Dogging – FaitLe dogging est un type de pratique que j’ai souvent réalisée avec Patrick. Elle consiste à aller s’exhiber dans un lieu public un peu isolé (bois, parking), se faire mater, tripoter, et souvent baiser pour ma part. L’avantage c’est que cela ne nécessite pas d’organisation particulière, il suffit de connaître des lieux ou les voyeurs ou branleurs et personnes en recherche de sexe se retrouvent, et de s’y rendre.Cette expérience que je vous raconte est sans doute un petit mélange de plusieurs que j’ai vécues.Je porte une tenue très BCBG, une vraie petite versaillaise. Ma jupe plissée blanche est facile à relever et laissera facilement voir mes bas et porte-jarretelles. Mon chemisier est rayé bleu et blanc avec son col claudine, mes escarpins classiques. Je pourrais presque aller à la messe dans cette tenue si je portais une culotte. Je pars toujours en ayant pris la précaution de me faire un lavement, je suis toute fraîche et pimpante.La grosse voiture de Patrick a un avantage, l’arrière est très spacieux, il permet d’y prendre des tas de positions de manière confortable. Je suis assise à l’arrière quand nous arrivons au bout de la large allée à l’opposé de ce petit château en forêt. L’endroit est connu, quelques voitures sont garées. Dans la plupart des cas leurs propriétaires sont dans les bois à la recherche d’aventures, souvent homosexuelles. Mais l’arrivée d’une femme fait toujours son effet.Patrick se gare comme d’habitude assez au fond, mais de manière à ne pas être bloqué et pouvoir repartir facilement. Nous sommes suffisamment cachés, mais avec une vue périphérique qui lui permet de bien voir qui arrive. Il doit akdeniz escort être 18h, le soleil commence à se coucher, la lumière faiblit. Partick est au volant, il baisse les vitres arrières et allume l’éclairage. Je remonte ma jupe et me caresse en le regardant dans le rétroviseur. Je n’ai pas à attendre longtemps, un premier voyeur s’approche.- Quelle magnifique créature- Et ça, vous aimez ? Lui fais-je en écartant largement mes jambes face à lui et en caressant ma chatte.- Houla, madame est une très belle salope, cette chatte est superbe, j’aimerais la lécher.Pour des raisons de sécurité, nous n’aimons pas nous attarder des heures dans ces endroits publics, il existe toujours un risque de voir la police passer. Je vais donc de suite à l’essentiel, j’ouvre la porte, m’assoie sur le bord du siège, jupe relevée, jambes bien écartées.- Faites-vous plaisir monsieurIl n’attend pas son reste, il est déjà à genoux et je sens sa langue pénétrer ma chatte, il me l’écarte des doigts et s’abreuve littéralement, ses mains parcourent mes jambes, mes bas, il lèche comme si c’était la dernière fois de sa vie.Un attroupement se forme assez vite, 4 ou 5 hommes regardent, se caressent la queue, s’approchent. Je sors de la voiture, je m’y appuie et me penche en arrière. Mon lécheur continue goulûment à me faire profiter de sa langue en levrette. J’entends Patrick dire « Vas-y baise là » en tendant un préservatif à quelqu’un. Je tourne la tête pour voir une queue toute raide, 30 secondes après elle est déjà dans ma chatte. L’avantage d’être avec mon mari c’est qu’il fait attention à tout ce qui se passe, moi je n’ai qu’à mezitli escort me concentrer sur le sexe. Pendant qu’un homme me baise les autres s’approchent, me tripotent maintenant les seins, se branlent, je suis devenue l’attraction locale. Je fais un petit signe à Patrick qui me tend du gel. Je le tends à un homme à côté « Pour mon cul ». C’est fou comme dans ces cas les hommes vont plus vite que lorsqu’on leur demande de sortir les poubelles. Je sens un doigt gluant me rentrer dans l’anus. L’homme qui me baisait s’arrête, il a joui, en silence. – La place est libre fait PatrickUn autre s’empresse de la prendre, mais par le petit trou. Il faut dire que je l’offrais avec tellement de conviction. La queue est grosse, je n’ai même pas vu à qui elle était, mais ce cochon commence à me faire jouir, j’essaie de ne pas faire trop de bruit, mais mes couinements de plaisir s’entendent bien quand même.Alors que de nouvelles mains s’emparent de mes seins, les coups de boutoir de mon amant du moment se font pressants et de plus en plus rapides. Il jouit lui aussi.Il faut dire que dans ce genre d’endroit et de situation les choses vont souvent assez vite, les hommes m’utilisent vraiment comme une vide couille rapide, et c’est très bien comme ça.Le besoin d’une relative discrétion et le risque planant font toutefois que je ne bénéficie pas du flot d’insultes vulgaires que j’affectionne habituellement, mais on ne peut pas tout avoir.Patrick me fait signe en pointant son doigt sur sa montre.Je m’accroupis dos à la voiture, j’écarte mon chemisier, j’en sors mes seins.- Faites-moi prendre une douche de foutreEn quelques secondes yenişehir escort j’ai six bites autour de moi, elles dépassent des braguettes, les pantalons ne sont même pas baissés. Je regarde successivement chaque homme avec un regard lubrique, je tripote mes seins pour bien leur offrir, ma langue leur joue un ballet obscène.La première giclée ne tarde pas, l’homme s’est baissé un peu et m’en a mis partout sur la poitrine, les autres suivent, j’en ai dans le cou, sur les joues, je continue avec mon attitude provocatrice, je joue avec le sperme sur ma poitrine, je frotte mes seins entre eux pour y étaler le foutre, d’autres éjaculations suivent, j’en ai partout.Puis Patrick me fait un petit signe caractéristique, nous arrêtons. Je remonte place passager, 3 hommes sont encore là et regardent, je me penche sur la queue de Patrick et lui procure une pipe dont j’ai le secret. Les spectateurs se branlent encore. Nous repartons.Bien sûr, le dogging est à chaque fois différent. En général nous ne restons pas plus d’une heure, mais il m’est arrivé de me faire baiser sur un plaid dans le bois en bordure de parking, de me faire prendre par un homme de face et un derrière. De me faire baiser la tête dans le coffre par 5 hommes sans jamais voir le visage de l’un d’entre eux. Le point commun c’est que c’est toujours rapide, vite fait, la part de risque liée au fait d’être à l’extérieur n’y est pas étrangère.Pour ma part j’apprécie. Au tout début je me contentais de m’exhiber à l’intérieur de la voiture, puis de baisser la vitre pour me faire caresser la chatte et les seins, faire une gâterie. Aujourd’hui je n’hésite plus à sortir pour me faire baiser le plus possible.On ne peut jamais prévoir ce que sera une heure de dogging, c’est à chaque fois différent, la constante reste le sperme que je fais toujours gicler en abondance avec délectation.PatriciaJ’apprécie vos commentaires sur mes récits, merci d’avance.