jeux de mains…3Le lendemain, en me réveillant, je constate que ce n’était pas un rêve érotique que j’avais fait dans la nuit, puisque Gaëtane était là, en chien de fusil, tournée de l’autre coté. Ses cheveux lui cachent la joue droite, ses mains sont sous l’oreiller et elle est bien toujours nu sous la couette. Certe, elle est belle endormie, mais je suis pris de remords. -Comment va t-elle réagir? En colère? Ou bien, impassible?Je ne sais pas, plein de questions me hantent. Je décide d’aller prendre une douche pour me remettre les idées en place. Le sol est jonchés des kleenex, de son short et de mon boxer. Je me saisis de son short et le hume. Il sent bon et fait poindre une érection.Je rentre dans la douche, me fais couler l’eau sur la tête. Je ne sais pas combien de temps cela dura car j’étais dans mes pensées, mais la porte s’ouvrit.-Salut,frangin.Par réflexe, en me retournant, je couvris mon sexe de mes mains.Gaëtane étais nu, forcement. Elle se tenait à la porte de la douche, son bras droit relevé, sa jambe droite croisé devant la gauche et son bras gauche sur la hanche. Ses seins me narguaient. Elle était belle.-Gaëtane? Qu’est ce que tu fais? Je me douche, tu peux pas attendre?-Ho, ça va. Après ce qu’on a fait cette nuit, plus besoin de me la cacher.-Justement, pour cette nuit-Quoi, cette nuit? Tu n’as pas aimer?-Bah, si, justement, mais ce n’est pas bien, on ne devrait pas.-Ho la la, j’avais oublié à quel point tu te prenais la tête. Tu as aimé, moi aussi, point. Vis le présent et profite. On ne dira rien au parent, c’est notre secret. -Encore heureux que l’on ne dise rien au parent.Gaëtane me poussa et entra. On était un peu à l’étroit dans le bac de 1metre carré mais on était bien sous l’eau du pommeau central. On se regardait et elle avait un sourire enjôleur, pleine de charme avec l’eau qui ruisselait. Nos mains caressaient le corps de l’autre, le parcouraient. On s’enserra, se fit des bisous dans la nuque, le cou, les épaules. Mon sexe en érection güvenilir bahis pointait sur son ventre. Elle se plaça derrière moi, je sentais sa poitrine écrasée dans mon dos. Ses deux bras passèrent sous les miens et ses mains jouèrent avec mes tétons. Je voulais la caressait aussi mais elle positionna mes mains sur le mur et me fit écarté un peu les jambes.-Laisse toi faire, me dit-elle-Y a les parents en bas,faut pas qu’ils nous entendent.-Oui, je sais, mais ils ne m’ont pas entendu me lever, donc tu es seul sous la douche pour eux.-Pas de bruit alors, dis-je.Dans une position de soumis, je me laissais aller à ses divines caresses partout sur mon corps. Elle me mordillait la nuque, les trapèzes, les épaules, enfin, tous ce qu’elle pouvait. Ses mains pinçaient mes tétons, les faisaient roulés, les étiraient, et ils devinrent tout dur. Sa main droite descendit sur mon sexe. Elle l’empoigna et commença à me branler. C’était bon, elle savait y faire. Sa main gauche, elle, jouait avec mes couilles, les soupesaient, les massaient et les palpaient gentiment. Elle alternait avec des caresses sur tous le corps en délaissant mon service trois pièces. Alors qu’elle me branlait, je sentis son autre main passé dans mon sillon fessier. Elle me caressait bien la raie, un de ses doigt appuya gentiment sur ma rosette;-Tu aimes? Je peux continuer?En levant et en tournant la tête, je lui répondis par la positive.Les doigts de sa main gauche jouaient avec mon anus, le massaient. Son pouce força l’entrée et s’y introduit. S’était bon, un pouce dans le cul, le reste de ses doigts sur mes couilles et sa ma droite me branlait toujours. Ses seins s’écrasaient sur mon dos, elle se caressait le clito sur ma fesse droite. Ses mouvements étaient tantôt rapides, tantôt lent. Son pouce titillait ma prostate ce qui me procurait d’agréable sensation avec ses doigts qui faisaient pression sur mon periné en même temps. Ma respiration se faisait plus forte, je haletais en grognant faiblement. Je me türkçe bahis cambrais pour lui montré que ce qu’elle me faisait me plaiser. Gaëtane se positionna derrière moi, je pense qu’elle positionna son poing sur son mont de venus car elle me donnait des coups de bassins ce qui faisait entrer et sortir son pouce. Elle s’en servait comme d’une petite bite pour me sodomiser. Je me masturbais de ma main droite car la sienne me caressait le corps. Mon cœur battait à cent à l’heure, j’étais essouffler par le plaisir que ma sœur me donnait. J’accélérais ma masturbation pour éjaculer ma semence sur la faïence de la douche. Mon anus se crispa sur le pouce à Gaëtane, le tenait prisonnier. Elle arrêta ses mouvements. Mon corps était pris de spasmes, mes jambes tremblaient du à l’intensité de mon orgasme. – Hhoooo, c’était trop bon, merci; lui dis-je-Oui, je vois ça, je ne pensais pas que c’était si puissant pour un homme. J’ai toujours rêver d’essayer mais les mecs ne sont pas chaud, tu as été mon cobaye.-Quand tu veux pour recommencer.-Par contre, tu ne vas pas t’en tirer comme ça. Fais moi jouir toi aussi, m’ordonna t-elle-D’accord, mais avec la langue ou mes doigts?-Comme tu veux.Je me défis de son emprise, lui fit face et lui fit un câlin. On se caressait et s’embrassait sauf sur la bouche. Pourquoi? Je ne sais pas, elle ne voulait pas. Je la plaquais dos au mur. Elle sursauta quand son corps sentit la froideur de la faïence. En descendant, ma bouche rencontra ses tétons. Je les mordillais gentiment et les titillais. Une fois à genoux entre ses cuisses, dont je plaça sa jambe gauche sur mon épaule, ce son mes mains qui jouèrent avec sa poitrine. Sa chatte n’avait rien à voir avec la vision de la veille. Ses grosses lèvres étaient gonflées de plaisir, ses petites sortaient et son bouton était érigé. Je me jeta comme un fou pour la dévorer. Ma bouche goba son clito, joua avec, le mordilla, le fit rouler autour de ma langue, le suça. J’aspirais les petites lèvres, les détendis. güvenilir bahis siteleri Ma langue se faisait tantôt dur pour la pénétrer, tantôt plate et large pour la lécher, la laper. Ce que je lui faisais lui faisait du bien car elle me maintenait la tête avec ses mains fortement appuyer sur sa chatte, elle ondulait et sa respiration était plus rapide. Mes mains descendirent et vinrent caresser ses fesses, les palper, un peu les malmener aussi, les écarter. Contrairement à elle, je ne lui demandais rien et je lui plantais mon pouce dans son cul. Elle lâcha un cri de surprise et de plaisir. Elle plaça sa deuxième jambe sur mon épaule, c’est donc moi qui la portait. J’étais fou de joie de la sentir se laisser aller au plaisir sous mes coups de langue et jeux de mains dans son cul et sa chatte. Je continuais avec frénésie jusqu’à l’orgasme qui se traduisit par des contractions de ses jambes sur ma tête à la limite de m’étouffer et en emprisonnant mon pouce dans son cul avec des contractions de son sphincter. Elle tremblait de partout en lâchant des ho et des ha de plaisir, en me tirant les cheveux. Heureusement que je la tenais, car je pense qu’elle n’aurait pas pu tenir debout. Je pousse sa jambe pour la mettre à terre quand son orgasme fut fini.-Non, attends un peu avant de me poser.-T’es gentille, mais j’ai mal aux genoux moi.-S’il te plait, me demanda t-elle avec une voie que je lui aurais décrocher la lune si elle me l’avait demander.-Faut qu’on se dépêche, les parents vont trouver suspect le temps que je passe sous la douche.-Oui, oui. Merci Antoine, j’ai eu un bel orgasme. Tu peux me poser maintenant.Ce que je fis immédiatement, et j’eus du mal à remonter, ce qui fit rire Gaëtane.-On dirait un vieux, tu veux une canne?-Tu trouves ça drôle? Pas moi.J’étais vexer, Elle le remarqua, et posa sa main sur ma joue, me regarda dans les yeux et m’embrassa.-Pardon, Antoine.-Ce n’est pas grave. Faut que je me lave maintenant.-Attends, je vais te le faire, comme quand on etait petit.On se lava mutuellement et rapidement.Une fois sorti et sec, je la regarde et lui dis:-A tout à l’heure, et on ne change rien, OK?Ma foi, c’est plus facile à dire qu’à faire.Je vous le dirais dans les autres suites.