Ma jeune voisine la partouzeuse

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Ma jeune voisine la partouzeuseJ’avais passé cette soirée-là à picoler dans des bars avec deux collègues. A mon retour dans l’immeuble où j’occupais un studio, je ne suis pas parvenu à enfoncer ma clé dans la serrure. Alors j’ai tourné la poignée et la porte s’est ouverte, mais ce n’était pas mon studio, c’était celui de ma voisine du dessous. Elle était là, avec trois amis. Ils étaient tous à poil, en train de partouzer dans un canapé. Deux filles et deux mecs. J’ai ouvert grand les yeux et me suis excusé. La scène n’a duré que quelques secondes. J’ai refermé la porte et grimpé un étage de plus. Malgré l’ivresse, j’ai eu du mal à trouver le sommeil ce soir-là, y compris après m’être masturbé en pensant à ce que je venais de voir chez ma voisine. Deux jours plus tard, je l’ai croisée à l’entrée de l’immeuble. J’étais en train de sortir et elle rentrait. Elle s’appelait Déborah. Elle était étudiante. Une jolie brune aux cheveux assez courts et aux formes plutôt généreuses. Jusque-là, nous n’avions échangé que des « bonjour » et des « bonsoir » dans la cage d’escalier. Mais cette fois-ci, je me suis arrêté et lui ai dit :« Je suis vraiment désolé pour l’autre soir. »« Ce n’est pas grave, a-t-elle répondu. J’aurais dû fermer ma porte à clé, c’est ma faute. »« Non, ai-je dit, c’est la mienne. J’avais un peu bu et je me suis trompé d’étage. Je suis vraiment navré. »Elle souriait.« Ce sont des choses qui arrivent, dit-elle. »De la scène que j’avais surpris, je gardais le souvenir des gros nichons de cette fille. Elle était alors à califourchon sur le mec, dos à lui, face à moi, et j’avais ent****rçu aussi sa chatte épilée, pénétrée par une bite. L’image avait été furtive, mais tout de même, ce sont des détails qui restent. De l’autre fille, je n’avais vu que le cul, car elle était à quatre pattes sur le sol, en train de sucer la queue de l’autre mec qui était assis.J’ai répondu en souriant également :« Personnellement, ça ne m’arrive pas tous les jours. »Elle a pouffé, puis dit :« Moi non plus, rassurez-vous. Je m’appelle Mylène. »J’ai hoché la tête.« Enchanté, Mylène. Moi c’est Antoine. »On est restés quelques instants à se regarder un peu bêtement. Elle avait vingt ans, grand maximum. J’en avais quarante-deux. Elle portait un piercing au sourcil gauche et un à la narine droite. Les cheveux courts lui allaient très bien. Elle avait de grands et beaux yeux marrons. Je ne parvenais pas à m’ôter ataşehir escort de l’esprit l’image de sa chatte : un mince trait de poils coupés très court sur une peau claire. Puis Mylène a dit :« Vous sortiez ? »« Oui. Pour faire deux ou trois courses. »« Passez chez moi à votre retour, si vous voulez, dit-elle, je vous offrirai une bière. A moins que vous ayez autre chose de prévu, ou que vous n’aimiez pas la bière… »Etonné, j’ai tardé à répondre :« C’est gentil, j’aime la bière, mais je ne veux pas vous déranger. »Elle souriait toujours. « Frappez et entrez, dit-elle. La porte sera ouverte. »J’ai éclaté de rire, puis elle a ajouté :« A tout de suite. »J’ai fait mes courses en quatrième vitesse. J’ai pris des bières et de quoi me nourrir deux ou trois jours, sans cesser de penser aux nichons et à la chatte de ma jeune voisine.J’ai frappé à sa porte une demi-heure plus tard.Une voix m’a demandé d’entrer et j’ai ouvert la porte. Le canapé était désert cette fois-ci. Mylène se tenait devant un petit bureau sur lequel un ordinateur portable était ouvert. « J’en ai pour trente secondes, dit-elle. »Un appartement d’étudiante, me suis-je dit. Sobrement meublé, avec des photos et des affiches de films collées aux murs. Des livres et des chemises cartonnées empilées au sol. Des habits étendus sur un sèche-linge, près de la fenêtre, dont deux soutifs noirs en dentelle et au moins trois culottes, dont une rouge transparente. J’ai posé deux bières sur la table basse, puis j’ai observé Mylène qui me tournait le dos. Elle portait un débardeur blanc ce jour-là, d’où dépassaient les bretelles d’un soutif orange. Un vieux jean décoloré et l’élastique d’une culotte noire juste au-dessus de la ceinture. Une bonne paire de hanches.Elle s’est levée d’un seul coup et s’est tournée vers moi, puis vers la table basse, en disant :« Ce n’était pas la peine d’emmener des bières, j’en ai plein au frais. »« Vous n’aurez qu’à les garder, dis-je. »« Bon… fit-elle. Asseyez-vous. »Puis elle me tourna le dos de nouveau pour ouvrir son frigo dont elle sortit de cannettes de Leffe en disant :« Je suis encore désolée pour l’autre soir. »« Mais non, c’était à moi de faire attention. Je n’avais pas l’esprit bien vif et j’étais fatigué. »« Vous voulez un verre ? dit-elle. »« Non, ce n’est pas la peine. Merci. »Elle répéta :« Asseyez-vous. »Je me tournai vers le canapé, et là encore je ne pus pas m’empêcher de repenser ümraniye escort à la partouze que j’avais surpris deux soirs auparavant. Je n’ai pas bougé, je me suis tourné vers Mylène qui souriait.Elle m’a alors dit :« Pardon, je comprends. Vivement que j’ai les moyens de me payer un appart’ plus grand. Je fais tout dans ce canapé : je dors, je prends l’apéro, je regarde des films, je me masturbe et je baise. La vie d’étudiante quoi… »« Le studio au-dessus de nos têtes a exactement les mêmes dimensions que celui-ci, Mylène, et je ne suis pas étudiant. C’est un choix de ma part. Je ne me sens bien que dans les petits espaces. »J’ai levé ma cannette et on a trinqué.Puis Mylène a dit :« Je me suis demandé ce que vous aviez pensé de moi, du coup, après ce petit accident. J’espère que vous ne m’avez pas jugée. »« Jugée ? Pourquoi ? Vous êtes libre de faire ce que vous voulez, avec qui vous voulez. Vous êtes chez vous. »« Oui, mais quand même… »« Quand même quoi ? »« Ben… dit-elle. On partouzait. »« Et alors ? »Elle a pris une gorgée de bière sans me quitter des yeux, puis a dit :« Ça aurait pu vous choquer, c’est tout. »« Il en faut beaucoup pour me choquer, dis-je avant de prendre une gorgée de bière à mon tour. »« C’est vrai ? dit Mylène. Vous avez déjà partouzé ? »« Quand j’étais étudiant, ça m’est arrivé. »« Et ensuite, plus rien ? »« Si, mais dans d’autres contextes. »« Lesquels ? »J’ai pris mon temps pour répondre :« Dans des clubs. »« C’est vrai ? dit-elle avec un grand sourire. Dans cette ville ? »« Oui. »« Vous me diriez dans quels clubs ? »« Pourquoi, ça vous intéresse ? »Elle a haussé l’épaule en disant :« Ben, je me fais des clubs de temps en temps. Ça m’est encore arrivé la semaine dernière. Mardi soir. Je tournais en rond chez moi, alors j’ai décidé de me faire un club. »« Lequel ? »« Le sauna Eros. C’est le plus proche d’ici. Vous connaissez ? »« Oui, j’y suis allé deux ou trois fois. Avec une exe copine. De mémoire, il y a surtout des hommes. »« Oui, dit Mylène. C’est bien pour ça que j’y suis allée. Mais il y avait une poignée de femmes aussi. »J’ai pris une gorgée de bière. J’étais toujours debout et il s’était mis à pleuvoir. La pluie battait les vitres du studio de ma jeune voisine qui, voyant que je ne disais rien, ajouta :« Si ça se trouve, on s’est déjà croisés là-bas ? Ça remonte à quand ? »« Je dirais deux ans, dis-je en la regardant. »« Deux ans… répéta-t-elle. J’y kartal escort allais déjà. J’étais mineure et j’utilisais la carte d’identité d’une copine. A l’entrée, ils vérifient la date de naissance sans s’attarder sur la photo. »Je me suis mis à bander comme il faut.Et Mylène ajouta :« Si ça se trouve, vous m’avez sautée ? »J’ai terminé ma bière en la regardant dans les yeux.La pluie cognait fort contre les carreaux. On entendait une sirène de police qui filait dans une rue proche, et des klaxons. Mylène était assise à l’endroit exacte où je l’avais vue deux jours auparavant, à poil, empalée sur une bite, avec ses gros nichons qui pendaient fièrement sur son ventre.Je ne lui ai pas répondu.Alors elle a dit :« Vous avez envie de me sauter ? »Une minute plus tard, j’enfonçai ma bite dans sa chatte épilée. Elle était trempée et je n’avais pas mis de capote. Mylène se branlait le clitoris et je palpais son nichon gauche qui avait la consistance d’un flan à la vanille.On a continué de parler ensemble. De clubs, de partouzes. Mais je lui avais menti : je n’avais jamais mis les pieds dans ce sauna. J’étais seulement passé devant en essayant d’imaginer ce qui pouvait s’y passer pendant ces instants. Combien de corps dénudés derrière ces murs. Combien de chattes en train de se faire pénétrer, pendant que moi j’allais faire mes courses dans un supermarché sinistre. J’y mis les pieds le lendemain soir, en compagnie de Mylène. C’était un mercredi, il n’y avait pas grand-monde. Sept hommes et une femme. J’ai sauté la femme pendant que Mylène se faisait défoncer à deux mètres de moi.Le lendemain, Mylène m’a présenté la fille dont j’avais vu le cul au soir de l’incident. Elle s’appelait Sarah. Elle suçait divinement bien. J’ai éjaculé dans sa bouche pendant que Mylène lui léchait la chatte.Un autre soir, j’ai invité Mylène à venir prendre un verre dans mon studio. Je lui ai présenté un vieux pote à moi qui s’appelait Marc. On l’a sautée tous les deux, à tour de rôle. Ensuite, je lui ai présenté Fabien, un collègue de boulot. Le jour suivant, elle me présenta Elodie, une étudiante de sa promo. Puis Aurélie, Sophie et Enora.Et Mylène m’annonça un jour qu’elle allait déménager.Elle me manque.D’autant que sa remplaçante n’est pas très sexy. Elle s’appelle Anne, je l’ai vu sur la boîte aux lettres. Elle doit avoir quarante-cinq ans. Je doute qu’elle fasse des partouzes. Mais allez donc savoir… Il faudrait que je vérifie, un de ces soirs. Je ferais le mec ivre qui se trompe d’étage, et si ça se trouve je surprendrais Anne, à poil, en train de se faire sauter dans son canapé. Et une nouvelle histoire débuterait, si ça se trouve…:::

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