Le zob de Omar

Blowjob

Le zob de OmarÇa faisait plus de deux heures que nous étions allongés au bord de la mer dans une petite crique. La radio passait une chanson de Donna Sumer. Ma jambe rythmait la chanson. Omar fermait les yeux. — Putain, cette chanson m’excite un max ! J’ai la trique rien qu’à penser à la nana qui la chante! Naturellement, pas une meuf à baiser dans le coin. — Tu ne penses vraiment qu’à ça, toi ! — Tu rigoles ? Ça fait bien six ou sept heures que je n’ai pas tiré ma crampe. J’ai les boules remplies de jus à ras bord… Elles risquent d’exploser… et ma bite aussi d’ailleurs. Tu sais, j’ai de gros besoins ! Il avait pris ses couilles et son zob qui gonflaient son maillot dans sa main et les agitait grossièrement. Omar pouvait être un mec adorable, fin, distingué lorsqu’il le voulait… Il pouvait également être terriblement vulgaire lorsque le démon du sexe le titillait. C’est à dire le plus souvent ! — Tu baises souvent lorsque tu n’es pas en vacances ? — Pareil qu’en vacances ! Le plus souvent possible. Tu sais, les filles sont prêtes si tu sais y faire. Je sors énormément. Comme, en plus, je suis un beau petit mâle bien gaulé, je n’ai pas trop de problème ! Dit-il sûr de lui. Et toi ? — Moi, bof !!! J’ai baisé 2 ou 3 fois et encore, ce n’était pas le pied ! Faut dire que je trouve rarement la personne qui me branche… J’aimerais bien le faire plus souvent mais j’ai pas souvent l’occasion, voilà ! C’est dommage, parce que, au fond, j’aime ça, le cul… — Putain, rien que de parler de ça, ça me fout une gaule d’enfer ! Il jeta un coup d’œil autour de lui et constata que nous étions les seuls dans le coin. Il me regarda d’un drôle d’air. — Quoi ? Qu’as-tu ? — Je bande n’importe où, mec, et parfois – comme ici au bord d’une piscine où il peut y avoir du monde – c’est gênant ! Effectivement, son zob avait grossi pas mal et le gland proéminent semblait vouloir sortir du maillot. Il ne se coucha toutefois pas sur le ventre pour cacher son érection. Il devait en être fier. Du coup, ma queue aussi avait pris du volume et de la longueur. Allongé sur le dos, les jambes écartées et les bras derrière la tête, j’ai tiré ma serviette en éponge sur mon bas-ventre. J’étais moins exhib qu’Omar. L’heure de la sieste se terminait. N’importe qui pouvait arriver d’un instant à l’autre. — Y a pas à avoir honte, mec ! Me lança Omar. — Ce n’est pas ça mais… — Y a pas de mais… Il tira d’un coup sec sur ma serviette et la jeta au sol. Ma queue formait une bosse énorme sous mon speedo bleu et mes biceps étaient bandés eux aussi. L’émotion et l’excitation y étaient pour beaucoup! Excité par cette conversation, j’avais même la tête qui tournait un peu. — Merde, t’as les tétons dressés! Hurla presque Omar. — Ta gueule! Lui ai-je dit. On va nous prendre pour des pédés! Je me mis à rire comme lui tout en regardant à mon tour à gauche puis à droite. — J’en peux plus! Soupira-t-il. Elle est si serrée là-dedans que ça m’en fait mal ! Je l’enlève. Il se leva avec une lenteur inhabituelle et me mima, de dos, un strip très suggestif. — On dirait que t’as fait ça toute ta vie, Omar ! — Tu ne crois pas si bien dire… Il était debout, nu, sa queue raide comme un bâton, longue, droite, presque toute décalottée. Fier. Terriblement fier d’un corps qui, je l’avoue, me semblait parfait et agréable à regarder. — T’en as dit trop ou trop peu. Explique ! — Ben… Tu jures de garder ça pour toi ? — Parce que tu me prends pour une balance ? — Non mais… jure quand même… — Je le jure. — Ben, voilà ! Il y a deux ans, lorsque j’ai arrêté la daube, j’étais dans la merde, sans pognon et j’ai un peu fait des passes… — Tu t’es prostitué !!!!? — Pas exactement. — Explique karabağlar escort ! — Enfin… — Omar !!!!! — J’ai accepté un boulot de gogo-dancer dans une broîte ! — Tu te foutais à poil pour exciter des meufs en chaleur? — Pas exactement, coco! Tu vas mieux comprendre pourquoi je t’ai fait jurer… C’était dans un club de pédés ! — Tu déconnes ? — J’en ai l’air ? —… — Dis quelque chose, mec ! Je suis sans voix. Ça t’excitait de te foutre à poil devant des tantouzes ? — Ça me rapportait gros, mec ! T’imagine même pas ! J’ai fait ça cinq mois, tous les week-ends… Tout en me racontant ça, sa queue montait et descendait dans son étui. Il triquait comme un… turc. Ça me fit sourire de penser à ça ! — Ça te choque ? demanda-t-il — Pas du tout ! C’était vrai. Se dépoiler devant des mecs ou des nanas, c’était un job comme un autre. Omar me demanda ma crème et je lui dis qu’elle se trouvait dans mon sac à dos de l’autre côté. Plutôt que de me contourner, Omar s’étira au-dessus de moi et je me suis retrouvé avec son équipement devant le visage. À ce moment précis, je ne sais ce qui a pu me passer par la tête mais j’ai pensé que ce zob ne demandait qu’à être sucé. Mes yeux voyageaient sur son corps sublime, s’arrêtant sur ses fesses rondes fermes et sur son torse poilu et viril. Je me suis rendu compte que j’avais envie de le toucher et de caresser. Comme il s’éternisait devant mon visage et que ma respiration s’était accélérée, je lui soufflais dessus. Il devait le sentir mais ne faisait rien. Il s’étira encore plus et ma bouche se situait juste en face de sa bite. C’est là que tout a basculé ! Ne me demandez pas ce qui m’est passé en tête… Je l’ignore… Enfin, il est clair que nous étions à vif, excités comme des chiens en rut ! J’ai sorti la langue et je l’ai passée sur son gland humide, offert à moi. Il a gémi. Un son que je n’avais jamais entendu dans la gorge d’un mec. C’était terriblement excitant. J’ai pris le gland tout entier dans ma bouche et j’ai commencé à le sucer maladroitement. Pas si maladroitement que ça puisse qu’il a pressé contre mon crâne pour m’encourager. Il ne disait rien mais m’a fait comprendre qu’il voulait changer de position. Il approcha son visage du mien et prit ma tête pour me faire le plus chaud et violent baiser d’amour que j’ai reçu. Ses mains me brûlaient. Sa langue s’engouffra dans mes lèvres pour fouiller ma gorge. Tous les deux sur ma natte, nous nous léchions le visage et le cou. Il commença à descendre vers ma poitrine puis mon ventre. Ses mains firent glisser mon slip de bain et ma bite claqua contre mon ventre. Elle ne demandait que ça depuis vingt minutes. J’étais abandonné, je me donnais. — Omar, je… — Ne dis rien ! Je t’en prie… Laisse-toi aller !J’avais un peu peur qu’il ne regrette déjà et que bientôt, moi aussi, je ne trouve cette expérience ridicule et choquante. Qu’importe! L’instant présent était sublime! Nous roulions l’un sur l’autre, quittant ma natte pour atterrir dans le sable. Mes poils blonds et ses poils noirs s’épousaient, se mélangeaient… Il me recouvrait totalement de son corps lourd, puissant. Ses yeux rivaient les miens. Ils étaient remplis de fièvre, de chaleur. Sa queue gonflée de désir était sur la mienne, plaquée vers le haut. Mes mains saisirent ses fesses dures. C’était plus qu’agréable. Sa queue glissait contre mon ventre et je la sentais grossir. Moi qui, dix minutes plus tôt, charriais encore les pédés… j’étais là, entre les mains d’un beau mâle, à m’abandonner à ses désirs. Omar m’embrassa encore. Il était un étalon qui voulait me prendre et, moi… j’en avais envie. Comme pour me rendre ma caresse, escort karabağlar Omar saisit ma queue et la suça de haut en bas en caressant mes couilles. Ma bouche s’ouvrait et se fermait comme pour happer le plaisir autour de nous. Tous mes trous étaient excités. J’aurais voulu que ça continue des heures et j’avais vraiment peur de jouir tout de suite. — Pas… pas trop vite! Ai-je murmuré. Il abandonna ma tige frémissante et m’embrassa sur tout le corps, me donnant des petits coups de langue dans tous les coins. Il me retourna doucement sur le ventre, me faisant frissonner. — «Il» me rend dingue! Me dit-il.Je n’osais imaginer qui était ce «il». Il n’y avait cependant aucun doute là-dessus… c’était de mon cul qu’il parlait! Il écarta mes fesses dures avec beaucoup de tendresse et y respira un bon coup. Son souffle tiède me combla de bonheur. Il posa sa bouche sur mon anneau serré et l’embrassa. HUMMMMM !!! Un beau mâle sauvage me soufflait sur la pastille qui se détendait. — Tu vas aimer ! dit-il. Il posa d’abord un doigt insistant sur le trou, puis la main entière glissa dans la raie. Il recommença à titiller avec un doigt et tenta de pénétrer dans ma rosette. Je n’ai pas compris tout de suite ce qui se passait derrière moi. J’étais prêt à accueillir ce doigt inquisiteur et à m’offrir à de nouvelles sensations; C’est autre chose qui se présenta. Un bruit, un autre, un troisième! Perdu dans mes rêves lubriques, je ne savais pas… Il posa sa bite lubrifiée et recouverte d’une capote là où le doigt avait essayé d’entrer. Je me suis cambré, effrayé. — Non ! Non, Omar ! — Je t’en prie. J’en ai trop envie !!! — Ton zob trop gros ! — Tu ne diras pas ça lorsqu’il sera en toi et qu’il glissera entre tes fesses. Mon chéri, tu vas adorer. Ses mains me caressaient et son souffle parcourait ma nuque. — Je n’ai jamais… — Je sais! Tu ne trouves pas qu’il vaut mieux faire ça une première fois avec un ami… une personne de confiance? La crapule savait y faire. Il voulait absolument tirer sa crampe et pour ça, mon cul lui convenait. Qu’importe ma douleur, il voulait me niquer ! — Je vais y aller doucement ! Promis ! — C’est trop gros, je te dis ! — Pas si je te lubrifie bien… — Je sais que je vais avoir mal ! — Tu ne sais rien. Tu n’as jamais essayé. — Omar ! Il n’a plus rien dit et n’a fait preuve d’aucune v******e… bien au contraire. À force de douceur, de caresses et de mots tendres, il m’a amené à tendre la croupe, à écarter les cuisses et à offrir mon trou humide à sa bite. — Cambre-toi bien ! — C’est dingue… Je me mis tout seul en position, comme si c’était naturel. J’avais presque hâte de tenter l’expérience et de le sentir s’enfoncer en moi. Je l’entendais souffler dans ma nuque comme un a****l. Il n’en pouvait plus. Il posa fermement ses mains solides sur mes hanches et je me suis laissé aller à un doux bercement qui faisait aller et venir mon cul contre son ventre de pierre. — Oui, c’est bien, mon ange… — Ça fait mal, Omar… Sors ! Sors ! — Calme-toi ! Cambre-toi plus fort et viens vers moi ! Viens la chercher ! Viens à la rencontre de mon gros zob ! IL va te donner du plaisir, je te le jure. Tu vas en redemander… J’ai serré les dents et respiré doucement tout en suivant ses conseils avertis. Je suis allé à la rencontre de sa queue. Mon cul l’aspirait quasiment et ses couilles battaient la mesure contre les miennes. — Merci, mon chéri… Oh, merci !!! Ce beau mâle me sodomisait comme une jolie fille qu’il aurait rencontrée dans une soirée. Il m’appelait «chéri» et je trouvais ça émouvant. Je me sentais femelle, moi le grand blond viril qui faisait craquer les filles. Je me sentais karabağ escort bayan à lui. J’étais à lui. J’agitais le haut du corps comme pour exorciser le mal qui entrait en moi par derrière. Des bruits de succions venaient de mon cul et c’était troublant. Il m’embrassait de temps en temps en donnant ses coups de reins virils et décidés. Je sentais son gland dilater mon fion. — Dis-moi quelque chose, Omar ! Je t’en prie !!!— J’aime ton cul, chéri. J’ai été trop con ! — Pourquoi ? — Parce qu’on est ici, en vacances, depuis cinq jours et que j’en ai envie depuis le premier jour… — Tu avais déjà fait ça avant ? — Au club, oui ! — Quand tu dansais ? — Oui. Contre un bon supplément, j’acceptais des petits «à côtés» avec des clients généreux. Mais je n’ai jamais accepté d’être enculé… Il passa sa main de mon cou jusqu’au bas de mon dos et passa devant pour branler ma bite prête à exploser. Il flattait mes couilles doucement. — Celles-là, je les laisserais peut-être exploser en moi ! Ajouta-t-il. C’était plus qu’une déclaration. Ce mec adorable m’avouait vouloir essayer à son tour la sodomie passive… avec moi… avec ma bite… En attendant, c’était toujours lui le baiseur et il me baisait le cul divinement. Je couinais mon plaisir. Couché sur mon dos, il haletait comme un chien qui monte une femelle. Il me parlait parfois en berbère mais je ne comprenais rien. J’étais persuadé qu’il me disait des choses superbes et tendres. Ma main chercha sa queue entre mes cuisses. Je sentais la base, large, s’enfoncer dans mes fesses. C’était bizarre. Je lui ai touché les couilles pendant qu’il me limait le cul. — Je veux voir ta petite gueule quand je te baise. Je veux tes lèvres, ton regard… Tourne-toi ! Il est sorti de mon trou et m’a pris dans ses bras musclés pour me retourner. Couché sur le dos, il s’est installé face à moi. J’avais les cuisses écartées, le cul chaud et offert. Je l’ai attiré vers moi pour qu’il m’embrasse très fort. Il a soulevé délicatement mon bassin et a roulé une serviette pour la glisser sous mes reins. Il m’a souri en posant mes jambes sur ses épaules. J’ai vu sa bite énorme qui m’avait d’abord effrayé mais qui, depuis, m’avait donné du plaisir… Il l’a positionnée devant ma fente moite et l’a enfoncée jusqu’aux couilles. J’ai posé mes mains sur son poitrail velu pour jouer avec les pointes de ses tétons bruns. — Oh oui, c’est bon, mon amour ! A-t-il dit. — Tu aimes ? — Je veux continuer ça jusqu’à demain. — Chiche! — Chiche ! — T’en es bien capable ! — Que tu es beau, mon ange ! — Prends-moi, Omar… Fais-moi du bien ! — Je ne veux que ça! Jouir et te faire jouir ! À côté de ça, mon amour, les nanas c’est du pipeau… Un cul comme le tien, c’est à crever! — Tu me le feras encore ? — Oui. — Ce soir ? — Ce soir ! Cette nuit ! Demain… À l’hôtel ! Ici ! Sur un bateau… Omar était un dieu de l’amour. Je dis bien de l’amour. Je comprends aujourd’hui que s’il était d’abord un excellent baiseur, il était doublé d’un esthète de l’amour. Il me fit donc l’amour jusqu’à l’explosion. — Amour, je vais jouir ! Hurla-t-il. — Viens… Viens sur mon ventre !!!Quand il cracha sa sauce, il cria très fort comme une bête qui déchargeait. Il se leva et essuya rapidement les éclaboussures sur mon corps. Il s’installa à quatre pattes et me présenta son cul poilu: — Maintenant, je te veux en moi ! C’est à toi de me baiser… — De te faire l’amour ! — Oui, si tu préfères ! Prends-moi !Ce don de sa virginité, m’émouvait profondément. Derrière lui, je vis une forêt noire ouverte et prête à accueillir ma bite. Le soleil chauffait sa croupe dorée et ronde comme une brioche. J’avais envie de pilonner ce beau cul de macho. J’hésitais. Encore une nouvelle expérience mais il me guida. J’étais raide comme jamais. — Tu vas aimer ! Me dit-il. — Mais… mon zob est trop gros, Omar ! — Arrête de te vanter, chéri et plante-moi ton petit zizi dans le cul… Je n’en peux plus ! Je te veux ! On a éclaté de rire tous les deux. FIN

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