La moitié d’un échec

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La moitié d’un échecLe lieu était une ancienne imprimerie qui se trouvait en lisière de zone industrielle, au bord d’une voie de chemin de fer abandonnée. Le bâtiment lui-même avait les vitres cassées. Il était entouré d’herbes hautes, de buissons de ronces et de barrières interdisant l’accès. J’avais appris l’existence de cet endroit en explorant un forum, en particulier une rubrique qui recensait en détail tous les lieux d’exhibition situés près de chez moi. J’avais noté à quel endroit il fallait se garer pour rester discret (le parking d’un MacDo) et par où il était possible d’entrer sans se faire remarquer.Nous étions en début d’après-midi et il faisait très chaud. J’ai franchi un grillage affaissé et suivi sur deux cents mètres un petit chemin en goudron fissuré qui se faufilait entre des bosquets de ronces remplis d’insectes qui bourdonnaient. Puis j’ai trouvé le quai de déchargement et la voie ferrée mentionnés sur le forum. Le bâtiment était un peu plus loin, près des rails, bordés d’arbustes, couvert de tags multicolores, les portes ouvertes. J’ai regardé autour de moi et j’ai tendu l’oreille. Puis je suis entré dans l’ancienne imprimerie où il ne subsistait pas grand-chose : des caisses en bois, des chaises cassées, des palettes, des armoires en métal renversées…Il n’y avait personne.J’ai allumé une cigarette et continué de parcourir les lieux. Le sol était jonché de bouts de verre, de vieilles paperasses et de déchets divers parmi lesquels je découvris plusieurs préservatifs usagés, des kleenex en boule, mais aussi des pages de revues pornographiques dispersées dans les saletés. L’ambiance était étrange, un peu inquiétante, mais ça ne me déplaisait pas. Ce lieu se trouvait à l’abri des regards, ce qui le rendait propice à toutes sortes de choses inavouables et interdites. Sur le sol, je me souviens m’être attardé sur hatay escort la photo d’une fille assez jeune, brune à cheveux longs, qui avait une superbe chatte poilue et de tout petits seins. Puis sur une blonde, un peu plus loin, très mince, dont le visage avait été déchiré. Sa chatte à elle était lisse et ses seins assez volumineux. Elle était en train de pisser dans l’herbe. J’ai eu un début d’érection et je me suis dit que si jamais personne ne venait ce jour-là, je pourrais toujours me branler en matant des photos.Cela m’était déjà arrivé par le passé, dans une petite maison abandonnée où j’avais découvert de similaires pages de revues éparpillées sur le plancher. J’en avais sélectionné plusieurs que j’avais alignées sur une vieille table, puis j’avais sorti ma queue pour me branler et pour éjaculer sur les photos. J’étais revenu quatre ou cinq fois dans cet endroit, sans jamais y croiser quiconque. Il m’était même arrivé d’y enlever tous mes vêtements et de m’y caresser, assis au bord d’un vieux sommier, en matant des photos et en disant des mots salaces à voix haute.Au bout d’un moment, je suis ressorti du bâtiment et j’ai allumé une autre cigarette sur le quai de déchargement, en scrutant la voie ferrée et les herbes qui l’envahissaient. On devinait le ronronnement discontinu de l’autoroute et le souffle des usines environnantes. Il y avait des oiseaux qui sifflaient de tous les côtés et des petits lézards qui profitaient du soleil.Il était à peine 15 heures et nous étions début juillet. Un vendredi. Je voyais mal qui pourrait décider de venir dans un endroit pareil dans de telles conditions, mais c’était le plus proche de chez moi que j’avais trouvé dans la liste du forum.J’en avais gardé deux autres en tête :– Un chemin situé aux abords d’un lac très fréquenté.– Le parking d’un autre bâtiment abandonné.J’hésitais.Je escort hatay pouvais patienter encore un petit moment ici, puis me rendre dans ces autres lieux, pour vérifier s’il y avait quelqu’un, ou alors je pouvais regagner l’intérieur de l’imprimerie et choisir des photos de femmes à poil sur le sol, puis me masturber tranquillement dans un coin du bâtiment.J’avais repéré une fille qui me plaisait bien, sur une photo. Une jeune asiatique qui souriait en ouvrant ses cuisses. Elle avait l’air de dire : « Viens me pénétrer la chatte. » Ses seins étaient minuscules et je pouvais lui donner l’âge que je voulais. Je pouvais même imaginer qu’elle se pointait dans cet endroit, toute seule, dans la tenue de mon choix. Tout était possible.J’ai écrasé ma cigarette sur le quai. Je bandais un peu.J’ai palpé la bosse sous mon pantalon, tout en regardant les rails à droite, puis à gauche. Il n’y avait décidément personne ici à une heure pareille, en plein été. Je pouvais faire tout ce que je voulais, y compris me mettre tout nu sur ce quai, si j’en avais envie. Le risque était faible qu’on me surprenne.Alors je suis rentré dans le bâtiment et j’ai ramassé la photo de la jeune asiatique. Je l’ai posée sur une armoire renversée et j’ai baissé mon pantalon et mon caleçon jusqu’à mes chevilles. J’ai retroussé mon t-shirt au-dessus de ma poitrine, puis je me suis caressé les couilles et les seins, en matant cette petite salope à qui j’ai donné seize ans.Ma bite était raide et j’ai enduit mon gland de salive. Je me suis touché le cul en imaginant que c’était celui de la fille sur la photo, puis j’ai ajouté de la bave sur la fente de mon gland.Ensuite, j’ai frotté ma queue sur la photo, tout en passant le bout d’un doigt sur ma fente et en imaginant que c’était la langue de cette petite pute. Elle avait seize ans et elle était accroupie devant moi, hatay escort bayan à poil, à me tailler une pipe, et moi je la traitais de tous les noms imaginables en caressant ses seins minuscules.Au bout de deux ou trois minutes, je me suis détourné de la photo pour pisser sur le sol. L’urine a aspergé les bouts de verre, mais aussi une photo qui montrait le cul d’une blonde assez pulpeuse. Il n’est pas évident de pisser en bandant, mais j’y suis parvenu.J’ai secoué ma queue, puis j’ai décidé de me mettre complètement à poil avant de revenir à ma petite salope d’asiatique. J’ai tout enlevé, y compris mes chaussettes. Je n’ai pas débandé pendant ce temps. Ma queue était très dure et je savais que je ne mettrais pas une minute pour éjaculer, mais j’avais envie d’être à poil pour le faire. J’ai disposé mes affaires dans un coin, puis j’ai bavé de nouveau sur mon gland. Je me le suis astiqué en fermant les yeux. J’ai imaginé que cette petite salope s’asseyait sur l’armoire renversée et qu’elle ouvrait ses cuisses en me disant : « Ne mettez pas de capote. »Et j’ai de nouveau frotté mon gland sur la photo.Puis j’ai éjaculé.Une longue giclée liquide pour commencer, qui a échoué de l’autre côté de l’armoire. Puis une deuxième qui s’est collée sur le visage de cette petite pute. J’ai gémi, puis j’ai passé mon doigt sur la fente de mon gland au moment de la troisième giclée. J’ai poussé un râle qui a résonné dans cet endroit abandonné, loin de tout, loin du monde.Et la dernière petite goutte a jailli. Je l’ai cueillie sur mon doigt et l’ai mise sur ma langue, tout en malaxant mes couilles enduites de sperme.Puis je me suis essuyé en reprenant mon souffle.Je me suis rhabillé et j’ai fumé une autre cigarette sur le quai, au soleil. En priant pour que personne ne se pointe à présent, car j’étais vidé. Alors je n’ai pas trainé. J’ai regagné ma voiture et je suis rentré chez moi, la photo de la petite asiatique pliée en quatre dans une poche de pantalon.Je me suis promis de revenir tenter ma chance là-bas, sans tarder.Car j’y ai vraiment pris mon pied.:::

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