Initiation d’une jeune bourgeoise – 9 – 1ere

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Initiation d’une jeune bourgeoise – 9 – 1ereInitiation d’une jeune bourgeoise – 9 -Partie 1 Le lendemain et les jours qui suivirent, je fus assailli de questions.Camille voulut tout savoir de ce qu’avaient été mes relations avec Madame Clélia , de ce que signifiait cette invitation….Je sentis poindre chez elle une jalousie qu’elle eut du mal à dissimuler.D’expérience je savais que Clélia pouvait faire naître de tels sentiments chez les femmes qui voyaient en elle une rivale, je voulus donc dissiper le malaise naissant chez mon épouse.– Comme je te l’ai déjà dit, c’est une dominatrice qui adore initier des jeunes femmes ou des jeunes hommes à ses pratiques favorites.Je suis tombé sous son charme et j’ai accepté son éducation tout en sachant que je ne tomberai jamais amoureux d’elle et que l’inverse serait tout aussi vrai.Son art, parce que c’est ainsi qu’il faut bien l’appeler, ne consiste pas à faire souffrir pour le seul plaisir de faire du mal. Son emprise est bien plus psychologique. Elle sait parfaitement lire les désirs cachés, les envies profondes de ses soumis et elle sait s’y conformer mais sans jamais dépasser leurs limites et les siennes.Elle a décelé chez toi des désirs de soumission. Inutile de le nier, j’ai vu les mêmes choses qu’elle.Vendredi soir donc, sauf si tu refuses, bien sur, elle t’initiera. Surtout ne sois pas inquiète, tu verras que tu en retireras un plaisir indicible et je serai à tes côtés.Qu’en dis tu ?Camille réfléchit un instant.– Ca me fait un peu peur. — C’est normal.– Tu crois que je serai à la hauteur ?– Je n’en ai aucun doute .– D’accord alors.Finalement Camille n’avait pas été difficile à décider. Plus les jours passèrent avant ce rendez vous, plus elle se montra excitée, et je sus en profiter !Je décidai que le moment était arrivé de prendre son seul chemin encore inexploré et je savais qu’elle en avait envie.Un soir donc, je la fis se positionner à plat ventre sur notre lit et j’entamai un massage calin qu’elle affectionnait.Mes doigts effleurèrent son cou, sa nuque, ses épaules lui arrachant des ronronnements de volupté. Mes mains descendirent le long de sa colonne, s’attardèrent sur ses reins avant que ma bouche ne les remplace.Ma langue s’insinua entre ses fesses s’attardant sur son oeillet, le léchant , s’enfonçant à travers son muscle serré.Elle soupira d’aise.Mes genoux de part et d’autre de ses fesses, mes dents mordillèrent les lobes de ses oreilles, mon sexe dressé s’attardant sur ses parties humidifiées.Son bassin remua et vint à ma rencontre dans une invite non dissimulée.Mon majeur abondamment lubrifié s’enfonça sans beaucoup de difficultés et un deuxième doigt le rejoint. Ils firent leur ouvrage güvenilir bahis étirant les parois et préparant de leur mieux le futur passage de mon sexe. — Détends toi, aide moi et pousse!Quand je la sentis prête et dans un mouvement lent mais ininterrompu , je lui pris son dernier pucelage.Ce premier passage se passa mieux que je ne l’aurai crû et Camille en fut la première étonnée.– Ca va ? Lui demandai je — Ca m’a fait un peu mal mais je suis bien maintenant. Je commençai alors de lents va et viens tout en caressant son clitoris.L’effet conjugué des deux plaisirs lui fit vite perdre la tête .Son orgasme monta petit à petit , comme une vague que rien ne pourrait arrêter et il ne se passa pas cinq minutes avant qu’elle ne jouisse bruyamment sous mes coups de butoirs en entraînant le mien.Elle m’avoua peu après qu’elle avait pris un plaisir intense à l’idée d’avoir gouté à ce plaisir qu’elle avait pu considérer, il y a encore quelques mois, comme dégradant. Le vendredi, je rentrai tôt à la maison . J’y retrouvai mon épouse bien plus anxieuses que je ne l’aurai cru et je m’efforçai de la rassurer de mon mieux lui expliquant que Clélia lui indiquerait, le moment venu, un mot à prononcer pour le cas ou elle ne voudrait pas continuer la pratique imposée.Elle me demanda si j’avais déjà utilisé ce sésame. Non , je n’avais jamais usé de ce droit.Nous arrivâmes enfin au pied de l’immeuble duquel l’appartement dans lequel nous étions attendus occupait le dernier étage.– Comment dois je me comporter ? Me demanda t elle ?– Le plus naturellement possible, sans oublier que ce n’est pas ta copine et que tu dois la vouvoyer . Ne t’inquiètes pas, je suis la..La porte s’ouvrit sur une somptueuse Clélia toute de cuir vêtue, jupe courte et bustier apprêté. Non pas chaussée de cuissardes comme à son habitude mais d’escarpins vernis .Un léger maquillage noir sur ses paupières faisait ressortir le bleu acier de son regard. Elle nous accueillit en nous embrassant avant de nous inviter à pénétrer dans l’appartement qui n’avait guère changé depuis ma dernière visite.Camille se débarrassa de son manteau pour apparaître vêtue d’une robe noire lui arrivant à mi cuisses.L’apparente simplicité de sa tenue faisait ressortir en réalité ses formes agréables et Clélia, apprécia le bon gout et la pureté du style.Elle en fit compliment à mon épouse qui rosit de plaisir en la remerciant d’un ” Merci Madame ” de bon aloi.Lorsque nous entrâmes dans le salon, Bruno nous y attendait.Je dois avouer que ce fut une surprise pour moi . Cela me confirma , pour le moins, que leur relation allait bien au delà de tout ce dont elle avait pu avoir l’habitude.J’eus un peu peur que cette türkçe bahis présence masculine ne rendit Camille soucieuse mais la soirée débuta sur un trait d’humour du compagnon de notre hôtesse qui détendit l’atmosphère.Nous trinquâmes à nos amours et le champagne finit de nous dérider.Quelques verres plus tard, Clélia s’adressa soudain à mon épouse:– Bien Camille, sais tu pourquoi je vous ai invités ce soir ?– Oui Madame– Alors dis le moi !– Pour être votre soumise Madame.– Bien . Alors déshabille toi !Camille eut un bref regard involontaire vers Bruno que la dominatrice intercepta.– Ca te gêne ?– Non Madame.– Alors dépêches toi !Elle fit glisser sa robe, se défit de son string et nous apparut seulement vêtue de son collier de perles, les joues empourprées, le regard porté vers le bas, ne sachant ou placer ses bras.– Lêve la tête Camille, regarde nous. J’aime que mes soumis soient fiers de ce qu’ils sont . Tu es très belle, n’aie pas peur de ce que tu es .– Merci MadameClélia se leva, sortit d’un tiroir une cravache et s’approcha d’elle. Sa voix se fit dure, quasi métallique quand elle ordonna :– Mains sur la tête, écarte les jambes !Ma douce frissonna quand le bout de cuir frôla sa peau, flatta les bouts de ses seins, tapota gentiment l’intérieur de ses cuisses . Ses yeux s’embuèrent et je la sentis à deux doigts de craquer devant le trop plein d’émotions qui la submergeait.Clélia ressentit également son trouble et la rassura d’un ton , à présent, doux et apaisant : — Ne t’inquiètes pas ma belle, détend toi, laisse toi porter par tes sens. Tout ira bien. Camille hocha la tête en guise de réponse et chercha mon regard en guise de soutien.Mon sourire en retour la rasséréna.– Ces jolies fesses ont elle déjà été maltraitées ?– Oui Madame, une fois.– Raconte moi.– Non, je n’ose pas Madame.L’air siffla quand la cravache s’abattit sur son postérieur lui arrachant un cri de surprise et de douleur. Elle comprit le message et , honteuse, elle dut expliquer , avec force détails, que je l’avais corrigée en punition de l’avoir surpris en galante compagnie.– Tu as aimé te faire châtier ?– Je n’ai pas apprécié la douleur , mais j’ai aimé le fait d’avoir été punie . Pardonnez moi, c’est un peu confus dans ma tête.– Non au contraire, c’est parfaitement clair et ça confirme ce que je pensais de toi . Répondit Clélia en me regardant .J’opinai en un geste. Je savais bien que Camille n’avait rien d’une masochiste mais qu’elle se complairait dans une ” servitude ” bien plus psychologique. Cela tombait bien.Je sus que la soirée n’irait pas vers les chemins de la souffrance pour Camille mais que sa soumission serait bien plus empreinte de cérébralité.Clélia güvenilir bahis siteleri reprit son ouvrage. De sa main nue, elle explora le corps de mon épouse, effleurant son pubis, alternant douceurs et pincements de ses tétons, écartant ses fesses, jouant avec sa nuque.Camille apprécia , les yeux fermés, et nous pûmes tous nous rendre compte de son excitation tant les fils qui perlaient de son intimité furent révélateurs.Stoppant ses caresses, elle vint s’assoir à mes côtés sur le canapé et ordonna à mon épouse de venir nous rejoindre à quatre pattes.Arrivée devant nous, elle la fit se dresser sur ses genoux et mettre les mains derrière le dos.Clélia me demanda de baisser mon pantalon et mon caleçon et je me retrouvai quasi nu, en érection, assis à côté de mon ancienne Maîtresse, devant ma femme soumise.Si Ubuesque que pouvait être la situation , elle n’en demeurait pas moins excitante, du moins pour moi.Tout en fixant Camille du regard, Clélia se pencha vers moi et sa bouche engloutit mon sexe.Mon épouse commença par pâlir puis des larmes lui montèrent aux yeux.– Pourquoi pleures tu ?Camille ne répondit pas.La fellation reprit.– Tu es jalouse ? — Oui Madame.– Pourtant tu ne l’es pas de Sandra me semble t il ?– Ce n’est pas pareil.– Oui, je sais. Tu comprends ce qu’a pu ressentir Marc ?– Oui Madame, je suis désolée.– Ne me vois pas comme une rivale. Tu es intelligente, tu auras compris la leçon. N’est ce pas ?– Oui Madame.– Alors viens prendre ma place ! Mon épouse ne se le fit pas dire deux fois et toujours agenouillée, elle m’emboucha avidement . Pendant qu’elle me suçait , Clélia se mit à lui asséner une fessée , mains nues, qui ne tarda pas à faire rougir son joli postérieur, puis , Bruno l’ayant équipée, elle se plaça derrière elle et la tenant par les hanches, elle la pistonna vigoureusement d’un gode ceinture de bonne taille.Lorsque Camille manifesta les premiers signes de la montée de son plaisir, la dominatrice, un brin perverse , stoppa net laissant ma douce insatisfaite.– Suis moi ! Lui fit elle . Quand elles revinrent, ma femme portait un tablier blanc de soubrette laissant ses fesses ,encore rouges, apparaître. Ses seins arrogants arboraient ,à chaque téton , une pince reliée à sa jumelle par une chaîne .Elle était outrageusement maquillée, de façon tellement caricaturale que le sourire me vint aux lèvres.– Que pensez vous de notre servante ?– Agréable incontestablement . Répondit Bruno rieur.– Et toi Marc ?Je savais parfaitement où Clélia voulait en venir et je rentrai dans son jeu.– Plutôt jolie pour une pute bourgeoise.Je vis mon épouse se raidir sous l’insulte.– Une pute ! Comment tu y vas … Apres tout, c’est , peut être une idée. Tu devrais la mettre sur le trottoir !– C’est bien mon intention !Camille frissonna.– En attendant elle va faire le service et se fera une joie de satisfaire tous nos désirs . N’est ce pas Camille ? — Oui Madame.

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