Journée sexe avec mon oncle

Anal

Journée sexe avec mon oncleAprès avoir passé une première nuit initiative avec mon oncle, puis un réveil plus que coquin dans ses bras, nous sommes partis pour une journée de promenade, resto et cinéma. Nous avons tout d’abord longé le lac Léman dans sa superbe Floride laquelle n’avait pas été découverte, bien que le temps soit très ensoleillé, ce que je regrettais, c’eut été tellement agréable de rouler au grand air…Je compris vite pourquoi, car, tout en roulant, mon initiateur me caressait les cuisses avec douceur, ses doigts frôlant le sommet de celles ci, se glissant parfois très légèrement sous mon short pour agacer mon sexe qui commençait à grossir. Il me demanda alors de lui faire la même chose, mais n’ayant pas de short (à son age cela eut pu paraître surprenant) il me suggéra d’entrouvrir sa braguette afin que je puisse avoir directement sa bite dans ma main. Je ne me fis pas prier pour accéder à sa demande et saisissant son sexe, je le branlais doucement, lui donnant un certain plaisir à entendre ses petits gémissements. “Vas y, continue doucement, caresse moi le sexe et surtout, serre le bien fort dans ta main, j’aime que tu me fasses mal mon petit amour”….Ses mots canlı bahis me surprenaient mais je voulais lui faire plaisir et j’accédais alors, sans problème, à ses demandes, lui serrant les couilles, lui serrant la queue, lui tirant des gémissements de douleur et de plaisir tout à la fois. Il aimait que je lui fasse mal,mais moi, je n’osais pas , craignant vraiment de lui faire mal. Il insistait, “ne crains rien, j’aime sentir les ongles d’un garçon sur mon sexe, sur mes testicules, j’aime ces caresses viriles, alors vas y, fais le, griffe moi…”.Petit à petit, je m’enhardi et de plus en plus, obéissais à ses désirs; Il bandait et sa queue sortait littéralement de son pantalon entr’ouvert, son gland se tendant au maximum…Nous roulions tranquillement et tout à coup, il prit un petit chemin de traverse, se dirigeant vers une petite forêt qui, sur un coté bordait l’aéroport de Cointrin. “Là,nous allons pouvoir nous étendre sur l’herbe et profiter du soleil” me dit il en garant sa voiture sur le bas coté d’un petit chemin. Sortant de la voiture, il m’entraîna dans le sous-bois (à défaut de prairie où s’étendre…. s’agenouilla devant moi et baissant mon short et mon slip, il se mit bahis siteleri en devoir de me sucer avec avidité…J’aimais sa façon de me prendre dans sa bouche tout en me tenant par les fesses. “J’aime ton corps, ton sexe, et j’adore te faire de câlins, mais surtout, il ne faudra jamais en parler à qui que ce soit, les gens sont toujours jaloux du bonheur des autres”. Il pouvait être rassuré, je n’aurais jamais rien dit, craignant trop de parler de choses telles que nous les vivions, craignant de passer pour un drôle de garçon…je ne savais pas qu’il craignait tout simplement d’être poursuivi pour détournement de mineurs (je l’étais et lui, plus que quinquagénaire). Et puis, je dois avouer que je prenais de plus en plus de plaisir dans ces relations homosexuelles (je ne connaissais pas ce terme à l’époque…on parlait plus facilement de PD…).Il me caressait les fesses, suçant mon jeune sexe, me touchant les seins sous ma chemisette, puis de temps en temps, posait sa bouche sur la mienne et échangeait avec moi de torrides baisers qui m’excitaient au plus haut point. Il me dit de m’étendre près de lui et nous nous enlaçâmes avec tendresse, lui se couchant sur moi comme il l’aurait, bahis şirketleri je pense, fait avec une femme. Je sentais le poids de son corps m’écraser, son bassin s’agitait contre le mien et je pouvais deviner, contre mon bas ventre, son sexe tendu vers le mien. il caressait mon corps, me parlant à vois basse, me disant des mots d’amours mais aussi des “cochonneries” qui m’excitaient…”tu aimes que je t’embrasse sur la bouche ?”, “tu aimes sentir ma queue contre ton ventre”, “tu bandes mon chéri”, “Tu veux que je te suce encore”, “As tu envie de jouir dans ma bouche”, “j’ai envie de ton sperme”…bref des mots qui ne faisaient qu’augmenter mon désir d’être à lui (sans pour autant avoir envie d’être sodomisé). J’avais simplement envie de sa bouche sur moi, sur mon sexe, sur mes fesses, sur mes seins, envie qu’il me touche l’anus avec un doigt tout en me serrant contre lui…j’étais bien et j’aurais bien aimé reste longtemps ainsi, dans ses bras, à lui offrir mon corps d’ado en chaleur. Mais nous ne devions pas trop nous attarder car il avait réservé un restaurant à Genève et nous devions rejoindre cette cité pour y déjeuner et aller, ensuite, au cinéma…Il entreprit alors de me faire jouir dans sa bouche et, avalant ma semence, il se releva et remettant de l’ordre dans ses vêtements me dit d’en faire autant avant de rejoindre la voiture avant de reprendre la route vers la cité de Calvin….

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