Vacances avec ma Filleule (4)

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Vacances avec ma Filleule (4)Quand Delphine me réveille, le soleil est déjà haut dans le ciel.• Benjamin ! Benjamin ! • Quoi ? • J’ai des contractions qui me font très mal depuis deux heures maintenant, je m’inquiète et j’aimerais bien aller à l’hôpital voir si ce n’est pas grave. Mon sang ne fait qu’un tour ; je saute du lit et m’habille en moins de temps qu’il faut pour le dire. Nous montons tous les deux en voiture et je dis à Alexandra de rester tranquille à la maison et que je la tiendrai au courant dès que nous aurons des nouvelles. Après deux heures d’attente aux urgences, un monitoring et une auscultation d’un gynéco de garde, le diagnostic tombe.• Madame, vous avez eu des relations sexuelles ces derniers jours ? • Oui, Docteur. • De quel genre ? • Comment ça, Docteur ? • Des relations soft ou un peu moins conventionnelles ? Ayant encore des traces laissées par les cordes et les fessées d’hier, Delphine baisse la tête et répond timidement :• Un peu moins conventionnelles… • Je m’en doutais un peu, dit-il avec un sourire au coin de la bouche. Bon, rassurez-vous, il n’y a rien de grave. Simplement, maintenant vous devrez être plus vigilante lors de vos ébats. Vous n’êtes plus deux, mais trois. Et vous, Monsieur, faut comprendre que même si le bébé ne risque rien, il fait subir tous vos exercices à madame après. • D’accord ; donc, plus de sexe ? • Je n’ai pas dit ça : j’ai juste dit du sexe soft, car plus madame se rapproche du terme, plus le sexe peut lui déclencher des contractions et lui provoquer un accouchement prématuré. Donc évitez l’exotisme dès à présent ; et vous, Madame, reposez-vous ces trois-quatre prochains jours. • D’accord. Merci, Docteur. Au revoir. • Au revoir. Nous remontons en voiture et rentrons à la maison.• Ça va ? • Oui ; plus de peur que de mal, en fin de compte. • Oui. À part les péripéties d’aujourd’hui, tu as aimé hier ? • Pas tout, mais sinon dans l’ensemble, oui. • Qu’est-ce que tu n’as pas aimé ? • D’être attachée et de ne pas pouvoir te toucher. J’aime toucher ton corps dans nos ébats. • Et c’est tout ? • Oui. • Tu as aimé te faire pisser dessus ? • Bah, écoute. Au début, ça m’a surprise ; mais je ne sais pas, sentir ce liquide chaud couler sur moi, ça a décupler mon envie de baise. Je crois rêver ! Je l’ai fessée, étouffée avec ma bite, enculée, prise en double pénétration et fini par lui pisser dessus tout en la traitant pire qu’un objet, et le SEUL truc qu’elle n’a pas aimé, c’est d’être attachée et de ne pas pouvoir me toucher… Elle est vraiment une perle rare ! Vivement qu’elle accouche pour que je la baise comme le mérite une vraie chienne, car pour le moment, au revoir les baises folles, güvenilir bahis bonjour la baise de maman-papa.• Tu recommenceras alors ? • Pourquoi pas ? Mais pas maintenant ; tu as entendu le docteur : il faut être vigilant. • Je sais, mais je vais faire comment, moi, alors ? • Tu as Alex. Elle va s’occuper de toi, et je veillerai à ce que tu ne manques de rien. J’ai encore une bouche, et je crois que tu aimes bien mes « petits câlins »… • Ooooh oui ! Merci, lèvres de feu ! • Pfff, t’es con… Nous rions de bon cœur, cela détend l’atmosphère. Nous rentrons à la maison. Delphine file se coucher après avoir pris le cachet que lui a prescrit le médecin. J’explique tout à Alexandra, et nous passons la soirée ensemble.• Tu dors où, parrain, ce soir ? • J’sais pas. Là-haut, comme d’hab. Pourquoi ? • Tu devrais dormir avec moi et laisser tata se reposer cette nuit. • Tu as peut-être raison, mais tu prends des risques… • Non. Et puis il faut bien que je m’occupe de mon parrain chéri, maintenant : tata doit se reposer un maximum. • Tu perds pas le nord, toi ! • Jamais. Sur ces paroles, Alexandra se blottit contre mon épaule et passe sa main sous mon tee-shirt. Ma main caresse ses cheveux. Son souffle commence à être de plus en plus court. Sa main passe sous mon short et se fraie un chemin jusqu’à ma bite déjà dure et commence à me branler. Ma main descend le long de son dos et entre dans son short pour atteindre sa raie. Je constate qu’elle n’a pas mis de sous-vêtement : je vois qu’elle retient ses leçons.Elle sort ma bite de son écrin et se penche pour la lécher. Cette position me permet de lui insérer deux doigts dans sa chatte déjà tout humide. Elle me gobe les couilles une à une, puis les deux en même temps. Elle apprend vite et aime ça. Je retire mes doigts de sa chatte et les sens ; son odeur légèrement acidulée me donne une trique encore plus dure et finit de m’énerver. Je lui relève la tête en la prenant par les cheveux et lui roule en pelle en calant ma langue au plus profond de sa gorge. Je me lève et lui arrache son top. Elle ne porte pas non plus de soutif. Je retire son short ; elle est nue, sur les dos, les jambes légèrement repliées sur elle. Sa chatte lisse m’est offerte sans défense.Je me déshabille et approche mon gland de ce fourreau que je commence à connaître maintenant. J’entre sans à-coup. J’aime la sensation de rentrer dans son vagin : il est chaud, étroit et confortable. Je la lime de plus en plus rapidement. J’ai envie de l’enculer mais je ne peux pas sans lubrifiant, pas encore. Toujours en elle, je la redresse et la plaque contre mon torse. Instinctivement, elle enroule ses jambes autour de ma taille et met ses türkçe bahis bras sur mes épaules. Je me redresse et me dirige vers la cuisine ; je la pose assise sur la table et ouvre le placard pour prendre l’huile d’olive. Elle me regarde et comprend son sort : elle descend d’elle-même de la table et se retourne sans un mot.Je pose la bouteille, la pénètre, lime sa grotte d’amour encore un peu et la plaque sur la table. Je me retire et me mets à genoux pour commencer un anulingus ; ma langue rentre et sort de son anus qui se dilate peu à peu. Je lui écarte les jambes pour aller plus loin encore. Elle gémit. Je bande a en avoir mal au gland. Je reprends la bouteille d’huile et verse une bonne quantité de ce fluide visqueux entre ses fesses et sur mon chibre turgescent. Je pose la bouteille et att**** mon sexe ; je le pose sur sa rosette et pénètre délicatement. Il y a moins de résistance, mon gland est entré sans difficulté.Bien lubrifiée et elle surexcitée, le reste de ma bite se fraie un chemin sans trop de mal malgré quelques cris aigus de sa part. Je suis au fond de ses entrailles ; c’est encore plus serré que son vagin et encore plus chaud. Je sens mon cœur dans mon gland. Je commence à lui limer le rectum de plus en plus vite. La table cogne contre le mur. J’att**** ma filleule par les hanches et la guide pour la mettre à quatre pattes sur le sol. En chienne docile, elle se laisse faire. Je sors ma bite pour bien l’installer. Je mets un coussin de chaise sous ses genoux et lui plaque la joue sur le carrelage froid. Son cul est béant. J’y rentre sans peine et me cale au fond. Alex feule de plaisir. À chaque va-et-vient, je sors complètement et rentre d’un coup sans ménagement. Mes couilles claquent sur sa vulve à chaque fois. Je ne peux plus me retenir ; je décharge au fond de son cul.Sans rien lui demander, une fois qu’elle sent que j’ai fini de me vider en elle, elle se retourne, se retirant d’elle-même de mon pal et vient me nettoyer la bite de son jus de cul mélangé à mon foutre. Elle fait la grimace aux premiers coups de langue mais ne dit rien et commence même à me sucer. Une fois propre, je la relève et l’embrasse à pleine bouche. Nous nous dirigeons vers sa chambre ; elle s’arrête aux toilettes et commence à vouloir fermer la porte mais je l’en empêche. Résignée, elle s’assoit et commence à uriner. Je la regarde faire. Je vois son jet doré couler dans la cuvette, puis je prends quelques feuilles de papier et l’essuie ; elle se laisse faire. Elle est dressée. Plus de résistance : une vrai petite chienne docile ! Elle se relève et nous allons nous coucher. Nous nous endormons l’un contre l’autre.Une sensation humide et güvenilir bahis siteleri chaude sur ma bite me sort de mes songes. Je suis réveillé par une pipe matinale qui annonce une journée axée sur la baise. Un vrai régal ! Sans ouvrir les yeux, je pose une main sur la tête de ma bienfaitrice. Pensant que c’est Alexandra, j’apprécie cette mise en bouche, pensant déjà à la suite des événements. Mais d’un coup je reconnais le coup de langue de Delphine. J’ouvre un œil pour en être sûr : effectivement, je trouve ma chère femme en train de me prodiguer une de ses superbes fellations dont elle seule a le secret.Elle complètement nue, à genoux sur le lit d’Alexandra, la bouche gobant mon membre dur et une main me malaxant les couilles. Elle s’affaire de plus en plus vite et aspire ma bite encore plus loin dans sa gorge à chaque va-et-vient. Son nez touche mon bas-ventre ; il reste à peine un centimètre de ma bite à l’air libre. Elle relève la tête, faisant sortir entièrement cette colonne de chair ; des filets de bave relient sa bouche à ma bite. Delphine replonge sans hésitation jusqu’à amener ses lèvres sur la base de ma pine : elle a réussi toute seule cette fois, sans aide ni force. Elle m’impressionnera toujours…Je suis au fond de sa gorge ; je peux la sentir déglutir. Elle monte puis plonge plusieurs fois de suite comme pour me prouver qu’elle maîtrise le sujet maintenant. Elle lève les yeux et me regarde fixement. Ses yeux brillent de mille étoiles. Je ne peux me retenir plus longtemps et je décharge dans ce fourreau divin. Ma femme, comme à son habitude, avale ce nectar jusqu’à la dernière goutte et me relâche de son étreinte une fois le tout nettoyé. Elle repose mon sexe déjà ramolli délicatement et vient chercher un baiser.• Ton réveil t’a plu ? • Parfaitement ! • Tu sais, hier avant de dormir, je pensais à toi et ton envie insatiable de sexe. Je me disais que n’importe où et n’importe quand, si tu veux une pipe je te la ferai. • Merci. • De rien : je suis ta femme, et je me dois de te soulager. Tu as raconté à Alex pour moi ? • Oui. Elle est triste d’arrêter son éducation saphique, mais elle s’est déjà proposée pour te remplacer pour les parties de jambes en l’air. • La petite salope… Elle ne perd pas la moindre occasion de se faire baiser ! • Tout à fait. D’ailleurs, hier je lui ai ramoné le cul, et sans rien demander elle m’a nettoyé le gland. • Son professeur doit être bon ; elle apprend vite ! • Tout comme toi : j’ai été surpris de ta gorge profonde de ce matin. • Je ne vais pas me reposer sur mes lauriers : j’ai de la concurrence derrière qui pousse. • Oui, surtout que là, t’es sur la touche pour un petit moment… • Salaud ! Mets-moi la pression en plus, déjà que je suis en manque ! • Calme-toi ; personne ne te remplacera : tu es trop rare pour ça. Sur ces paroles, Delphine se colle à moi et nous nous faisons un câlin tendre et rempli d’amour…

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