Laure partie 1

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Laure partie 1Je voulais partager avec vous, bande de coquines et de coquins, ma soirée avec Laure. Laure est une copine, rencontrée il y a quelques années lors d’un déplacement professionnel sur un festival du sud de la France. On avait un peu sympathisé avec cette grande brune à lunette. Elle bossait à l’accueil des artistes, bureau qui jouxtait celui de l’attaché de presse qui était mon interlocutrice privilégiée, et de sa stagiaire, une petite blonde du nord, chaude comme la braise avait qui j’étais sorti à l’époque, mais ça, ça sera pour une prochaine fois. Du coup avec Laure on était amené à se croiser l’été sur ce festival, on c’était aussi vu autour d’un verre à Paris mais voilà, sans plus. Et voilà que je la retrouve au détour d’une soirée dans un bar du sud cet été. On discute un peu, on convient qu’il serait sympa de se revoir et qu’en plus elle vient d’aménager sur Paris. Don’t act, je reprends son numéro que j’avais égaré, et par rejoindre mes potes. Quelques semaines plus tard, et après quelques péripéties liées aux emplois du temps à la parisienne, nous nous retrouvons un soir pour boire un verre et finalement diner dans un petit resto asiatique sympa. Elle est arrivée un peu en speed après sa journée de taf. Tailleur noir, chemisier blanc couvert d’une petite veste légère, ces cheveux flottant au vent et ces petites lunettes rondes sur le nez. Très sexy, et en même temps elle-même, très simple. S’excusant de son retard, on est entré dans le resto. Echanges divers et variés sur nos vies, nos boulots. Je l’invite parce que je suis comme ça, et que ça lui permet de tuzla escort me dire qu’elle me paye un verre dans ce cas. Cool ! Même si je ne me faisais pas d’illusion particulière sur cette soirée, j’avais choisi un resto pas très loin de chez elle. En la suivant en sortant du resto, je matais son cul, et là si je m’étais écouté je l’aurais plaqué contre le mur dans la ruelle, collé ma langue dans sa bouche et ma main à son entre jambe, mais je suis civilisé … et au fond un peu timide ! On se dirige vers une petite place, nous asseyons en terrasse, cote à cote. En buvant notre verre, et la discussion aidant je me faisais de plus en plus tactile à lui touché tantôt l’épaule, tantôt le bras, la main ! Venant l’heure de se quitter, je lui propose de l’accompagner jusqu’à chez elle, pour moi tel ou te métro ça ne change pas grand-chose. En marchant je la prends par l’épaule régulièrement, amenant nos corps à se toucher, se frôler. Je dois bien avouer que mon désir montait gentiment, et que j’en avais une demi molle en accueillant tous les fantasmes qui arrivaient à mon cerveau. En bas de chez elle, au moment de se quitter, je me lance dans un tu me n’offrirais pas un verre. Elle hésite, argue que c’est le bordel, qu’elle n’a pas eu le temps de ranger quoique ce soit. J’insiste gentiment, allez, mi je m’en fous du rangement, et je suis sur que c’est moins le bordel que tu le dis, et puis c’est cinq minutes. Bon OK. Nous voilà dans l’escalier, elle habite au 3eme, et je me retrouve encore derrière elle. Son cul m’hypnotise, je me retiens de ne pas poser mes mains sancaktepe escort de dessus. Arriver à sa porte, elle ouvre, passe devant, dépose son sac, enlève ces chaussure (moi aussi), m’indique le canapé pendant qu’elle prend deux verres et sort une bouteille de vin. Elle s’assoie, pose les verres devant nous, je la regarde dans les yeux, sans que je fasse gaffe ma main vient se coller à son visage et je l’embrasse. Baiser qu’elle ne tarde pas à me rendre. Je suis déjà super excité, mais intérieurement je me dis « du calme ». Nos lèvres se cherchent, humides et chaudes, nos langues se touchent, se caressent, tournent autour l’une de l’autre et la main que j’avais posé sur son visage descend le long de son cou, de son épaule, de son bras, se pose sur sa hanche alors qu’elle m’attire à elle et que je me retrouve à moitié allongé sur elle. Ces mains dans mes cheveux, je sens sa poitrine contre mon torse. Nous nous enflammons l’un l’autre. Je me relève un peu, défais ma chemise rapidement et alors que je l’enlève elle s’attaque à ma ceinture et mon jean. Il ne fait pas long feu avant que je me retrouve en boxer déboutonnant son chemisier blanc avant qu’il ne vole plus loin et dégrafant son soutien-gorge d’un geste laissant libre ces seins (un 90 B) vers lesquelles ma bouche en feu se jette avec avidité. Je les embrasse, les lèche, les caresse avec mes joues et enfin les saisis de mes mains coinçant ces tétons droits entre mes doigts alors que ma bouche, mes lèvres descendent, embrasse son ventre. Les mais sur ces hanches, je fais glisser son tailleur üsküdar escort le long de ces longues cuisses fermes, dévoilant un petit string noir. Remontant, j’embrasse l’intérieur de ces cuisses jusqu’à l’aine. Le désir montant en moi, j’att**** son string avec mes dents en entreprend de lui enlever de la sorte. Petite surprise pour elle qui laisse échapper un « hooo ». Le peu de tissus restant enlevé, je glisse ma langue sur sa chatte toute chaude et commence à l’exploré avant même qu’elle n’est pu protester. Protestation qui ne dure pas longtemps puisqu’écartant ses mains qui cherchaient à me reculer, je plonge avec ardeur dans son intimité. De ma langue j’explore ces lèvres, grandes, petites, la passant dans tous les plis et coins remontant ensuite vers son clito. Ces mains qui voulaient tout à l’heure écarter ma tête, appuient maintenant dessus pour que je mette plus de pression sur son petit bouton. J’ai la queue gonflée et à l’étroit. Alors que j’allais lui mettre un doigt pendant que je la léchais, elle me dit non « juste avec ta langue ». Je m’active donc à lui laper le clito avec le bout de ma langue, tournant autour, le claquant de temps à autre et accentuant la vitesse au fur et à mesure. Ce petit cochon de clito se rétractant, il me faut aller le chercher. Mais il ne se cachera jamais assez loin. Le souffle de Laure devient plus court et ces jambes se resserrent autour de mon cou, et ces mains dans mes cheveux appuient sur ma tête, cette contrainte m’excite, et je m’applique d’avantage à boire son jus tout en martyrisant son bouton de rose jusqu’au moment ultime ou dans une grande contraction son corps s’arrête soudain de bouger, pour se relâcher dans une série de tremblement accompagné d’un petit rire de Laure. Sa caresse de mes cheveux se fait plus tendre. J’ai de sa mouille plein le visage, et je suis fou d’excitation … (à suivre)

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