année et demie écoulée venaient de se pointer. Ils étaient debout, au milieu du bureau de Danielle, et pas bien sûrs de savoir quoi penser de ce qu’ils voyaient. Terri était debout complètement nue à l’exception de sa rosette “Deuxième place” épinglée sur son téton. Elle les regardait avec défiance, eux et Danielle.Conjurant toutes ses forces, Danielle cracha aux nouveaux venus : « Qu’est-ce que vous attendez?! Saisissez là et amenez à la réserve. On va s’amuser avec elle avant de l’envoyer en prison. »Scott se déplaça vers Terri, qui leva une main, attirant l’attention sur ses ongles extra-longs et effilés. « Approche-toi de moi, et je te crève un œil, enfoiré. »Scott s’arrêta sur ses pas, constata l’intensité qu’il y avait dans le regard de Terri. Il avait dominé et possédé Terri des centaines de fois par le passé… Mais c’était une Terri qui était soumise et à qui l’on pouvait imposer de faire absolument tout ce qu’on voulait. Une Terri qui, par ailleurs, passait quatre jours par semaine au club de sport, pas seulement pour servir d’attraction visuelle et de jouet à baise, mais aussi pour conserver son corps déjà bien foutu sans graisse et dans une condition physique supérieure. Une Terri à qui Scott n’était plus trop sûr de vouloir chercher des noises.Danielle avait retrouvé son calme. « Terri…tu vas venir avec moi, » déclara-t-elle d’un ton qui laissait deviner toute la rage qui battait en elle. « D’abord tu t’excuseras auprès de tous ceux qui étaient présents à la réunion. Ensuite on reviendra à la maison, et tu t’excuseras à MOI. Puis l’on décidera si, oui ou non, on jette ton cul dans une prison jusqu’à la fin de ta vie. »Terri ne bougea pas« TOUT DE SUITE, salope. Ou j’appelle les flics, je jure que je vais le faire… »La secrétaire ne bougeait pas d’un pouce, pleine de fierté et de défi, plus qu’elle n’en avait jamais eu tout au long de ces dix-huit derniers mois.« Est-ce que je dois te rappeler, grogna Danielle, tous les comptes illégaux qui sont à TON nom, et à TON nom seulement? Et… bordel… la drogue, Terri? J’en ai tellement caché dans ta voiture que tu en prendras pour vingt ans. Oh, je sais, tu PENSES avoir tout trouvé et l’avoir jetée aux égouts. Et d’ailleurs, tu vas devoir faire beaucoup de trottoirs pour me rembourser ÇA. La drogue… le blanchiment d’argent… la prostitution… Tous ces comptes dans des paradis fiscaux. Tout mène vers TOI. Tu croyais que je bluffais quand j’ai dit que si tu m’emmerdais, je t’écraserais?Terri riait doucement. Cela faisait enrager Danielle« EST-CE QUE— TU TROUVES ÇA DRÔLE? PETITE PUTE DE BIMBO!? TU PENSES QUE JE NE VAIS PAS APPELER LES FLICS ET DÉTRUIRE TA VIE???? JE PEUX LEUR RACONTER CE QUE JE VEUX! JE SUIS UNE FEMME D’AFFAIRES RESPECTÉE DANS CETTE VILLE. TU ES LA PUTE DE L’ENTREPRISE!! QUI EST-CE QU’ILS VONT CROIRE, SALOPE? J’AI FOUTU EN L’AIR TON MARIAGE ET TA VIE M’APPARTIENT!!! TU PENSES QUE C’EST DRÔLE???? JE VAIS LES APPELER, CONNASSE!!!!! »Terri se marrait ouvertement : « Appelle-les si tu veux, Danielle… »« MADAME!!!! TU DOIS….ON T’A DIT DE TOUJOURS M’APPELER MADAME, ataşehir escort SALOPE DE MERDE!!!! »« Danielle, Danielle… Danielle… » la jeune femme chantait presque… rien que pour l’enrager.« JE VAIS LES APPELER…NE PENSE PAS QUE JE VAIS PAS LE FAIRE!!! » fulminant, elle prit le combiné et commença à numéroter. « Allo? » dit-elle, un peu confuse de ne pas entendre le bruit familier qui aurait indiqué qu’elle appelait un numéro extérieur.« …pour appeler l’extérieur, tu dois d’abord retirer la fonction “haut-parleur”… », expliqua Terri pleine de bonne volonté. « À moins… » la jeune femme en pleurait, n’ayant jamais autant ri depuis plus d’un an. « ..À moins que tu…tu veuilles que tous ceux présents à ton importante réunion ne t’entendent… »La maléfique patronne regarda l’écran LCD du téléphone, et se rendit compte que son assistante avait raison. Tout leur échange avait été retransmis aux PDGs encore présents dans la salle de réunion.Danielle rougit avec fureur, puis pâlit. Ses mains tremblaient si fort qu’elle dut s’y prendre une demi-douzaine de fois avant que son doigt ne presse le bouton “déconnexion” du téléphone.Bizarrement, elle demanda : « Comment as-tu pu…? » Terri ne s’abaissa pas à répondre. Pendant tout ce temps, Scott et son groupe restaient plantés là, regardant le feuilleton se dérouler.« Danielle…MADAME…Ne deviez-vous pas passer un APPEL??? » La voix de Terri avait l’intonation d’une pure bimbo blonde idiote à 100 %. « Vos mains tremblent. Voulez-vous que JE tape le numéro pour vous? » Terri rayonnait.« Je vais le faire sale garce, » croassa Danielle, « et tu vas regretter tout ça. Oh, tu vas tellement t’amuser en prison, Terri… » Avec entêtement, Danielle ignora le fait qu’elle venait de confesser avoir exercé un chantage et de l’extorsion sur Terri, devant plusieurs témoins.« Promets-moi qu’on prendra de longues douches bien savonneuses ensemble, chérie, » pépia avec bonheur la secrétaire. « Puisque tu seras tout près de moi après qu’ils aient vu ces photos de TOI… » Terri tira une enveloppe de la bibliothèque de Danielle et la jeta sur le bureau. Les photos s’étalèrent sur toute la surface du meuble…des photos de Danielle en train d’avoir des relations sexuelles avec un jeune homme.« Il n’a pas plus de seize ans, au cas où tu te poses la question, » expliqua Terri « C’est plutôt illégal dans cet État… » Le visage de Danielle était passé au vert. Qu’avait-elle fait d’autre pendant qu’elle était droguée?« Tu m’as droguée, sale pute, » jura Danielle. « Ça ne tiendra jamais. Et tu iras aussi en prison pour m’avoir droguée!— Oh… je ne crois pas. Mais, si tu en es si sûre, utilise le téléphone, Danielle. » Terri chuchotait ces paroles.— J’aurais un bon avocat. Il fera tomber les charges contre moi. On va te faire enfermer et on jettera la clef. Je le laisserais même te baiser pour m’amuser, » Danielle la menaçait… mais en réalité elle était terrorisée de la manière dont les choses tournaient.— Les bons avocats coûtent de l’argent, cocotte! Et tu n’en as pas!— Qu’est-ce — J’ai assez d’argent pour…— Oh, s’exclama Terri. J’ai oublié de te dire. Puisque tous ces comptes étaient à mon nom, j’ai empoché tout ce qu’il y avait dessus!— Toi. » Danielle était en surchauffe. « Toi. Toi. SALOPE!!!!!!! » Elle hurla, et fonça tête la première sur Terri. La jeune femme fit un pas de côté et agrippa une poignée de cheveux de Danielle, la faisant tournoyer sur un demi-cercle et, dans un choc retentissant, lui fit cogner le genou contre le bureau. Mais elle n’était pas hors combat : « Je vais te tuer…TE TUER!!!!! » S’exclama-t-elle, et elle fit reculer Terri jusqu’au mur derrière elle. Terri y prit appui et sauta sur son bourreau, lui griffant le visage et le cou de ses ongles rouges longs et pointus (que Danielle avait contraint à se faire pousser… une règle qu’elle regrettait maintenant). Terri visait les yeux… en colère la femme d’affaires saisit les poignées de Terri et les mordit aussi fort qu’elle pouvait. Terri se recula, manquant de peu de transformer le visage de Danielle en pâtée pour chien. D’une autre poussée Danielle fit tomber Terri sur ses fesses et la suivie au sol.Terri se remit à griffer, réussissant à déchirer la moitié du blazer de son ennemie. Celle-ci arrêta de se battre et regarda ses seins. Ils étaient à moitié exposés, bien ajustés dans son soutien-gorge en dentelle blanc, et visibles au travers du costume troué.« Traînée, » cracha-t-elle. « Il m’a coûté quatre cents dollars!— T’inquiètes pas, haleta Terri, t’en auras pas besoin pour ton prochain boulot, » ponctua-t-elle d’une gifle vicieuse en plein sur le visage de la femme d’affaires.— UGGGGHHHHHHH! » Cria Danielle, agrippant la rosette “Deuxieme place” et tirant aussi fort qu’elle pouvait. L’obscène nichon de la bimbo s’étira sur presque huit centimètres avant que l’épingle de nourrice ne soit arrachée du téton percé et libéré. Cela envoya aussi Danielle caracoler à reculons jusqu’à son bureau.Terri hurla alors. Du sang se déversait de son mamelon blessé. Mais elle n’avait pas le temps de s’en émouvoir. Elle se précipita sur son adversaire. Les deux continuèrent à se griffer vicieusement, s’entailler, se mordre et se donner des coups de poing l’une à l’autre. Scott et les autres restaient comme des statues attendant de voir qui allait prendre le dessus.Et l’on vit vite qui prit l’avantage. Terri s’était entraînée ces dix-huit derniers mois, une des conditions imposées par Danielle. En tant qu’esclave sexuelle et call-girl, elle avait l’obligation de garder son corps irréprochable et attirant. Danielle, elle, avait passé son temps étendu, à manger des sucreries et à se faire servir par son esclave. Elle en payait maintenant le prix, elle fut incapable de riposter quand Terri récupéra une paire de menottes d’un tiroir du bureau et l’attacha à une chaise.Terri reprit son souffle et s’adressa à son ancien bourreau.« J’ai des preuves pour tout. Chantage…viol…extorsion…tout, Danielle. » La secrétaire arracha un morceau du costume de sa patronne et le pressa contre son mamelon ensanglanté. « Si je les envoie à la police, tu seras à l’ombre pour longtemps.— Que…qu’est-ce que tu veux? croassa Danielle. » Elle avait du mal croire qu’elle prononçait ces mots.Terri présenta une petite liasse de papiers : « Ce sont tes parts dans l’entreprise. Il te suffit de signer pour les mettre à mon nom.— Non… » protesta Danielle. « Non…OUUUUUFFF!!!! » Terri frappa son adversaire d’un bon coup dans l’estomac.— Signe MAINTENANT. Ou je te détruis.— Tu ne… »Terri décrocha le téléphone et se mit à composer un numéro. « Oui…je voudrais déposer une plainte…uh-huh…oui…um…chantage.. viol…trafic de drogue…oui, je peux… »Terri fit une pause en entendant un bruit étrange. Il lui fallut un moment pour comprendre que c’était les sanglots de Danielle, qui prit un stylo et signa. Satisfaite, Terri raccrocha.« Tu ne t’en sortiras pas comme ça, souffla Danielle. Scott…Angela…aidez-moi. »Terri leva la main. « Ils ne travaillent plus pour toi, salope… » elle agita la liasse de papier. « C’est *moi* qui détiens la majorité des parts de l’entreprise, » comme elle finissait de bander son téton, Danielle retrouva ses réflexes de femme d’affaires.« C’est… c’est absurde! » l’ancienne patronne en appela à ses troupes. « C’est…Elle m’a forcée à signer…Je l’ai f-fait sous contrainte! Ça n’a aucune valeur devant la loi… » Mes ses ex-employés regardaient Danielle en ayant l’air de ne plus vouloir avoir à faire avec elle. « S’IL VOUS PLAÎT, ÉCOUTEZ-MOI! Sortez-moi de là… » elle fit cliqueter ses menottes, « et l’on déchirera ces papiers… puis on mettra Terri en morceaux aussi— » L’idée de passer la traînée à travers le broyeur, ses nibards en premier était très réconfortante « On sera…ce sera comme avant! JE VOUS LE JURE!!! SCOTT!!! ATT**** CETTE CHIENNE ET ATTACHE-LA… JE TE PROMETS QUE JE PEUX TOUT ARRANGER!!! FAIS CE QUE JE DIS OU JE TE VIRE!— Tu n’as plus aucune autorité, Danielle, expliqua Terri. Tu es juste la bimbo en deuxième place. Et puis…tu crois vraiment qu’ils voudraient aider quelqu’un qui s’apprêtait à les entuber? »Danielle devint livide comme un cadavre.« Qu’est-ce que tu racontes? demanda Angela soupçonneuse.— Dis-leur, cocotte! » Terri poussa Danielle, qui secouait la tête et semblait sur le point de tomber malade. Comme aucune réponse cohérente ne vint de sa part, Terri en donna une : « Notre chère petite Danielle comptait vendre l’entreprise…et vous mettre tous à la rue…— S’il te plaît… chuchota Danielle.— C’est vrai? demanda Angela incrédule.— Elle MENT! répondit Danielle. Angela… tu ne vas pas quand même pas croire la parole de la pute de l’entreprise????— Oh… ce n’est pas MA parole que vous devez croire, mais ça… » Terri tendit à Angela un tas de papiers. Avec sur le dessus un ticket d’avion hors du pays (Danielle avait expliqué à une Terri pétrifiée qu’elle voyagerait dans la soute à bagages, enfourner dans une caisse en bois.) « Lisez donc… »Danielle était blême : « S’il te plaît Terri… »Angela lu brièvement et ses pupilles se rétrécirent, puis s’enflammèrent en regardant Danielle : « Sale petite CONNE. J’ai dévoué des ANNÉES à cette boîte. » Elle passa les documents incriminants à son mari et à ses amis, qui les regardèrent, eux aussi choqués et en colère.Terri prit la parole : « Vous n’étiez rien d’autre que des marchepieds pour Miss PDG. Toi…Scott…vous tous— Eh bien, PLUS MAINTENANT! Sale garce… » Angela marcha de façon très menaçante vers Danielle qui se recroquevillait sur sa chaise.— A-Angela…écoute… »La femme en furie continuait d’avancer vers son ancienne responsable, jusqu’à ce que Terri lève la main.« Attends encore une minute. »Angela se tourna vers la salope de l’entreprise. « Ne me dis pas ce que j’ai à faire. Tu te prends pour QUI?— Ta patronne, » répondit sans en avoir l’air la jeune femme dénudée. Et Angela réalisa que c’était vrai.— Alors…je ümraniye escort démissionne. Scott et les autres murmurèrent leur accord.— Oh, c’est inutile. À la minute où l’on m’a transféré les parts de la société, vous étiez déjà tous virés. Mais… que diriez-vous d’une *solide* indemnité de licenciement? 200.000 dollars chacun par exemple? »Cela capta toute leur attention.« Ouais, c’est ça. Elle essaie de vous embobiner, » les avertit Danielle, cherchant désespérément à retrouver quelques considérations auprès de ses anciens employés.Angela hocha la tête partageant son scepticisme. « Mouais… et où est l’arnaque? Pourquoi est-ce que tu voudrais…eh bien…nous laisser nous en tirer comme ça… après…— Après que vous m’ayez utilisée comme esclave, m’ayez violée, m’ayez torturée? » Finit Terri à la place de l’autre femme sans que sa voix ne laisse entendre de colère. Angela hocha la tête, son visage semblant finalement renvoyer une petite trace de honte. « Tout simplement parce que… j’ai besoin de votre aide pour régler un compte avec notre merveilleuse planche à pain. » Terri tapota le haut du crâne suintant de Danielle.« Mais…Terri… »Impatiente, la jeune femme secoua la tête. Elle rassembla ses vêtements et commença à se rhabiller.« Vous êtes intéressés ou pas? »Angela, Scott et le reste des gars partagèrent quelques regards entre eux, et aux papiers qui accusaient Danielle d’avoir voulu les baiser. Un par un, ils hochèrent la tête.« Bien, » en prit note Terri. « J’ai besoin que vous gardiez Mademoiselle Danielle occupée ici pour un petit moment. » Il n’y avait pas de doute quant à ce que l’ancienne chaudasse de secrétaire voulait dire par “occupée”. Elle retira la culotte de son ancienne patronne, la roula en boule, et la fourra dans la bouche de Danielle— « Ne t’avise pas de la recracher, salope, » la prévint-elle avec une violente gifle — puis elle s’assura que la bouche de Danielle reste justement bien fermée avec un morceau de ruban adhésif. Enfin, elle défit les menottes et les utilisa pour attacher les mains de Danielle derrière son dos.Terri se pencha en avant et chuchota quelque chose à l’oreille de son ancien bourreau. Celle-ci écarquilla les yeux et se mit à crier à travers son bâillon de fortune.« Tu restes avec moi, » ordonna Terri à Angela. « Att****-moi cette boîte là-bas. » En sortant elle fit un signe de tête à Scott, Daniel et au reste des hommes. Ils se dépêchèrent de se déshabiller et de fondre sur une Danielle anéantie.Elle se démenait fébrilement pendant que chaque homme prenait son tour avec elle. Ses cris de détresse étaient étouffés par sa culotte et n’en ressortaient que des gémissements… Terri l’avait bien bâillonnée.Danielle était abattue.Danielle était impuissante.Pire que tout, Danielle était incapable de prévenir les hommes que ces trois derniers mois, Terri avait remplacé ses pilules contraceptives par des médicaments pour s’assurer la fertilité…remblante, Angela à ses côtés, Terri frappa à la porte. Elle espérait presque que personne ne soit à la maison. Mais elle entendit des bruits de pas se rapprocher, et elle prit une grande inspiration quand la porte s’ouvrit.C’était Steven. « Qu’est-ce que tu veux? Tu n’es pas censée être ici et tu le sais.— Steven, je dois te dire quelque chose—» commença Terri.Alors la porte s’ouvrit un peu plus, et Steven fut rejoint par sa femme Carrie. Elle passa un bras autour du cou de son mari. « Qui c’est chéri? » puis elle vit. « TOI. BARRE-TOI DE NOS VIES! IL Y A UNE INJONCTION D’ÉLOIGNEMENT CONTRE TOI, SALOPE PSYCHOTIQUE! » Elle tira Steven par la manche. « Chéri, appelons les flics. »Terri l’ignora. « Steven… je dois te dire quelque chose. Ça ne prendra pas longtemps.— Il n’y a rien à dire. Fais-moi plaisir et pars d’ici avant que je prévienne la police. » La voix de Steven était froide… comme s’il ne l’avait jamais connue. Comme s’ils n’avaient pas fait l’amour sur une plage d’Hawaï jusqu’à ce que le soleil se lève…Steven se tourna pour s’éloigner, Carrie le tirant presque.« Attends, » déclara Angela de derrière Terri. « Um…Steven, je crois que vous devriez écouter ce qu’elle a à vous dire. »Carrie semblait inquiète. « Quoi…qu’est-ce que…? Qu’est-ce qui se passe? » Elle tirait son mari. « Steven… tu n’as pas à…nous…nous n’avons pas à écouter ça! Laisse-les… »Mais Steven écoutait. C’était l’heure de vérité, pensa Terri :« Steven…Tu te souviens de Danielle? »Épilogue 1 : À la croisée des cheminsDanielle quitta la ville peu après le “Jour du Changement”. Deux semaines plus tard, elle vomit son petit-déjeuner. Huit mois et demi après ça, elle donna naissance à quatre bébés…de trois pères différents.Étrangement, Angela et Terri développèrent une sorte d’amitié après le “Jour du Changement”. Elle se développa après que Terri ait tout expliqué à Steven, sous les protestations de plus en plus frénétiques de Carrie. Steven était resté debout, à lancer des regards entre sa femme et son ancienne femme, ne sachant qui croire. Angela était intervenue et avait expliqué que, oui, tout ce qu’avait dit Terri était vrai. Carrie s’époumona contre Angela, qui en retour bouscula l’aboyeuse pour la faire tomber sur son cul sans autre forme de procès. « Je n’ai jamais aimé cette salope de toute façon, » confia-t-elle pendant que les deux femmes formant un étrange couple entraient dans la maison, et que les cris derrière elles s’intensifiaient.Steven jeta Carrie dehors et annula rapidement son mariage. Depuis, Carrie vit toute seule et passe le plus clair de son temps soit à comploter pour récupérer “son” homme, soit à mettre au point sa vengeance. Pour l’instant, elle n’a pas encore réussi à décider de sa cible : Terri pour avoir foutu en l’air son mariage, ou Danielle pour avoir laissé Terri reprendre le dessus.Au cours des jours suivants, Terri et Steven eurent de nombreuses discussions à cœur ouvert. À la fin, ils décidèrent de poursuivre leur vie, chacun de leur côté. Ils jugèrent aussi que quoi qu’il arrive, Terri devait garder sa poitrine. Ces deux-là eurent une baise d’adieu qui pourrait être une histoire en elle-même : pleine de sperme, de sexe effréné et de sauvagerie.Épilogue 2 : TerriTerri s’assit à son bureau, regardant les contrats qu’elle avait conclus. Une nouvelle Terri, un nouveau travail sur une nouvelle côte… et les mêmes résultats. Le dernier contrat qu’elle était parvenue à faire signer, il y a tout juste dix minutes, avait été particulièrement délicat. Le client avait hésité entre son entreprise et une autre. Et le plus beau dans cette affaire avait été Michelle. Michelle était quelqu’un qui était rapidement devenu la rivale la plus féroce de Terri. Ces deux s’étaient battues des jours sur ce contrat et Terri avait eu le dessus.T’as encore ce qu’il faut pour être la meilleure, se félicita-t-elle.Terri avait beaucoup de choses à faire. Le contrat devait aller au service juridique… sans compter les besoins en employés dont le DRH devait être immédiatement informé. Mais chaque chose en son temps… Se tournant vers son ordinateur, la jeune femme commença un e-mail :« Chère Michelle:Désormais, Burress Corp m’appartient. Tu pensais vraiment que ta robe fendue allait faire une différence? Si c’est tout ce que tu es capable de trouver, alors mon arrivée en ville va être durable et prospère! Mais en tout cas, félicitation pour être arrivé en deuxième pl…Terri fronça les sourcils et s’arrêta d’écrire. Puis elle commença à appuyer sur la touche [delete]. Finalement, elle resta appuyée dessus et supprima tout, sauf le message de salutation. Une fois cela fait, elle se mit à écrire à nouveau, en y mettant beaucoup plus de réflexion.J’ai eu Burress. Mais vous avez été sur le coup jusqu’au bout…merci! De la vraie compétition permet de rester sur le qui-vive.Alors, écoutez… j’ai pour le moment un certain nombre de clients potentiels dont je n’ai pas le temps de m’occuper. Ce sont de petites boîtes qui ne sont pas sur le marché que je vise, mais qui pourrait vous intéresser. Je serais heureuse de vous en donner les coordonnées.Parlons-en au cours d’un dîner. La gagnante paie!Terri.Une nouvelle ville…un nouveau départ. Peut-être une nouvelle amie…. ou plus que ça, pensa Terri. Cette robe fendue sur le côté n’était pas passée inaperçue… et pas que par les cadres de chez Burress Corp.Elle dut faire un effort pour repousser ses fantasmes effrénés tournant autour de Michelle. Puis elle revint aux contrats.« Et puis merde, » dit-elle tout haut après en avoir lu une page. « Ça attendra demain. » Le bureau était silencieux. Tous les employés étaient rentrés chez eux, réalisa Terri.Ç’avait été une dure journée. Et Terri avait besoin de se détendre tranquillement au club de fitness. Du tiroir du dessous, elle sortit sa tenue de sport et commença à se déshabiller. Après être devenue la pute de l’entreprise, sous les ordres de Danielle, elle avait perdu toute inhibition à se changer au bureau. Il y avait même des matins où, lorsqu’elle arrivait dans son espace de travail, elle ressentait le besoin d’aller sous le bureau plutôt que derrière…Aujourd’hui, se dit Terri en se changeant, elle ne ferait rien d’épuisant au club. Vingt minutes de tapis de course, des abdos et pour finir, quelques paresseuses longueurs de piscine. Suivi d’une soirée calme et relaxante.———————Le concierge retint sa respiration quand la nouvelle responsable des ventes se mit à se déshabiller. Il fit attention à ce qu’elle ne puisse pas le voir, et se débraguetta quand les adorables nichons apparurent. La nouvelle cadre ressemblait trait pour trait à l’actrice d’un film porno qu’il avait à la maison, et sur laquelle il s’était déjà branlé des centaines de fois.Quand Terri fut cul nu, le concierge respira si fort qu’il craignit que la fille ne l’entende. Sur la fesse gauche, il y avait un grand tatouage en forme de cœur, avec le nom “Danielle” écrit dedans. La star du porno avait le MÊME TATOUAGE…Mon Dieu, c’est vraiment elle, pensa-t-il fugitivement alors qu’il déchargeait derrière l’armoire qui le dissimulait.Comme Terri passait sa tenue de sport, le concierge referma sa braguette et sortit, songeant aux informations qu’il venait découvrir, et à la façon dont il pourrait les utiliser à son avantage. Il se demanda ce que cette femme serait prête à faire pour empêcher que son secret ne soit dévoilé…(Fin)

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