La patronne et le leadership…

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La patronne et le leadership…Pff, des jours que je me bats sur ce bout de code, la deadline du projet approche à grand pas, je suis en plein stress. Je n’aurais pas dû accepter ce job, un vrai traquenard payé une misère, avec une ambiance pourrie. Il y avait bien quelques jours de graphisme à faire, mais réaliser un programme derrière aussi compliqué me sortait quand même beaucoup de ma zone de confort, vers de l’inconfort certain, et pas un collègue sur un sujet similaire pour avoir un peu d’aide. Bref, j’avais bien mis « bases en programmation » sur mon cv à Pole Emploi, et j’avais accepté le défi sans rien dire. Bref, j’avais enfin la solution à mon dernier écueil, et espérait même boucler le logiciel dans la journée, et du coup aussi me garder deux jours pour tester avant la fin de mon cdd.19h, les bureaux se vident, je devais finir la journée à 18h mais fait du rab, pour partir l’esprit tranquille.Le logiciel marche, et cela semble marcher comme il faut. J’ai le sentiment d’avoir réussi un nouveau défi. Dans ma tête, y’a une petite cinématique de jeu vidéo, celle où le héros voit le coffre s’ouvrir, de la lumière en déborde et il en sort victorieux l’objet de la quête. Presque épique. J’ai les mains qui tremblent à cause des cafés, de la pression de ces derniers jours. Je lance la sauvegarde qui va prendre un moment, j’ai besoin de décompresser. De pisser aussi.Je me retrouve aux toilettes de l’entreprise, assis sur la lunette, en train de me soulager. J’ouvre mon mobile comme beaucoup ici, pas de notifications, de messages autres que le boulot déjà lu… j’ai fini, mais traine sur les réseaux sociaux. Une photo d’un modèle assez sexy défile, me chauffe un peu, on y aperçoit le dessous de ses seins généreux alors qu’elle relève un peu au-dessus un teeshirt mouillé. La mise en scène est jolie, la photo bien faite. Mon sexe commence à réagir, je le sens se gonfler un peu à chaque battement de cœur… je passe sur youporn, et commence à me caresser la hampe, je lance une vidéo où une fille se fait prendre frénétiquement par trois hommes. Les toilettes sont emplies de silence, mais le mobile émet quand même un son suspect que je me presse d’étouffer.Ma verge est gonflée à fond, je serre fort mes doigts autour en remontant… J’essaie de ne pas faire de bruit, mais je dois surement en faire un peu entre le frottement des vêtements, le schlip schilp de mon sexe qui mouille, et ma respiration qui s’accorde au rythme… ça fait du bien, je me détends et me contracte à la fois. Les frissons du plaisir me remontent le long du dos jusqu’à la nuque, je ne tarde pas trop à jouir, le plus vite possible comme pour bâcler cela. L’éjaculation me donne la sensation inverse d’avoir un courant massant de l’intérieur, qui redescend du cerveau au sexe pour finir oublié aux toilettes, tordu en avant pour éviter une projection vers l’espace. Je souffle, reprend une respiration plus calme, m’essuie, m’habille, nettoie, tire la chasse, sort, direction le lavabo, mets mes mains sous le robinet.Un son d’une autre chasse d’eau me fait lever les yeux dans le miroir, et j’y vois la porte voisine des toilettes où je m’étais installé s’ouvrir, et ma directrice en sortir. Je ne sais plus où me mettre, elle a dû forcément entendre… Elle est derrière moi, elle attend que j’ai fini… je dois être tout rouge !Elle porte un pantalon bleu très strict, ceinture, chemisier blanc aux manches retroussées, un chinions élégant assez bas sur la tête. Un fond de teint trop pale pour ses cheveux blonds, ses yeux clairs, et un maquillage trop discret pour apporter du contraste, de la couleur. Elle est très directe, autoritaire et froide. Je l’ai jamais vu sourire, ou du moins naturellement. Du peu de contact que j’ai eu avec elle, je ne peux que confirmer, d’ailleurs elle semble plutôt crainte ici… Je me presse, m’essuie les mains pour lui laisser la place rapidement et m’apprête à sortir sans un mot…- Alors ce logiciel, vous en êtes où, vous aurez fini à temps ? me dit-elle- Oui madaeeururu – je manque m’étouffer, n’ayant pas prononcé un mot de la journée. Je me racle un peu la gorge et reprend ma phrase. Oui madame, en fait j’ai fini il y a 5 min, j’ai juste à tester sur d’autres machines.- Ha, alors je peux voir ce que cela donne ?- oui sans problèmes.- Et bien très bien, venez me trouver demain pour me montrer.Je prends mes affaires, m’en vais, gêné à mort à l’idée d’aller la revoir après ca…Le lendemain. 9.30, je suis à la bourre d’une demi-heure, je passe la porte en essayant me faire discret… et la croise à l’angle du premier couloir, manquant de peu la bousculer. Je bafouille un bonjour madame, et lui dit que j’allais la voir pour savoir si elle avait le temps pour que je lui montre… elle me coupe sèchement, « plus tard » et file. Je me dis « bah oui quel con tu fais, tu vas la voir justement avec ton manteau, ta pince à vélo sur ton pantalon, le sac encore sur le dos… » Elle a du juste voir que j’étais en retard. Bon merde, j’ai fait du rab tous les soirs, c’est mon avant dernier jour de toutes facons.Tout marche impec, je suis super fier de moi-même. Je frappe un peu avant midi au bureau de la directrice, pousse timidement la porte, et la voit au téléphone, le visage fermé, les sourcils en V, me faire un signe de la main de dégager, je tombe mal je pense.Je n’ai plus rien à faire, le temps semble devenir long. Je n’ai lié aucune affinité dans cette boite, à vrai dire je n’ai mémorisé presque aucun prénom… Mon boulot est bien rangé où il faut, je tue le temps en améliorant une doc pour un éventuel successeur. 17h, je tente canlı bahis un retour vers le bureau de la directrice. Elle m’envoie à nouveau chier, en me jetant « je viendrais vous chercher tout à l’heure quand je voudrais vous voir ». Bon… ok.18h30… j’en ai marre, je prépare mes affaires pour partir. J’ai attendu 18h30 pour qu’on ne me dise rien sur mon retard du matin. Je vais pisser avant de partir. Je fais vite, me lave les mains, et là ma directrice rentre dans les toilettes. « Décidément ! » me dit-elle. Je ne sais pas si elle fait allusion au fait de se croiser aux toilettes ou si elle suppose que je viens de me masturber… « Je viens vous voir dans une demi-heure, vous n’êtes pas pressé ? » me lance-t-elle. Hum, j’espérais rentrer et me faire une soirée pizza jeux vidéo, ça me fait chier…- Bien sûr, pas de soucis ». Quel con je suis, je ne suis pas son larbin, elle me versera pas un € de plus pour rester, ça pourrait attendre demain…19h30, j’en peu plus d’attendre quand elle arrive. Elle a toujours l’air aussi fermée, le visage rigide d’autorité.« Je vous montre ? » – Je suis là pour cela me répond-elle sans rien ajouter.Je lui fais ma démo devant mon écran. Je me retourne au bout de 5 min de tour du logiciel. Un sourire est sur son visage.« C’est très bien. Très très bien même, pour tout vous dire je ne m’attendais pas à aussi bien. Je suis vraiment contente, vous avez fait du bon boulot. »Je ne sais pas si elle me lance des fleurs pour de vrai, ou si c’est une stratégie politique…« Vous pouvez me l’installer sur mon ordinateur ? Je voudrais pouvoir le montrer. Rajoute-elle.- oui, heu, demain ?- non, maintenant.Pff, la soirée semble être partie pour être bien raccourcie. Tout le monde est presque parti… J’att**** la petite clef usb, et la suit dans son bureau.Je lui ai installé le logiciel, elle essaie de refaire ma démo et me pose quelques questions. Elle qui semble tout comprendre super vite, je la trouve plutôt longue. Le comptable passe la tête dans le bureau :- Je vous laisse fermer ? -Oui, répond-elle. Bonne soirée.L’homme s’éloigne, claque la porte. Le bureau offre une vue parfaite sur les allées venues extérieures, et on le voit quitter le parking.- Bien me dit-elle. Je pense que ça ira. Vous pouvez me le copier sur une autre clef usb ?Je saisi la clef qu’elle me tend, et me mets à genoux derrière son bureau pour accéder à l’ordi poussiéreux. J’essaie de ne pas regarder ses jambes de l’autre coté au passage. L’accès n’est vraiment pas pratique et on n’y voit pas grand-chose, mais j’arrive à insérer la clé à côté de la mienne. Par contre alors que je commençais à vouloir reculer, je sens des doigts dans mes cheveux… je lève mon regard… ses mollets… ses cuisses ouvertes segmentées par des bas… ou des collants ouverts plutôt, je ne sais pas trop le nom… un petit triangle rouge … des bras tendus vers ma tête et une poitrine écrasée entre. Houlaaa ! Ses doigts me fond un bien fou, me détendent et la vue me fais accélérer le cœur à fond, toutes les vannes sont ouvertes et la pression passe de suite de la tête au sexe…- La semaine à été dure, non ? Elle me fais passer sous le bureau, une main sous mon coup, l’autre dans les cheveux. Ma tête ressort à la lumière, entre ses cuisses. Je suis sure que maintenant il n’y a pas que la semaine qui est dure… je me trompe ?- … heu…Elle me tient toujours par le cou, me lève en même temps qu’elle, et m’assoie sur son fauteuil en le repoussant à peine, autrement plus confortable que la chaise de mon bureau. Elle est devant moi, dégrafe sa jupe sur le côté, la laisse tomber comme un rideau, et l’envoie valser sans retirer ses talons. Mes yeux se posent sur le petit triangle rouge qui le cache le sexe. Il semble tenir comme par magie, aucune ficelle ne faisant le tour de ce string volant. Ses hanches sont peu marquées, son ventre fait un joli V jusqu’à cette pointe de couleur. Elle ouvre son chemisier, le laisse glisser le long de ses bras.- Tu te demandes comment il tient hein ? me dis-t-elle en me voyant collé sur son entrejambe ? J’ai dû trouver une astuce, je vais te montrer.Elle se retourne, ses fesses sont comme nues, une ligne rouge remonte que jusqu’au milieu. – C’est comme un serre-tête, mais là c’est plutôt un serre-chatte. C’est sexy hein ? Mais cela ne tenais pas bien, j’ai dû l’arranger.Elle me fait face et s’assoie sur le bord de son bureau, éjecte un talon pour poser son pied sur l’accoudoir du fauteuil où je suis assis, puis l’autre. Je ne sais pas trop où regarder, gêné, je n’arrive pas à ouvrir la bouche. Mon pantalon est déformé, mon sexe mouille mon boxer à travers, et une marque se forme doucement contre ma poche… Elle me fixe du regard, écarte les jambes.Un petit fil avec un petit nœud de lacet semble faire le tour du serre-chatte en son milieu. Je ne vois pas trop, ses lèvres débordant un peu dessus… elle tire sur ce cache sexe qui ne cache au fond pas grand-chose, ses lèvres s’écartent pour laisser apercevoir un jouet en elle… – J’ai dû serrer mon sexe toute la journée pour ne pas le laisser s’échapper me dit-elle, j’ai envie de me détendre doucement… tu veux bien m’aider à défaire le nœud ?J’avance une main sur une cuisse, puis l’autre vers le nœud. Elle m’att**** cette dernière et me la bloque sur sa cuisse : – ça serait trop facile. Avec les dents. Mais attention à ce que tu fais !Elle a une sourire un peu moqueur mais malin, coquin, qui pour une fois fait vrai. Elle att**** un gobelet avec une paille, en aspire le contenu en pointant du doigt de l’autre main la direction de sa chatte.Elle sent tout petit peu… la chatte bahis siteleri qui a eu chaud, qui a mouillée, mélangée au déo, au parfum… le tissus qui habille l’arceau du cache sexe est d’ailleurs trempe autour de ses lèvres. Je tends la langue doucement, la glisse sur une lèvre, puis l’autre, pour bien les écarter et laisser place nette sur le nœud. Elle pousse, ses petites lèvres s’écartent aussi, je m’écarte un peu pour apercevoir une sorte de gros œuf, surement un beau plug dont elle a coupé la base évasée pour le glisser en entier. Son sexe s’ouvre bien de 3-4 cm comme un œil luisant, avec au milieu le nœud. Je passe ma langue tout autour pour le lubrifier, ou l’éponger plutôt en fait, saisi le nœud du bout des dents, tire dessus. Elle force un peu plus en même temps, et nos efforts combinés non seulement défont le nœud, mais éjectent aussi cache-sexe, et le plug plus gros que ce qu’il ne me laissait voir… il manque m’assomer, la coquine, ça m’étonnerais bien qu’il ait tendance à vouloir sortir tout seul, il fait bien six centimètres de diamètre. Sous la poussée sa chatte reste écartée, ses tréfonds repoussée à l’orée, elle est trempe, tremblante. Moi aussi d’ailleurs, j’ai dû recevoir des projections sans m’en apercevoir.Je m’avance à nouveau vers sa chatte, de peur que l’instant lui ai déjà suffi et qu’elle me laisse en plan. Elle se couche le dos sur son bureau, se détend, les mains dans mes cheveux… je m’applique à lui faire du bien, elle m’agrippe de plus en plus. En fait elle commence même à me faire mal, j’étouffe presque la tête noyée dans sa mouille. – Bouffe moi la chatte j’aime ça, bouffe moi comme une salope, c’est qui qui signe ta paie hein ? allez mon salaud, je sais que t’aime ça ! J’étouffe et me délecte, c’est bien vrai, de sa chaleur, son humidité et des frissons, cette v******e fougueuse qui parcours son corps, qui se tortille comme un vers prisonnier. Elle me relève la tête, se redresse, me la colle sur sa poitrine en éjectant comme elle peu ses seins de leurs balcons. Je n’ai pas le temps d’en profiter qu’elle me tord le cou en arrière, et crache sur ma figure encore trempe. Je déteste ça, j’ai envie de lui renvoyer mais elle me jette « maintenant, tu vas me défoncer avec ta bite, et t’as pas intérêt à faire le timide si tu veux que je sente quelque chose après le plug ». Elle ouvre alors un tiroir de son bureau. Il contient godes, capotes, accessoires non identifiés de lanières de cuir… Elle se recouche sur son bureau, replie les jambes en arrière, écarte ses fesses et commence à se masturber frénétiquement avec un gode.J’oublie d’un coup le madame hiérarchique. Elle m’a provoqué, elle veut du répondant, je vais lui en donner !- Ha cocotte, tu veux que je te baise hein ? Je fais sauter le bouton de mon pantalon, sort une jambe, et sans avoir le temps de sortir l’autre, déroule une capote sur ma queue qui pulse, et rentre d’un coup en elle jusqu’à écraser mes couilles sur son anus. Elle gémit dans un Haaa qui résonne dans tous les bureaux. Je l’att**** par le cou et lui jette : -Tu veux vraiment que je te défonce ?Elle me recrache à la figure : – Si t’en es capable ! Je ne veux pas pouvoir marcher droit ce soir alors t’attends quoi espèce de branleur ! Tu préfères te branler ou des vraies chattes de salopes qui …Je lui colle une main sur la bouche pour la faire taire, l’att**** par un sein pour la retenir, et commence à la limer sauvagement, comme une bête. – Ha madame la patronne veut se faire péter le cul ! Et bien madame est servie ! Le bureau commence à se vider de son contenu sous les secousses, le gobelet tombe en laissant échapper un reste de… lait ? Son sein libre semble flotter à contre temps mais tenir la cadence, elle mmhhmhmh des trucs. Je sors ma main de sa bouche.- Vas-y ! Bourres-moi cochon j’aime ta queue ! Mais vas-y t’es timide ou quoi ? Je suis à fond depuis plusieurs minutes, elle le sait et continue à me provoquer, m’insulter, et fini par me recracher à la figure !- Ha salope on ne peut pas te laisser la bouche vide ! J’att**** un gode au hasard, un long tout souple, un vrai serpent rose le truc ! Je lui colle dans la bouche – Tiens avale ca cochonne, on va voir si tu sais faire des choses avec ta langue autre que blablater ! Prend ca et fait voir ce que tu sais faire comme si tu suçais ma queue !Je continue à la bourrer en haletant, alors qu’elle avale sans problèmes le gland du gode. Je ralentis, presque émerveillé, en voyant qu’elle se baise toute seule la bouche, la langue qui dépasse un peu. Par moments elle ralentit pour l’engloutir, dix, vingt cm peut être plus.Ha je vois qu’on a de l’entrainement ! Je me retire, fait le tour du bureau, vire la capote que je coince dans son sous-tif, lui arrache le gode-serpent de la bouche qui semble ne plus finir d’en sortir, et y fourre ma queue. Ma queue est plus grosse et ne rentre pas aussi facilement, le gland appuie sur le fond de sa gorge. Je la tire pour lui mettre la tête dans le vide, la penche en arrière, lui colle des biffles.Son éternel chignon se barre en sucette, et Rapunzel libère sa chevelure blonde, respire un grand coup avec un filet de bave entre ma queue et sa langue. Je replonge en elle, elle passe ses bras autour de moi pour s’accrocher à mes fesses, et je la sens tirer de toutes ses forces, se tortiller sur le bureau pour réussir à s’empaler au plus profond. Je sens sa gorge s’ouvrir, mon gland passer plus profond, jusqu’à ce que mes boules reposent sur son nez. – Rahh que c’est bon salope, t’es pas la boss pour rien !Elle encaisse, je sors pour lui laisser reprendre sa bahis şirketleri respiration, reviens, ça rentre à nouveau, je commence à me branler doucement dans ca bouche… elle ne gère pas un haut le cœur, et m’éjecte dans une explosion de salive et du lait qu’elle venait de boire, mêlé surement à ma mouille… sa figure semble comme si de nombreux hommes lui avait éjaculés dessus, ça ruisselle sur ses cheveux qui se collent. Elle se retourne pour cracher ce qui lui est remonté par le nez, j’ai peur d’avoir été trop fort et lui tend un mouchoir. Elle s’essuie à peine, se penche en avant et me suce encore, moins profondément mais en aspirant à mort. Je l’att**** par les cheveux et lui mets la figure à terre :- mets-toi à genoux et écarte bien ta chatte, tu tiens encore bien droit, on n’a pas fini !Son cul n’est pas très gros car elle est assez fine, mais bien rond, et sa chatte de gourmande s’ouvre d’elle-même, au rythme de ses respirations. J’att**** une capote neuve, et ramasse le gode serpent au passage.- Tiens un bout pour ta chatte en attendant que je m’équipe, et l’autre pour ton cul. Pas besoin de trop forcer, ça rentre tout seul… je suppose ne pas être le premier à passer dans ton bureau si bien équipé hein ?Je mets la capote, mais je m’amuse derrière son cul brandit comme un trophée, à y glisser un peu plus ce gode tout souple… j’ai bien mis une trentaine de cm dans son cul, le reste encore dans sa chatte. Je me positionne au-dessus de ses orifices, et plie ma queue pour la glisser dans sa chatte bien que déjà occupée. Moins de résistance que j’imaginais, mais ça rentre en me serrant fort, elle gémit, son visage à terre alternant entre contractions et sourires baveux. – Tu aimes ça te sentir remplie ? trois bites tu gères, ça m’excite à mort tu sais les cochonnes. Je la pistonne sans ménagement, profite du paysage de son postérieur et de ses halètements, du lien rose qui unit sa chatte et son anus tout rond… je m’amuse de cela, quelle chienne quand même, et lui retire le bout de gode dans sa chatte pour pourvoir y rentrer plus pleinement, et bloquer le gode restant dans son cul à mes mouvements. Son cul et sa chatte se déforment quand je me retire vers l’extérieur comme pour me retenir, et se détendent pour me laisser replonger, elle m’excite à mort. Je sors d’un coup le gode, son cul reste ouvert tout rond, et avant qu’il ne se referme j’y replonge le gland rose, et recommence, sans lui laisser le temps du réflexe de contraction. Elle s’ouvre de plus en plus, je décide d’y mettre aussi la seconde extrémité, ca rentre, elle me crie presque dessus- Ho oui vas-y ho j’aime ça pète moi le cul ouvre moi traite moi comme une merde ! J’ai mal aux jambes à la limer en équilibre, me retire, l’att**** par les cheveux, la redresse et la traine presque au bord du bureau. Elle est encore debout devant moi, la tête en arrière sous la tension sur ses cheveux. Elle ferme jamais sa gueule on dirait, continue à déblatérer insultes et incitations.- Ecarte ton cul et pousse ! Elle s’exécute, je la tiens toujours par les cheveux. T’es la reine des salopes hein ?- oui et t’aime ça ! Tu veux mon cul pas vrai ? Elle écarte ses fesses à se marquer la peau, son anus pulse, je ne sais si elle le contrôle ou pas. Sa chatte est bien ouverte, ses lèvres distantes l’une de l’autre.Je ne réponds pas, et glisse ma queue dans son cul, serre fort ses cheveux et la sodomise sans limite encore debout. Elle aime, me le fait savoir en le hurlant presque. Mes coups la font presque décoller, et J’ai le cœur qui bat à mort, je transpire. Dès que je commence à ralentir elle prend le relais, semble enivrée de plaisir. Je la sens pousser fort, son cul me resserre en même temps que je la sens se tendre progressivement. J’en peu plus et sens que je vais éclater, je sors d’un coup pour me calmer. Alors son pic de tension, elle jouit au moment où je me retire, inonde la moquette dans un jet puissant. Son corps convulse, ses jambes la quitte, elle s’appuie sur le bureau. Elle y monte une jambe, une autre, comme si elle allait se mettre en boule sur le bord du bureau. Ses contractions se calmes, et j’ai pour vu deux orifices bien ouverts, qui respirent aussi fort qu’elle. Je n’ai pas fini. Je sors du tiroir un espèce de gros vibro, lui glisse entre les jambes en lui disant – tu sais comment ca marche, montre. Elle écrase la tête du jouet sur ses lèvres qui l’épouse. Je vise à niveau son cul qui commence à se refermer, crache dessus, re-rentre. Ça glisse sans problèmes, j’accélère le rythme. Je sens le vibro dans son cul à travers sa chatte, c’est bon, elle remonte en tension assez vite, se tortille de désir de jouissance. Je lui claque les fesses, et me surprends un peu de la v******e du coup que je n’ai pas contrôlé. Elle se resserre d’un coup, m’aspire de la queue jusqu’aux oreilles, gémis un rahhhh intense, me mouille les pieds à nouveau ! Je sens un frisson remonter le long de l’échine, je me retire aussi tôt, sors la capote pour lui jouir sur le dos. Une sensation interne redescend jusqu’à mon sexe déjà gonflé, et un jet de sperme lui gicle tout le long de la colonne jusque dans le cou, alors qu’elle est encore toute tremblante. J’en peu plus, l’orgasme me secoue, et m’écroule sur le fauteuil, pour reprendre mon souffle. Ma queue est encore raide, frémissante, quand elle descend du bureau, pose ses bras autour de ma taille et me lèche la queue avec douceur. Je me détends… elle me fixe. Elle semble satisfaite, et son visage est bien plus chaleureux que d’habitude.- bon, assez joué. J’ai un repas dans une demi-heure, il faut que tu y ailles et que je me presse, je ne suis pas trop présentable. Maintenant. Et tout ceci reste bien sur entre toi et moi, et je ne veux pas en entendre parler. Et repose toi bien, il te reste encore un jour ici…

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