Mélanie & Isabelle

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Mélanie & IsabelleMélanie & Isabelle “Tribadisme extrême”Mélanie est une jeune femme de vingt-deux ans, brune aux cheveux longs lisses avec un joli visage fin, de grands yeux noirs et une bouche pulpeuse qui dévoile d’agréables petites fossettes aux commissures des lèvres, ensoleillant son minois lorsqu’elle sourit, comme pour refléter sa joie de vivre intérieure. Il faut dire qu’elle a beaucoup d’atouts: grande et bien proportionnée, à la fois sportive et détendue, elle est en quatrième année d’études d’ingénieur, pratique le piano, la guitare et la batterie depuis son plus jeune âge, est curieuse, passionnée par l’art et la nature et est aussi reconnue dans sa ville comme une personne au cœur d’or, n’hésitant pas à passer une bonne partie de son temps libre à faire du bénévolat, comme aide à domicile pour des gens qui en ont besoin. Un vrai petit ange!C’est comme ça qu’elle fait la connaissance d’Isabelle, veuve de quarante-neuf ans, qui vient de déménager après la perte de son conjoint. Cette infirmière qui travaillait dans un centre de rééducation, a sombré en dépression suite au décès tragique et soudain de son mari deux ans auparavant, et depuis s’en remet doucement, mais sûrement. Elle est venue s’installer dans la bourgade afin de repartir à zéro, mais encore fragile et n’ayant personne pour la soutenir au quotidien, elle décide de passer une annonce dans le journal local. Isabelle habite maintenant un appartement au troisième étage d’une résidence calme du centre ville. La même que celle où vit Mélanie.C’est en voyant l’adresse sur la petite annonce que cette dernière n’a pas hésité une seconde à se déplacer directement pour aller à la rencontre d’Isabelle, plutôt que de lui passer un coup de téléphone. Le samedi, vers 14h, Mélanie se présente au domicile de la femme et appuie sur la sonnette à côté de la porte d’entrée.Pour l’occasion, elle s’est habillée de façon ”écolière”, portant des bas noirs et une jupe rouge lui arrivant un peu au dessus des genoux, avec une chemise blanche laissant transparaître un soutien-gorge de couleur foncée par pression de sa poitrine généreuse contre le tissu, et recouverte d’une veste en jean arborant un patch cousu ”Service is my Vice”. Quelques secondes plus tard, des bruits de serrure font écho dans le couloir, la porte s’entrouvre et une voix légèrement enrouée demande:« Oui, c’est pour quoi? »« Bonjour Madame, je m’appelle Mélanie et je répond à votre annonce pour la recherche d’une assistante à domicile. Comme j’habite moi même au cinquième, je me suis dit qu’aller me présenter directement à vous serait plus sympathique que de vous passer un coup de fil… »« Oh, très bien, effectivement c’est une bonne initiative mademoiselle, mon nom est Isabelle. Mais entrez, je vous en prie! »La porte s’ouvre entièrement et les deux femmes peuvent alors se jauger rapidement. Isabelle est un peu plus petite et aussi un peu plus ronde que Mélanie mais elle reste tout à fait en forme pour son âge. Elle a une poitrine et des hanches assez larges, ce qui donne l’impression que ses vêtements la serrent un peu, comme si elle avait pris quelques kilos récemment sans pour autant adapter sa garde-robe. Son visage a l’air marqué par la fatigue, de multiples rides naissantes mais néanmoins visibles contrastent avec de larges orbites d’où brillent de beaux yeux bleus et un petit nez en trompette qui sont là pour rappeler que cette femme a été -et est toujours- très agréable à regarder. Elle a des cheveux châtains coupés au niveau des épaules dont les pointes recourbent légèrement.« Asseyez-vous Mélanie. » dit-elle en lui désignant le canapé, sur lequel est en train de ronronner un petit félin.« C’est Machatte, c’est…ma chatte! Vous pouvez la caresser, elle est douce et docile… » dit Isabelle en esquissant un petit sourire amical, ce qui a pour effet de faire pouffer de rire Mélanie l’espace d’une seconde, avant qu’elle ne l’étouffe de sa main. Rien de tel pour commencer à briser la glace, se disent-elles simultanément. Isabelle demande:« Alors, avant toute chose, avez-vous soif Mélanie, voulez vous un café, un thé, un coca, de dois aussi avoir du sirop de menthe..? »« Avec plaisir, un coca ira très bien, merci! »« Parfait, j’arrive dans une minute! » répond Isabelle en se dirigeant vers la cuisine.Mélanie observe les lieux pendant ce temps. L’appartement est assez spacieux mais c’est une impression dû au fait qu’il n’y a pas beaucoup de mobilier ni de décoration. Un point qu’elle abordera sûrement avec sa nouvelle connaissance dans les prochaines minutes. Quelques cartons sont empilés ici ou là, un pied d’éléphant orne le coin entre la fenêtre et la télévision, qui est en train de diffuser un reportage sur les chasseurs d’orage dans le sud des Etats-Unis.Isabelle revient avec un petit plateau qu’elle pose sur la table-basse avant de s’asseoir à côté de Mélanie.Tout en commençant à servir un verre à son invitée, elle engage la conversation:« Cela me fait très plaisir que quelqu’un ai répondu aussi vite à mon annonce. Voyez-vous, mon mari est décédé dans un accident de voiture il y a plus de deux ans. J’ai décidé de venir m’installer ici après une période de profond désarroi pour repartir du début, nous n’avons pas d’enfant et les quelques amis que nous avions se sont peu à peu volatilisés, il faut dire que pendant près d’une année j’ai refusé de voir quiconque, restant jour et nuit enfermée dans le noir et ne sortant de chez moi que pour me ravitailler. Une période cruellement difficile. »« Je suis désolée… » dit Mélanie qui paraît vraiment attristée par le récit de son hôte.« Vous m’avez l’air d’une jeune femme fort sympathique, de plus vous êtes très mignonne! » rétorque Isabelle.« Merci! » dit Mélanie en portant son verre à ses lèvres. Isabelle, après avoir bu une gorgée du sien contenant ce qui, à l’odeur, semble être du whisky, reprend:« Après quelques mois un peu moins durs à vivre, et c’est relatif, j’ai relevé la tête en me disant qu’il fallait aller de l’avant. J’ai cherché à changer d’air, alors me voilà ici, depuis une semaine au bord de la mer, prête à continuer même si je sais que mes meilleures années sont derrière moi. Mais il me reste encore pas mal de chemin avant de retrouver une totale autonomie ainsi qu’une vie sociale digne de ce nom, car du coup j’ai perdu mon travail… »« Que faisiez-vous? » demande Mélanie.« Je suis infirmière, j’étais spécialisée dans les soins de récupération ou rééducation, mais il va me falloir d’abord retrouver la force de bien m’occuper de moi avant de pourvoir m’occuper des autres. En tout cas je compte me remettre au travail dans un délai raisonnable, déjà parce que je ne suis pas encore à l’âge de la retraite (elle rit), mais surtout parce que j’aime mon métier, être aux côtés des autres est important pour moi et je veux encore continuer à le faire. Dès que psychologiquement je me sentirai apte, je chercherai un poste. »« Je vous aiderai en temps voulu, moi aussi j’adore aider les gens, cela me rend heureuse de les voir soulagés de leurs problèmes, et personnellement ça m’apporte beaucoup de motivation dans ma vie de tous les jours » dit Mélanie en suivant du regard le verre d’alcool que vient de prendre dans sa main Isabelle. Cette dernière reprend:« Mais assez parlé de moi, parle moi de toi, euh… parlez moi de vous, enfin… ça te déranges si on se tutoie? ». Les effets de l’éthanol se font apparemment ressentir. Mélanie, qui a l’habitude des soirées étudiantes, n’en est en rien choquée et espère simplement qu’Isabelle n’abuse pas trop de la boisson en général. Elle répond:« Pas du tout, ça ne me gêne pas! Et bien, pour ma part, je suis des études d’ingénieur en physique appliquée aux nouveaux matériaux de construction, je suis aussi musicienne, aide à domicile aussi parfois, ça je pense que tu as remarqué! » dit-elle en finissant par un petit rire franc.Mélanie et Isabelle continuent de faire connaissance et à échanger pendant tout l’après-midi. Elles se découvrent en définitif beaucoup de points communs, rient énormément pour un premier contact et deviennent très rapidement amies, si bien qu’Isabelle lui propose de venir dîner le lendemain soir chez elle.« Avec plaisir, je m’ennuie souvent le dimanche, et en plus je n’ai pas cours le lundi matin… »« Mais au fait, tu n’as pas de petit ami? C’est étrange pour une jolie jeune femme comme toi… » fait remarquer Isabelle, en observant lentement Mélanie de haut en bas, presque en la déshabillant du regard.« J’ai eu un copain au lycée et quelques coups d’un soir pendant mes études mais rien de très sérieux, en fait je crois que je n’ai pas le temps d’avoir une relation suivie tu vois, j’ai déjà beaucoup à faire avec les gens dont je m’occupe… ». Sur ce, elle lance un clin d’oeil complice à Isabelle, et pendant un bref instant les deux femmes se fixent les yeux dans les yeux, avant de se sourire mutuellement.« Allez, il se fait tard et je dois aller bosser ma théorie quand même. » dit Mélanie en se levant du canapé et s’étirant après y être restée assise quelques heures. Isabelle fait de même, puis la raccompagne jusqu’au seuil de la porte d’entrée.« Ravie de t’avoir rencontré Mélanie, je sens que nous allons bien nous entendre et que tu vas m’être d’une aide précieuse, je n’aurai pas pu si bien tomber, à croire que c’était voulu! » dit Isabelle en étreignant la jeune femme pour lui faire la bise. Leurs deux poitrines se serrent l’une contre l’autre et la main chaleureuse de Mélanie imprime un mouvement délicat du bas vers le haut sur le dos d’Isabelle, tandis qu’elle lui répond doucement:« Moi aussi Isa, j’ai hâte d’être à demain soir, nous pourrions faire une sorte de pendaison de crémaillère, j’amènerai une bouteille de champagne pour l’occasion! »Mélanie et Isabelle se tiennent l’une en face de l’autre, éclairées par le néon du couloir. La nuit est déjà tombée depuis une bonne heure.« A demain, et bonne nuit! » lance la veuve à l’étudiante qui s’apprête à monter les escaliers, situés pratiquement en face de la porte, pour regagner son logement deux étages plus haut. Ses yeux se laissent aller sur la jupe rouge, dont chaque marche gravie fait qu’elle épouse un peu plus la courbe des fesses de Mélanie, jusqu’à ce qu’il ne reste plus qu’un bruit de pas diffus, terminé par les sons étouffés de clefs tournées dans une serrure, puis d’une porte qui se ferme.Le lendemain, à 19h, Mélanie sonne chez Isabelle. Cette dernière ouvre rapidement à sa convive.« Bonsoir Mél! »« Salut Isa! » répond-elle, en tendant une bouteille de champagne comme prévu et en affichant un large sourire, luisant de rouge à lèvre sous l’éclairage artificiel et faisant ressortir les jolies fossettes de la jeune femme, qui est resplendissante. Ce soir, elle porte un pantalon en jean, un pull rouge bordeaux et un petit gilet blanc en guise de veste. Elle s’est maquillée de façon à mettre en valeur ses grands yeux, comme si elle se rendait à un rendez-vous amoureux. De son côté, l’infirmière a fait l’inverse: c’est elle qui s’est mise en jupe, de couleur foncée lui arrivant à mi-cuisse et au dessous de laquelle s’élancent une paire de jambes entièrement gainées de bas-résille noirs aux motifs en croisillon, dont les extrémités ont trouvé refuge dans de petites pantoufles confortables. Isabelle porte un chemisier décolleté clair et une paire de boucles d’oreilles filiformes et incrustées de ce qui semble être des rubis.« Ouaaah, quelle beauté! » compliment Isa.« Je dois dire que tu es vraiment très belle toi aussi Isa! » répond Mélanie en faisant la bise à son amie.« Merci, entre, je vais te débarrasser » dit Isa en prenant la bouteille et en refermant la porte après que Mél ait pénétré dans l’appartement.« Fais comme chez toi, installe toi, j’en ai pour une minute, le temps de préparer l’apéro »« Tu ne veux pas un coup de main? »« Non, t’inquiète pas c’est bon, qu’est ce que tu veux boire? » demande Isabelle de la cuisine, en mettant le champagne au frais. Une bonne odeur de cuisson flotte dans l’air, ce qui met Mélanie en appétit et la décide à prendre un peu d’alcool.« Je ne sais pas, comme toi! »« Whisky pur, ça te convient? Sinon je peux le couper avec du coca si tu veux..? »Mélanie se rappelle alors d’une soirée pas si lointaine où elle fût horriblement malade après avoir bu du whisky pur, et même, d’un point de vue général, elle ne tient pas trop l’alcool. Cependant, elle aime les sensations de la désinhibition occasionnellement, et cerise sur le gâteau, ce soir elle est ”chez elle”…« Avec du coca s’il te plaît Isa, et pas trop de whisky, si possible… »« Attention, j’arrive! » lance Isa en entrant dans le salon avec le même petit plateau que la veille, sur lequel sont posés les deux verres, dont un beaucoup plus sombre et rempli que l’autre. Les deux femmes s’assoient sur le bord du canapé de sorte à n’être pas complètement côte à côte et suffisamment tournées face à face, lèvent leur verre à leur rencontre ainsi qu’à l’installation d’Isabelle dans la résidence, boivent chacune une gorgée et commencent à discuter. La télévision est toujours allumée mais aucun son n’en sort. D’après les images, on dirait une série humoristique américaine des années 90, probablement pas très drôle. La pièce est assez bien éclairée par un puissant halogène sur pied, installé dans le coin côté fenêtre du canapé.« …et donc je dis au gars, ”écoutez, faites au moins un geste commercial!”, tu sais ce qu’il m’a répondu? » illegal bahis dit Isa en posant franchement sa main sur la cuisse de Mélanie, qui se contente de poursuivre avec un petit rictus, prouvant que le whisky lui tourne la tête, en même temps qu’elle termine son premier verre:« Il a dû te dire que si son chef l’apprenait, il serait viré, alors il n’a pas voulu se mouiller, classique, ah ah ah, et pendant ce temps là, qui c’est qui continue à se faire avoir, c’est nous, les gentils consommateurs… »« Exactement! Enfin, ce n’est pas près de changer de toutes façons… Tu veux un autre verre? » propose Isabelle.« Hum, pourquoi pas, mais avant j’aimerai aller aux toilettes! »« Bien sûr ma chérie, c’est au fond du couloir à gauche, la porte juste après le tableau avec la fleur et le sablier… »« Merci, je reviens! » dit Mélanie en se levant doucement pour ne pas perdre l’équilibre. Elle sait qu’elle n’est pas complètement bourrée et qu’elle garde le contrôle mais elle préfère y aller avec prudence.Isabelle, quant à elle, en est à la moitié de son troisième verre de pur whisky, et paraît tout juste un peu ”pompette”. Pendant que Mélanie est occupée, elle en profite pour resservir son invitée d’un léger mélange, et regarde la télévision aphone en posant la main sur Machatte, roulée en boule au fond du canapé et ronronnant de plus belle. Lorsque la jeune étudiante revient s’asseoir près de cinq bonnes minutes plus tard, Isa lui demande:« Mélanie, ça va? Tu te sens bien? Tu m’as l’air un peu pâlichonne… »Mélanie fixe Isabelle avec un petit sourire coquin, le regard malicieux, et sa respiration se fait de plus en plus forte et rythmée. Elle se rapproche d’Isa et lui dit:« Isa, je suis toute excitée, depuis hier soir je pense beaucoup à toi, et nos quelques allusions furtives sans équivoque pour moi, enfin… ce que je veux dire, c’est que… »Sans dire un mot, Isa att**** par les cheveux l’arrière de la tête de Mélanie et vient lentement coller sa bouche contre la sienne. Les yeux de Mélanie se révulsent comme si elle perdait connaissance, elle expire au même moment profondément dans un petit râle de plaisir. Les deux femmes s’embrassent langoureusement pendant de longues secondes, mêlant leurs langues et barbouillant allègrement leurs mentons de salive chaude dans une multitude de petits bruits de succion et de gémissements aigus.« Tu as déjà fait l’amour avec une femme? » demande Isabelle à Mélanie en lui caressant activement les cuisses.« Jamais, mais ce n’est pas l’envie qui me manque, en fait j’ai un fantasme depuis très longtemps et je me suis fait des tonnes de scénario en pensant au jour J… »« Je t’écoute, raconte moi… » dit doucement Isa au creux de l’oreille de Mél avant de l’embrasser dans le cou.« Je suis folle d’une pratique qui s’appelle le ”tribadisme”, ça consiste en deux femmes qui se frottent chatte contre chatte… J’ai vu cette position dans un film X quand j’avais seize ans et ça m’a complètement retourné l’esprit. Depuis, mon fantasme, c’est de faire du tribbing, c’est un autre nom qu’on lui donne, avec une femme, mais poussé à l’extrême, dans toutes les positions et jusqu’à l’orgasme mutuel. Quand je suis seule, je me met face à un miroir mural et je rajoute un autre miroir sous mes fesses, puis je me frotte dessus. J’ai l’impression que mon minou se mélange à celui d’une autre et ça me fait jouir comme une cinglée! »« Mais ça a l’air très intéressant tout ça, je suis partante pour réaliser ton fantasme mais en échange, il faudra d’abord qu’on fasse deux ou trois choses… » dit Isa.« Tout ce que tu voudras! » répond Mélanie d’une petite voix cotonneuse, juste avant qu’Isabelle ne remette sa langue dans la bouche de la jeune femme.Isa, tout en continuant d’embrasser Mél, remonte ses mains des cuisses vers la poitrine de cette dernière et entreprend de lui caresser les seins à travers le pull bordeaux. Elle constate alors que Mélanie ne porte pas de soutien-gorge et arrive à sentir ses tétons durcir malgré l’épaisseur du vêtement. Isa s’attarde alors sur ceux-ci avec ses pouces, ce qui a pour effet de faire haleter Mélanie qui accélère le mouvement de la langue contre celle de son hôte. Mél commence alors à vouloir caresser à son tour la poitrine d’Isabelle en passant ses doigts sur son chemisier, mais Isa réplique d’un ”humhum” négatif.« Pourquoi? » demande Mélanie.« Tu vas voir! » répond Isa en se reculant et en s’installant bien dans le creux du canapé. Elle relève alors complètement sa jupe, dévoilant une culotte blanche dont l’échancrure est ciselée en petites dents de scie, et le haut de ses bas-résille qui lui arrivent juste sous les fesses. Elle place sous ces dernières un épais coussin qu’elle att**** à l’autre bout du canapé et le cale en le remontant vers le dos jusqu’à ce qu’elle soit en position telle qu’en écartant et repliant ses jambes vers ses épaules, elle se retrouve le bassin vers le haut, la vulve et l’anus bien exposés.« Maintenant, je veux que tu m’excites avec ta bouche! » dit-elle à Mélanie.Mél se redresse alors, enlève son pull qui n’arrange pas sa montée en température, libérant ainsi une paire de seins voluptueux et fermes, aux aréoles rosies et aux tétons déjà bien érigés par la friction et l’excitation. Elle s’agenouille en face du la culotte tendue par la position d’Isa (et qui commence à être un peu imprégnée de cyprine), qui fait signe à Mélanie d’y aller en douceur. Cette dernière commence alors par lui embrasser et lui lécher délicatement l’intérieur des cuisses, passant sa langue mouillée au niveau de la limite entre la peau et la lingerie blanche, mais en évitant pour le moment de mettre sa bouche directement en contact avec la culotte, en va-et-vient progressif entre chaque cuisse et en accentuant l’appui à chaque passage, n’hésitant pas à franchement laper voire mordiller les fesses d’Isa, le but étant de la faire monter en pression au maximum. Mélanie n’avait peut-être jamais connu de réelle expérience lesbienne pratique, mais on pouvait dire qu’elle en connaissait la théorie, probablement auto-inculquée par les centaines de films qu’elle avait visionné, dans sa quête de scènes de tribadisme.Tandis qu’Isabelle ouvre à présent son chemisier et extrait de leur carcan de coton ses deux mamelles généreuses et plus souples que celles de Mél, afin de se triturer les mamelons, la jeune aide à domicile, continuant son exploration buccale superficielle du bas-ventre de l’infirmière, commence à déboutonner son jean et à placer une de ses mains entre le pantalon et son string violet, qui est déjà trempé. C’est alors qu’ Isa fait signe à Mélanie de se relever, d’enlever seulement son jean et de venir se mettre à califourchon sur elle, pratiquement assise sur sa croupe, de sorte que le string, et de fait le sexe de Mélanie, soit dans le même axe que la culotte et le sexe d’Isa.« Ca te va, ce genre de position, hein ma petite cochonne!? Pour l’instant, n’appuie pas, ne bouge pas, reste comme ça! » ordonne Isa.Mélanie essaye de résister à l’envie d’écraser et de frotter sa chatte contre celle de sa maîtresse. Isa prend à pleines mains les fesses de Mélanie en la ramenant vers elle tout en donnant des petits coups de bassin, ce qui a pour effet de mettre en contact les deux clitoris gonflés et pourtant séparés par quelques millimètres d’épaisseur de lingerie. Mélanie croit devenir folle. Isa en rajoute encore en faisant des petits mouvements de hanche circulaires et en appuyant progressivement sur le fessier de Mélanie, qui gémit de plus en plus. Maintenant, les vulves se frottent franchement à travers le tissu, et chaque femme ressent partiellement la partie intime de l’autre se déformer sous la contrainte et la chaleur. Un bruit de frottement sec et saccadé s’amplifie au fur et à mesure que le mouvement s’accélère, et tant Isa que Mélanie halète rapidement et pousse des grognements de plaisir. Pendant l’action, Mélanie s’est de plus en plus penchée sur Isa, si bien que ses seins touchent ceux de sa partenaire et parfois leurs tétons s’entrechoquent directement dans le ballottement, ce qui décuple leur plaisir. Mais sans prévenir, Isabelle stoppe net l’effort. Mél veut continuer mais Isa la freine en lui serrant les hanches.« Pourquoi tu arrêtes!? J’allais jouir!! » grimace Mélanie. Sa poitrine ainsi que celle d’Isa commencent à être trempée de sueur. Les deux bas-ventre sont bouillant et la culotte, comme le string, moites. L’infirmière près de la cinquantaine lui répond:« Avant d’aller plus loin, on va se calmer un peu, relève toi s’il te plaît! ». Mélanie s’exécute, un peu surprise et assez déçue, cependant Isa la rassure:« On va aller dans la chambre à coucher, il y a plus de place et on pourra commencer les choses sérieuses. Ne t’inquiète pas ma chérie, tu n’es pas prête d’oublier cette soirée! »Les deux femmes se remettent debout, Isabelle retire sa jupe, déboutonne son chemisier que Mélanie lui enlève doucement tout en lui prodiguant de petits bisous sur la base du cou et les épaules, puis dégrafe son soutien-gorge, laissant ses gros seins reprendre leur forme naturelle sous l’effet de la gravité. Puis elles se rapprochent l’une de l’autre en se regardant affectueusement dans les yeux et s’enlacent doucement. Elles recommencent à s’embrasser goulûment avant que la main d’Isa prenne celle de Mélanie pour l’entraîner dans la chambre…Le lit est un deux places carré assez grand et doté d’un matelas confortable, recouvert d’un drap blanc replié sur deux oreillers, eux même reposant sur un traversin d’une longueur légèrement supérieure au lit et s’affaissant sur les côtés. Isa s’assoie au bord et approche Mélanie en la tirant par les avant-bras. Sa bouche est au même niveau que le bout des seins rougis et pointant de la jeune étudiante qui ont pris du volume. Isa passe désormais lentement sa langue humide sur les tétons de Mél, balayant de haut en bas, de gauche à droite, appliquant des mouvements circulaires et les suçant en passant de l’un à l’autre, créant même à un moment un fin pont de salive qui ne tarde pas à se rompre et à couler le long du corps de Mélanie. Cette dernière respire fortement en émettant des râles de satisfaction.« Haaa oui, c’est bon Isa! Lèche moi bien les nichons, oui! » dit-elle en plaçant maintenant ses doigts sur les tétons de sa partenaire pour les lui caresser. Isa, tout en continuant son activité buccale, dit à Mélanie:« Met tes doigts dans ton string et imprègne les bien de ta mouille avant de me caresser, je veux sentir ton jus de chatte chaud sur mes tétons! ».Mélanie s’exécute, fouille quelques secondes dans son intimité, puis étale sa cyprine abondante sur les mamelons d’Isa en faisant de petites pressions, un peu comme si elle trayait les pis d’une vache. Elle gémit sourdement et Mél sent bien ses gros tétons s’engorger de sang et durcir. Elles poursuivent dans cette position pendant encore deux bonnes minutes avant qu’Isa décide de passer à autre chose. L’excitation est à son comble, cette séance de stimulation mammaire mutuelle a surchauffé les deux amantes…Isa reprend la même position qu’elle avait précédemment sur le canapé du salon, sauf qu’ici elle a plus de place pour basculer en arrière et se retrouve donc les fesses bien en l’air, écarte et replie vers ses épaules ses jambes toujours enveloppées des bas-résille, de sorte que son entre-cuisses soit totalement accessible et prêt à subir n’importe quel acte que Mélanie voudra bien oser lui faire subir. Ses seins encore luisants s’écrasent de chaque côté du haut de son corps et donnent l’impression de ”couler” légèrement, comme le traversin avec le sommier…Isa place ses mains des chaque côté de ses fesses et étire la peau pour écarter son anus et le trou de sa vulve. Il y a cependant toujours sa culotte blanche qui fait office d’ultime barrière au plaisir de la découverte visuelle, sans parler des sensations…« Vas-y ma chérie, mon cul est à toi, fais en ce que tu veux! » lance-t-elle à Mélanie d’un ton à la fois soumis et provocateur. Cette dernière grimpe à quatre pattes sur le lit, approche lentement sa bouche de la surface tendue de coton blanc et passe un long coup de langue appuyé du point le plus bas vers celui le plus haut, ce qui fait pousser Isa un ”haaaa..” continue plutôt rauque. Mél réitère plusieurs fois son geste, sentant à chaque passage d’abord le renfoncement de l’anus qui se contracte faiblement, puis celui du vagin à demi ouvert et enfin la petite bosse dure formée par le clitoris apparemment encore en train de grossir. Plus Mél fait de passages et plus le sous-vêtement devient humide, aussi bien par la salive que la cyprine qui finissent par former un mélange dégageant une odeur et un goût qui enivrent Mélanie. Elle accélère la cadence, léchant franchement la chatte et le cul d’Isa à travers la culotte trempée tandis que cette dernière passe frénétiquement ses mains dans les cheveux de Mél en gémissant et en bougeant ses hanches de façon de plus en plus saccadée.N’y tenant plus, Isa passe alors sa main droite sous le côté inférieur gauche de sa culotte et, relevant légèrement et rapidement le bassin dans un mouvement habile, l’écarte amplement sur le côté de la fesse droite, mettant ainsi à l’air libre et au contact enfin direct de la langue de Mél son sexe rose brillant mouillé et brûlant d’excitation.Mélanie, contente, émet un râle aigu de joie dans un souffle chaud qui fait frémir Isa, et reprend avec plus d’ardeur le rythme du léchage. illegal bahis siteleri La chatte d’Isa est béante, avec de grandes lèvres charnues sur le haut desquelles prennent racine de petits poils noirs et drus, se rejoignant avec d’autres au mont de Venus pour former une petite touffe clairsemée. Ses petites lèvres sont pendantes, un peu fripées et changent d’orientation en fonction de la direction des coups de langue de Mélanie. L’entrée du vagin d’Isa est palpitante, ce dernier dilaté, et son anus sombre et strié luit du mélange mouille/bave qui dégouline constamment jusqu’au drap. Quant au clitoris, il doit bien mesurer deux centimètres de long, mais quand Isa fait ressortir le gland du capuchon en appuyant vers l’arrière avec ses doigts, la gangue de chair protectrice laisse place à une petite myrtille ovale et recourbée en son extrémité. D’ailleurs, à présent, Mélanie ne lèche plus seulement mais suce à pleine bouche le bouton d’Isa qui, de ses mains, écarquille toujours plus son minou détrempé et gonflé.Dans la pièce, les bruits de clapotis et de chairs mouillées qui interagissent se mêlent à ceux des gémissements et des respirations syncopées des deux femmes. Que sa langue pénètre l’orifice vaginal, fouille l’anus, titille ou rabote littéralement le clitoris de sa face rugueuse, Mél se révèle experte dans l’exercice et Isa ne tarde pas à la prévenir qu’elle est sur le point de jouir:« Hooo, c’est bon, continue, tu vas me faire venir, petite chienne, tu aimes me bouffer la chatte, hein!? Haaaa… »Mélanie ralentit alors la frénésie, puis entreprend de refroidir doucement, en soufflant dessus, l’entre-jambes d’Isabelle qui marmonne alors quelque chose de peu intelligible, dans un état second car elle était au bord de l’orgasme, d’un air de dire ”c’est pas sympa mais comme je t’ai fait le même coup tout à l’heure, il est normal que tu te venges…”.Mais soudain, elle sent quelque chose de chaud entrer à nouveau en contact avec son sexe. Mélanie s’est cambrée et maintient d’une main son sein droit, dont elle vient coller le téton depuis reposé contre le clito turgescent de l’infirmière. Cette dernière laisse s’échapper un bref éclat sonore semblant mélanger du rire à de l’étonnement, et quoi qu’il en soit sur son visage se forme un large sourire suivit d’un long râle approbateur, puis laisse sa tête retomber vers l’arrière tandis qu’elle recommence d’écarter ses fesses au maximum.Mélanie fait alors glisser lentement son téton jusqu’à l’ouverture vaginale suintante d’Isabelle, imprime de sa main un petit mouvement circulaire tout en se cambrant un peu plus, ce qui a pour effet de presque faire pénétrer le bout de son mamelon, qui redurcit peu à peu, dans la grotte humide. Mélanie le décolle alors de la chatte d’Isa pour venir l’appliquer par petites tamponnades sur son anus, sur lequel elle transmet de la cyprine via un mince filet jusqu’à ce que son trou soit bien mouillé, et remonte en glissant le long de la fente écarlate jusqu’au clito où elle s’attarde de plus en plus, en secouant rapidement son sein, faisant vibrer ensemble les deux bouts de chair rosés de la même couleur, mais naturellement pas de la même utilité…La jeune femme recommence son rituel plusieurs fois, en alternant avec son autre nichon, et laisse à un moment couler un peu de salive de sa bouche sur son téton afin de retrouver une bonne lubrification. Elle va de plus en plus vite, le fait de faire de la musique et plus précisément de la batterie lui permet de garder une cadence et une précision élevée. Elle insiste bien sur le clitoris de sa partenaire, qui après une poignée de secondes arrive enfin à la jouissance, poussant de longs cris de plaisir et subissant de puissantes contractions musculaires dont les effets sont directement observables sur son sphincter anal, notamment.Isa, après avoir retrouvé ses esprits, ôté complètement sa culotte et s’être étendue sur le lit, avoue à sa jeune partenaire, qui s’est maintenant allongée à côté d’elle, que c’est sa première véritable expérience lesbienne, en tout cas la plus intense. Mélanie et Isabelle, en sueur, s’embrassent du bout des lèvres en se regardant dans les yeux d’un air complice, traduisant à la fois du bonheur et de la fatigue, sans bouger, jusqu’à ce qu’Isa dise:« Tu m’as vraiment fait jouir comme jamais Mélanie! Maintenant, à mon tour… Enlève ton string, ma chérie! »L’étudiante de vingt-deux ans ans se met sur le dos, obéit puis écarte les cuisses, libérant un minou complètement lisse, abricot fraîchement épilé, un clitoris saillant et des petites lèvres assez développées, mais avec une peau beaucoup moins lâche que celle d’Isa, contrastant avec la texture plus granuleuse de cette dernière, et ne trompant pas sur la différence d’âge des deux femmes. Même l’anus de Mél semble beaucoup plus clair et moins plissé que celui de l’infirmière quasiment quinquagénaire.« Humm, quelle belle petite chatte! » fait remarquer Isa, avant de demander:« Je veux que tu te mettes par terre, que tu plaques ton dos contre le bord du matelas, de façon à ce que tes fesses et ton minou dépassent un peu du niveau du lit et se retrouvent face au plafond. Ensuite, je veux que tu poses tes mains de chaque côté de ton cul et que tu te l’écartes bien, tu as compris? »« J’ai surtout compris que si c’est ce à quoi je pense, je vais me régaler! » répond Mélanie et se passant la langue sur les lèvres…Mél se met dans la position demandée, espace ses doigts le plus possible les uns des autres et écartèle la zone de son anus ainsi que sa vulve dont l’orifice s’ouvre largement, puis de ses index tire vers l’extérieur la peau fine des côtés de son clitoris, qui s’aplatit et blanchit légèrement sous l’effet de la compression.« Très bien… » observe Isa, qui se retourne à quatre pattes sur le lit, postérieur en direction de Mélanie, et recule lentement, regardant derrière elle, en glissant un genou l’un après l’autre sur le drap qui se froisse en conséquence. Arrivée au bord, elle tend les fesses vers le haut tout en écartant les cuisses à fond, baisse la tête pour visualiser, entre ses seins pendants, sa position et, d’une précision millimétrique, vient emboîter son clitoris, qui a doublé de volume avec la pesanteur, dans le trou du cul de Mélanie.De son côté et pour sa plus grande joie, cette dernière n’a pas perdu une miette de l’opération qui aurait pu s’apparenter à une manœuvre délicate de chantier… De son point de vue, elle voit se placer la croupe d’Isa au dessus de son sexe, l’effleurant à moins d’un centimètre et devine les poils pubiens de sa maîtresse lui chatouiller la raie, avant qu’elle sente son anus pris d’assaut par une masse à la fois raide, chaude et humide. Mél pousse un gémissement intense. Un clito dans son cul, elle était très loin de se l’imaginer quelques heures auparavant!Isa active son bas-ventre en essayant d’être constante dans l’amplitude des va-et-vient, car pour l’instant elle veut juste titiller la rondelle de Mélanie. Son gros clito se décalotte et se recalotte partiellement au gré du plissement contre la paroi anale de la jeune étudiante, qui, elle, contracte puis détend volontairement son sphincter pour mieux ressentir chaque seconde de l’action. Peut-être, ce faisant, espère-t-elle également aspirer le long bouton d’amour de sa partenaire dans son rectum… De nouveaux gémissements retentissent.« Tu aimes ce que je te fais, chienne? » demande Isa d’une voix influencée par le plaisir. Ses longues boucles d’oreilles se balancent simultanément à la même fréquence que le mouvement de son bassin, de même que sa grosse paire de loches, dont elle fait en sorte que les tétons frottent à même le drap du lit.« Oui, c’est trop bon! Mais j’aimerai que maintenant tu recules encore et que tu mettes ton clito contre ma chatte! S’il te plaît, fais moi jouir comme ça! » supplie presque Mélanie.Isa rit d’une manière coquine et complice, et en poussant d’un bref à-coup sur ses genoux, vient décaler la position de sa chatte comme souhaité par la jeune étudiante. Cette dernière crie carrément quand elle sent le clito dur et bouillant s’incruster dans le sillon de sa fente écartée. Pour faire encore plus de bien à Mélanie, Isabelle redresse son dos et essaye de forcer au maximum son entre-jambes vers la bas, afin que l’entrée de son vagin touche à son tour le clitoris de Mél.Les deux femmes se retrouvent donc à baiser dans une position qu’on pourrait nommer ”69 de minous”…Bien que Mélanie tente de rabattre son clitoris vers le trou luisant d’Isa pour mieux le frotter contre, le contact reste très limité à cause de la gravité qui ne permet pas à l’organe de prendre sa taille maximale. Au contraire, celui d’Isa n’a jamais été aussi bandé et c’est sans mal qu’il s’insinue dans l’orifice dilaté du vagin de Mélanie, donnant parfois l’impression imagée d’une mini ventouse débouchant une cavité, précisément lorsque le clitoris rouge et énorme recouvre totalement le trou de Mélanie, puis qu’en une fraction de seconde ce dernier se décolle dans un petit ”ploc”, comme un bruit d’air qui s’échappe brutalement..« Plus bas maintenant, fais moi jouir avec ton gros clito, vieille salope! » lance Mélanie qui n’en peut plus. Immédiatement après, elle porte sa main à sa bouche, se fait saliver volontairement puis fait sortir le liquide sur ses doigts, qu’elle s’empresse d’appliquer sur son propre bouton en le massant vigoureusement.« Ca y est, tu te lâches! Insulte moi encore, ça m’excite! » répond Isa, qui d’un nouveau geste adéquate, colle son clitoris exactement contre celui tout mouillé de l’étudiante, mais renversés l’un par rapport à l’autre.« Haaaa vieille pute, chienne, tu me rends folle, fais moi jouir grosse salope, plus fort, plus vite, baise-moi bien avec ta vieille moule! Ouuuiiii!! »Le frottement des clitoris est tellement bien rodé que Mélanie en profite pour arrêter d’écarter sa chatte et se presser les mamelons, sentant l’orgasme proche. Le gros clito d’Isa balaye littéralement celui de Mél, qui a quand même augmenté de volume grâce à la friction non-stop qui dure depuis plus d’une minute. Les minuscules glands féminins en forme de myrtille rose se laissent maintenant découvrir et s’appuient fort l’un contre l’autre tandis que les mouvements d’Isa se concentrent d’avantage sur la rapidité et la précision que sur l’amplitude, privilégiant le maintien de la position et un coulissage optimum.« Je vais jouir, je vais jouir!! » annonce bruyamment Mélanie.« Moi aussi ma chérie, ça vient! » répond Isa qui halète de plus en plus. Les clitoris sont tellement durcis et pressés l’un contre l’autre que la salive qu’avait déposé Mél pour que ça glisse mieux quelques minutes avant s’est presque complètement transformée en émulsion blanchâtre, qui se décompose en plusieurs petites zones migrant sur les organes turgescents au fil du contact frénétique, participant probablement au crépitement humide raisonnant depuis le début.« Je viens!! Je jouis!! Haaa…Haaa…Ouuuuiiiii..Haaa?aaaaaaa… » hurle Mélanie, suivie deux ou trois secondes plus tard par un long et fort gémissement en provenance d’Isa, dont c’est le deuxième orgasme de la soirée.Les deux amantes sont arrivées à jouir en même temps, clito contre clito, dans un déchaînement de spasmes et de contractions qu’elles ont ressenti et vécu à l’unisson.Epuisées et rassasiées, Mél et Isa restent collées dans la même position sans rien dire, reprenant leur souffle et en profitant de la sensation de chaleur apaisante de l’après jouissance. Leurs muqueuses tant mises à mal reprennent une forme détendue et refroidissent petit à petit, tout en restant inséparables pendant encore de longues secondes, jusqu’à ce que leurs propriétaires respectives décident qu’il en soit autrement.Les deux femmes se sont remises debout, ont retrouvé leurs esprits. Mélanie soupire profondément, Isa s’approche d’elle et l’embrasse tendrement. Elles se caressent doucement les épaules puis se serrent l’une contre l’autre sans dire un mot. Mélanie est complètement décoiffée et Isa a mal au dos.« Tu as faim ma chérie? » demande cette dernière.« Très! » répond Mél en souriant.« Alors ça tombe bien, il n’y a plus qu’à passer à table! »Isabelle prend la main de Mélanie et les amantes quittent la chambre en direction du salon, et elles seraient complètement nues si Isa n’avait pas gardé ses bas-résille…La maîtresse de maison a préparé un repas simple mais copieux, du poulet sauce tomate cuit au four avec oignons, lardons et crème fraîche, agrémenté de pommes de terre découpées en quartiers et disposées en double colonne de part et d’autre du grand plat à cuisson. Largement suffisant pour Mélanie et Isabelle, qui une fois avoir bien mangé, quittent la table et retournent s’asseoir dans le canapé, de l’autre côté de de la pièce de vie principale. Elles recommencent leurs discussions sur la société, la mode, l’économie et divers autres sujets, tout en y incorporant des expériences personnelles à travers certains exemples de leur vécu respectif. Puis, entre une vingtaine de minutes et une demi-heure plus tard, l’envie de recommencer les ébats se fait progressivement ressentir chez l’une comme chez l’autre.« J’ai vraiment adoré comment tu m’as fait grimper aux rideaux Isa, je n’imaginais pas un truc aussi intense pour un premier essai de tribadisme, c’était vraiment trop bon! »« On le refait? Je t’avoue que ma chatte réclame du dessert! » répond Isabelle en passant doucement canlı bahis siteleri sa main sur son abricot mûr et refermé, mais dont on peut deviner qu’il reste bien juteux à l’intérieur…« Ho oui! Je n’attend que ça… »« Alors c’est parti! Viens ma petite chienne, on retourne sur le lit! » dit Isa, à laquelle Mél fait un signe de tête affirmatif.Arrivées dans la chambre, elles se jettent sur le lit. Tandis qu’Isa libère ses jambes de ses bas qu’elle envoie en boule sur le sol, Mélanie lui masse doucement le ventre de la paume de la main en remontant entre ses seins, puis descend sur celui de droite dont le contour épouse le creux avant de repasser transversalement par le centre de la large poitrine, faire de même avec le sein gauche et rejoindre enfin la position initiale sur le ventre, en dessous du nombril d’Isa. Cette dernière demande à Mél de se mettre à genoux en se redressant, elle même se plaçant à l’identique en face de l’étudiante. Elle lui demande ensuite de légèrement s’avancer et d’écarter les jambes pour descendre un petit peu et adapter au mieux la position voulue par Isa:« On va se réchauffer en se frottant nichons contre nichons, qu’est ce que tu en dis? »« Justement, je n’aurai pas dit mieux… » plaisante Mélanie en souriant et en fixant la poitrine tombante de l’infirmière. Chaque femme prend un de ses seins dans chaque main et rapproche le bout rose mais pratiquement sans relief de celui d’en face, les pressant finalement les uns contre les autres et commençant à les exciter par friction. Les tétons de Mél sont ceux qui grossissent le plus vite et elle les fait glisser circulairement sur les grandes aréoles d’Isa, qui sent à son tour ses extrémités mammaires enfler.Dans tous les sens, les mamelons se confondent dans un imperceptible bruit sec de peaux qui se frottent, avant qu’Isa laisse couler un peu de salive sur les zones de jonction. Cela a pour effet immédiat de la faire gémir en même temps que Mélanie, et toutes deux, inconsciemment, accélèrent le mouvement, qui parfois saccade nerveusement de façon irrégulière et involontaire. Les tétons ont désormais atteint leur volume maximal et continuent de s’entrechoquer et de tourner les uns autour des autres tout en brillant du liquide salivaire d’Isabelle, qui, comme Mélanie, est de plus en plus excitée, comme en attestent leurs petits cris de plus en plus aigus et rapprochés.Puis les deux femmes se calment et ralentissent progressivement jusqu’à laisser leurs gros seins pendre et reprendre leurs formes naturelles, quoi que restant pratiquement collés pointes à pointes sans intervention extérieure pendant encore quelques secondes.Isa et Mél se regardent dans les yeux, puis elles approchent leur bouche l’une de l’autre avant de sortir chacune leur langue, se l’enlacer et enfin se la sucer mutuellement l’espace d’un court instant. L’étudiante dit à l’infirmière:« J’ai quelque chose qui me trotte dans la tête, j’aimerai beaucoup qu’on essaye de se frotter anus contre anus, juste pour voir quelle sensation ça peut donner… »« Pourquoi pas, mais tu as une idée de comment s’y prendre, ça n’a pas l’air évident..? » rétorque Isa.« Oui, j’ai déjà vu ça dans un film fétichiste brésilien… Allonge toi sur le ventre, écarte les cuisses et lève les fesses en l’air. Il faut aussi que tu écartes à fond ton petit trou du cul avec tes mains… »Isabelle obéit. Sa rondelle est rouge pâle et ressort assez bien grâce à la position. Mélanie se met debout sur le lit, enjambe Isa pour se retrouver dans le même sens qu’elle, ses fesses au même niveau que les siennes, puis écarte à son tour largement ces dernières avec ses mains. Doucement, elle s’accroupit et lorsque elle sent sa peau atteindre celle d’Isabelle, elle bouge de façon à se mettre bien dans l’axe. Isa pousse un petit râle étouffé. Elle sent nettement le revers des mains de Mélanie appuyer de plus en plus fort sur sa croupe qu’elle maintient le plus ouvert possible, puis perçoit un contact doux et chaud sur son petit trou. L’anus de Mélanie et celui d’Isa sont l’un contre l’autre, se rejoignant directement sur une très petite surface d’un centimètre carré mais tellement sensible que cela satisfait les deux femmes, qui ne s’attendaient pas à ça.« Humm, c’est très agréable! » lance Mélanie.« Frotte toi, bouge maintenant! » lui demande Isa.Mél imprime du bassin un petit mouvement ”en huit” tout en continuant d’exercer une pression suffisante permettant aux deux muqueuses de rester collées. Isabelle a replié les mollets vers elle et tend ses pieds pour garder un certain tonus, elle, ainsi que Mélanie, contractent par intermittence leurs sphincters pour décupler la sensation. Par souci d’augmenter l’intensité du moment, Mélanie retire une main qui écartait une de ses fesses, sur laquelle apparaît alors en blanc la forme des cinq doigts avant de s’atténuer et retrouver sa couleur rose d’origine, se soulève légèrement et s’enfonce deux doigts dans le vagin, les retire délicatement en prenant la forme d’un crochet et va les mettre contre son anus et celui d’Isa, étalant la mouille épaisse un peu partout dans un petit bruit humide et crépitant. Puis elle recommence de s’écarter le cul et de se l’appuyer fortement sur celui d’Isa, permettant de nouveau aux deux rondelles maintenant luisantes de glisser l’une contre l’autre. Les deux femmes émettent des sons qui indiquent qu’elles prennent beaucoup de plaisir à ce petit jeu assez spécial.Malheureusement, elles ne risquent pas de jouir de cette façon, et au bout d’un moment elles stoppent leur activité. Mélanie se relève tandis que qu’Isa se remet sur le dos et dit à la jeune étudiante, avant qu’elle ne repasse à côté d’elle:« Attend, reste comme ça ». Puis elle bascule son bassin vers l’arrière, repliant ses jambes vers ses épaules et les maintient en plaçant ses mains sous ses genoux. Elle se retrouve ainsi dans une position similaire à celle qu’elle avait déjà prise auparavant mais cette fois son entre-jambe est légèrement moins tourné vers le haut. Mélanie, en voyant ça, a l’idée de se remettre accroupie afin de recommencer une séance de frottage clitoris contre clitoris, qui seraient ce coup-ci dans le même sens, mais elle préfère faire un demi-tour sur elle-même, reculer et se mettre à genou de sorte à avoir la tête au niveau de la chatte d’Isa, qui de son côté peut enfin goûter au nectar de Mélanie.Les deux partenaires, en position soixante-neuf, se lèchent et se sucent le minou et l’anus avec ardeur, utilisant leurs doigts pour caresser, masser, branler, et en les introduisant pour la première fois de la soirée dans tous leurs orifices humides. En un instantané pris au hasard de l’action, l’infirmière a le nez dans le cul de l’étudiante et lui enfourne sa langue dans le vagin, pendant que la plus jeune effectue un va-et-vient rapide et puissant avec deux doigts dans celui de son aînée, tout en lui aspirant le clitoris gonflé entre ses belles lèvres pulpeuses. Toutes deux s’enivrent mutuellement de leur parfum de femme et ne s’arrêtent qu’après avoir joui ensemble violemment, cinq ou six minutes plus tard. C’est le deuxième orgasme pour Mélanie, le troisième pour Isabelle.Elles sont franchement épuisées. Mais pour terminer en beauté, Mélanie, décidément inspirée, soumet une idée à Isa:« Qu’est ce que tu dirais si pour finir on se faisait un bon tribadisme au champagne? »« Qu’est ce que tu veux dire par là? »« Je veux dire qu’on ouvre la bouteille et on se verse du champagne frais sur nos minous pendant qu’ils se frottent ensemble! »« C’est une idée originale, et en même temps ça changera de le boire, pour une fois! » répond Isabelle, visiblement emballée.« Reste là, je vais la chercher. » reprend-elle. Elle revient quelques secondes après avec la grosse bouteille de verre opaque entourée d’une serviette en tissu blanc, de petites gouttes d’eau dégoulinant sur la surface.« Je l’avais mise dans un seau avec plein de glaçons, comme tu m’avais dit hier que tu amènerais du champagne, j’avais prévu de faire les choses bien! » sourit Isabelle, ce que Mélanie fait également en disant:« Laisse moi l’ouvrir, pendant ce temps remet toi le cul en l’air, car juste après je te saute dessus sauvagement! ».Isa reprend la position qu’elle avait avant qu’elle et Mél fassent le 69. La jeune femme détache le fil de fer croisé retenant le bouchon de la bouteille, puis enserre fortement ce dernier en le poussant vers l’avant tout en le faisant tourner sur lui-même. Un gros ”PLOF” retenti dans la chambre au moment où le bouchon part, et on distingue une légère fumée sortir lentement par le goulot.Mélanie pose doucement la bouteille sur la table de chevet, et sans prévenir pose les mains sur les seins d’Isa qui observait, détendue, sa jeune amante. Cette dernière se contracte et pousse un cri de stupeur car elle ne s’y attendait pas. Ses mains sont terriblement froides. Mélanie rigole brièvement puis vient s’excuser en posant un petit baiser sur le front d’Isa, qui ne lui en veut visiblement déjà plus, si tant est qu’elle lui en aurait vraiment voulu…Puis, lentement, Mélanie se met debout en face d’Isa, plie les jambes en s’accroupissant jusqu’à ce que son sexe rencontre celui de l’infirmière, qui laisse alors ses avant-bras retenir ses cuisses vers l’arrière mais dont les mains se mettent de chaque côté du haut du pubis afin d’écarter le dessus de sa vulve et d’exposer au mieux son gros clitoris. Mél fait de même, dégageant son clito qui vient se plaquer contre celui d’Isa.En donnant des petits coups de reins, l’étudiante écrase à fond sa chatte contre la moule baveuse de la veuve. Les orifices vaginaux palpitants se frottent au rythme de la danse menée par Mélanie, les mouilles se mélangent, les clitoris turgescents également.Isa fait signe à la jeune femme de verser le champagne, qui att**** alors à bout de bras la bouteille et fait lentement couler le précieux liquide glacé au niveau de leurs sexes.Elles poussent toutes les deux de forts râles suivit d’inspirations assez bruyantes, les dents serrées, car le choc thermique a tout de suite rétracté leurs organes en provoquant une sensation pas forcément désagréable, mais très bizarre. Seulement, celle, très chaleureuse, qui vient tout de suite après les fait repartir de plus belle dans des gémissements et cris de plaisir très intense. Accommodées au passage du champagne entre leurs cuisses, elles amplifient les frottements de leurs clitos l’un contre l’autre, allant de plus en plus vite et fort à mesure que Mélanie fait couler le contenu de la bouteille, qui ruisselle dans les moindres interstices de leurs intimités, trempant complètement leurs culs et accessoirement le drap qui se trouve en dessous.L’action de l’alcool sur les muqueuses chauffe énormément les deux femmes quand Mélanie arrête de verser le breuvage refroidissant, presque à la limite du supportable, si bien qu’elles se décident à jouir une ultime fois sous une véritable petite une fontaine de champagne. Douchés par un flot continu que régule Mélanie tant bien que mal car la stabilité n’est pas évidente à garder, les minous s’encastrent littéralement l’un dans l’autre, les mains d’Isabelle, qui agrippent maintenant les fesses de Mél, la tire vers elle sauvagement pendant qu’en même temps elle bouge avec vivacité son bassin de haut en bas et de droite à gauche. Le bruit mouillé des frottements et des clapotis est très prononcé. Les clitoris sont au bord de l’explosion, écrasés et déformés sous la pression qui ne cesse d’augmenter à mesure que les deux femmes sont, elles aussi, sur le point d’exploser. C’est Mélanie qui jouit en premier, dans un moment d’extase absolu où elle hurle comme une dingue en laissant tout le reste du liquide contenu dans la bouteille sortir en une seule fois, inondant l’espèce de cuvette formée entre les bas-ventre et les vulves pratiquement soudées par l’action qui continue, et qui n’a pas tout de suite le temps de se vider par infiltration.C’est quelques secondes après, comme la fois précédente, qu’Isabelle jouit à son tour, dans un râle intense et marqué par de petits couinements post-orgasmiques coïncidant avec les spasmes de contraction de ses muscles abdominaux, fessiers et pelviens.Mélanie se laisse enfin tomber sur Isa qui met ses bras autour d’elle et sa tête contre la sienne, la jeune étudiante laissant rouler la bouteille vide sur le lit, qui termine sa course sur le sol. Les respirations sont rapides mais tendent petit à petit à revenir à la normal.« Tu as aimé? » demande Mél à Isa qui est en train de lui caresser les cheveux affectueusement en fixant le plafond, d’un air rêveur.« J’ai adoré! » répond-elle, simplement.« Merci pour cette soirée inoubliable, Isa. Je ne sais pas trop quoi ajouter pour le moment, j’ai du mal à croire à tout ce qu’il vient de se passer, tout ce qu’on a fait, c’est tellement… »« Ne dis rien, vis le moment présent, c’est ça qui compte ma chérie! » termine Isabelle, qui embrasse sa jeune partenaire sur la tête en continuant à la caresser et à regarder le plafond avant que ses yeux se ferment et qu’elle sombre dans un sommeil réparateur, dont elle a bien besoin. Mélanie, elle, s’est déjà endormie…Fin.Note: c’est une histoire originale que j’ai écrit en février 2013. Si quelqu’un maitrisant le français et l’anglais veut bien la traduire et la partager dans la langue de Shakespeare sur le site, merci d’avance!PS: je suis toujours à la recherche de femmes majeures (entre 20 et 60 ans) sur la région Parisienne pour tourner un film 100% lesbien et axé tribadisme (il suffit de lire l’histoire pour comprendre ce que je souhaite faire :)). “Compensation financière” prévue. Merci de me contacter en messagerie privée si vous êtes intéressée 😉

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