Mes journées et mes nuits chez Mamie

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Mes journées et mes nuits chez MamieJ’adore les femmes mûres. Et souvent, je fantasme sur des relations i****tueuses mères/fils. Un de mes fantasmes serait de baiser avec ma mamie; mais pas n’importe laquelle évidemment. Il faudrait qu’elle ait de bons gros seins, et un gros cul avec un bel anus qui invite à plein de choses!Alors souvent, quand je me branle sur des photos de mamies comme ça, j’imagine un fantasme qui commencerait de cette manière…bien que vous le verrez, cela devient une histoire à part entière:Je suis un jeune ado, et tout les 15 jours, ma mère nous emmène voir ma mamie, pour passer un weekend en famille. C’est là qu’un jour, ma mamie me voit nu “par hasard” alors que je sors de la douche, en train de bander. Elle me fait croire qu’elle n’avait pas entendu qu’il y avait quelqu’un, mais je sais qu’elle a encore toute sa tête. Elle n’est pas encore sénile, et son corps voluptueux est très bien conservé!Nous restons là, dans le silence. Je me sèche le haut du corps, mon érection ne faiblissant pas, bien au contraire. Je fais semblant de ne pas y faire attention. Sans la regarder, je sens qu’elle ausculte mon corps du regard et qu’elle s’arrête sur ma bite. Je me retourne vers elle lentement, son regard remonte vers le mien…lentement. Je sens qu’elle voyage entre la honte et l’honneur de l’excitation sexuelle.Comme je me tenais de côté, je me retourne complètement vers elle et j’enserre de ma main, mes couilles et mon pénis en la regardant. Le silence et sa présence encore dans cette pièce ont été trop longs dorénavant pour feindre une gêne. Au contraire, ce qui se passe ici, est bien un acte pervers assumé. Fort de ce constat, je commence à me masturber face à elle; observant son corps difficilement caché par sa nuisette. Ses énormes seins s’affaisant légèrement sans toutefois perdre trop de leur forme…sa grande culotte blanche me donnant envie de la baisser.Elle comprend alors qu’il n’y a plus à reculer désormais. Je la vois déglutir lentement alors qu’elle me regarde me branler pour elle, mon gland commençant à être mouillé. Elle va alors lentement vers la porte, et met le loquet, puis se retourne vers moi et me sourit. Alors, fièrement, elle me dévoile ses seins; se rapprochant légèrement de moi. Puis, elle baisse sa grande culotte…je vois une toison fournie, canlı bahis de grandes lèvres bombées sous un mont de vénus vallonné. Et là, elle se retourne pour la touche finale…Elle se baisse et me montre ses fesses amples et semble t-il encore bien fermes. Je devine un anus bien sombre, mais c’est à ce moment qu’elle se retourne, qu’elle prend le bout de mon pénis mouillé dans sa main, le jus dégoulinant sur ses doigts, son bras et là elle me dit: “Laisse moi faire” puis elle continue à me branler, lentement puis de manière de plus en plus assurée. Alors, elle s’agenouille devant moi, puis prend ma grosse bite dans sa bouche, la prend jusqu’au fond de sa gorge, embrassant mes couilles puis elle me fait une fellation incroyable!Après ça, j’ai bien sûr de plus en plus envie de retourner chez elle et mamie le fait savoir à ma mère également. Devant ce nouvel épanchement familial, ma mère décide de me laisser y rester tout seul certains weekends.Mon excitation grandissante à l’approche du weekend me fait me branler tout les jours de la semaine. Quand ma mère me dépose chez mamie, je tremble presque tellement j’ai envie de baiser! Mamie me voit arriver, elle me fait un immense sourire, jouant le rôle de la grand-mère tellement contente de voir son petit fils…sauf qu’elle a bien remarqué la bosse grandissante au milieu de mon jean, et que le petit-fils est loin d’être petit! Je la vois soupirer de bonheur tandis que ma mère va pour l’embrasser. Ma mère va déposer quelques affaires qu’elle a apporté dans la cuisine. J’en profite alors pour accourir vers mamie, lui rouler une pelle de malade…bien lui faire sentir mon érection contre sa cuisse et en profiter pour palper ses gros seins. Elle me repousse tendrement, avec un sourire entendu et pervers; et parlant plus fort pour que ma mère entende: “Aaah mon cher Olivier, comment vas-tu, mon grand?” Puis, jetant un coup d’oeil discret à la cuisine, où ma mère est encore affairée; elle tate ma gaule à travers mon jean; ses yeux brillants d’excitation en se plongeant dans les miens. “Oh ça va, mamie.” dis-je d’une voix blanche et légèrement tremblante. Puis elle me murmure discrètement “Faisons attention…on va se retrouver tout à l’heure, hein?” puis elle me fait un clin d’oeil entendu.Nous nous redirigeons alors vers la cuisine, bahis siteleri puis mamie prépare un thé pour tout le monde. Nous faisons semblant de penser à autre chose, et des discussions s’enchainent sur des sujets tout aussi inutiles les uns que les autres. J’essaye de ne pas trop regarder l’heure, mais je compte les minutes espérant à chaque fois que ma mère va finalement lâcher un “Bon…je vais y aller” ou “je vais vous laisser”…et comme un miracle de télépathie, c’est juste maintenant qu’un silence dans la conversation se fait. Je vois mamie et je sens qu’elle aussi a envie de pousser maman dehors, pour une fois! Mais je me rends compte que l’attente n’en est que plus excitante; et qu’il faut parfois se soumettre à la dictature du temps quand on sait qu’il y a du plaisir à venir, et du bonheur. Oh quel bonheur! Je reprends une gorgée de thé, ma bouche s’asséchant très rapidement.C’est quand je repose ma tasse que ma mère pousse un léger soupir et que ses mots divins s’échappent de sa bouche: “Bien, je vais vous laisser entre vous…” et qu’elle blablate qu’elle a à faire d’autres choses dont on se contrefout. Alléluia! J’aurais presque envie de lui rétorquer “OUI! on va baiser, maman! Je vais baiser mamie à fond, tu en entendras des nouvelles! Maintenant casse toi et laisse moi la fourrer!”Quel soulagement de se lever tous ensemble pour la raccompagner. En me relevant, je me rends compte que je bande à nouveau. Ma mère, sur le pas de la porte, se retourne vers moi pour m’embrasser…je croise les doigts pour qu’elle ne voit pas ma gaule d’aventurier! “A bientôt, mon chéri” me dit-elle, “A bientôt, maman” pour mamie; et nous la regardons démarrer la voiture, puis partir.Nous rentrons lentement dans la maison, savourant chaque seconde de silence avant de refermer la porte. Nous rentrons à nouveau dans la salle à manger, puis elle fait volte-face vers moi et là, je lui roule un gros palot; la dirigeant vers le canapé où ma mère était assise, l’allongeant…puis nous commençons à nous déshabiller et là commence un weekend d’obscénité à tout va; d’orgie de cul, de bouffe et d’alcool qui me restera gravé dans la mémoire à tout jamais.Après tant d’émotions, le dimanche en fin d’après midi; après avoir baisé et rebaisé, s’être suçé, léché, embrassé, fessé et j’en passe; ma gorge bahis şirketleri se serre et alors que la voiture de ma mère approche dans l’allée de graviers; mamie encore à califourchon sur moi (mais habillée) nous nous embrassons tendrement et je lui dis “Je t’aime, mamie…je…je t’adore!” Elle me regarde, de ses beaux yeux bleus, et elle me répond “Mais moi aussi, mon amour. Je t’adore!” Puis elle m’enlace et ses énormes seins se pressent contre mon thorax…je plonge mon visage dans son décolleté… J’hume l’odeur de ses seins, de sa peau, de son corps; j’essaye d’humer l’odeur de sa chatte mais, je me ravise car si je faisais ça maintenant; j’aurais alors besoin d’y mettre mon nez et de la lui bouffer encore pendant des heures! La tête enfouie dans son corsage, j’ai presque envie de pleurer mais j’éprouve au même moment un tel bonheur, alors que je me rappelle que ce weekend n’était que le début, et que nous pouvons nous revoir à nouveau, remettre à jour nos aventures sexuelles, explorer des routes inconnues et toujours aller plus loin dans la découverte de notre sexualité…Je la regarde alors, souriant, et l’embrasse à nouveau tendrement, alors que ma mère vient de sonner à la porte. Mamie se relève alors…nous vérifions que nous avons l’air normal et qu’il n’y a aucune trace suspecte! Tout semble aller, et nous allons donc acceuillir ma mère; nous imaginant l’instant de quelques secondes comme un vieux couple, acceuillant leur fille un peu distante qui passe faire coucou. Malheureusement, c’est l’heure pour moi de partir, et alors que je jette un dernier coup d’oeil par la vitre de la voiture; je vois mamie qui me lance un petit sourire triste et je combats les larmes qui montent en moi.Les jours passent, une ou deux semaines, je ne sais plus; puis l’annonce par ma mère d’un nouveau weekend chez mamie me redonne de l’espoir et du tonus à nouveau! (dans la bite! haha). Je cherche déjà comment écourter le rite du thé et passer aux choses sérieuses!…mais en même temps, je me rappelle de la chance que j’ai de vivre tout cela, alors je patiente…je patiente.Voilà. J’espère que vous aurez apprécié cette petite histoire. J’avais envie de la partager avec vous, petits pervers. Il est possible que je fasse d’autres versions par la suite, ou que je rajoute des détails dans une deuxième partie…En tout cas, n’hésitez pas à me dire ce que vous avez pensé de cette lecture. Il n’y a guère qu’ici que je puisse révéler ce genre de fantasmes sans être agressé ou me sentir coupable de quoi que ce soit.

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