Ce récit est une histoire d’un dénommé Bedo, qui a été traduite il y a une dizaine d’année par Coulybaca qui ne l’a pas mise sur ce site.
NOTE IMPORTANTE : Ce récit est une fiction axée sur la déchéance et la dégradation d’une jeune femme. Je n’ai pas voulu modifier le récit initial ni la traduction. Toutefois cette épisode décrit des actes barbares et très violents pouvant heurter les âmes sensibles. Evitez donc de lire si vous pensez ne pas pouvoir supporter.
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Sa douche prise, Vicky entreprend de se sécher. Quelques jours se sont écoulés depuis son viol et elle commence seulement à reprendre une vie normale.
Elle enveloppe une serviette en turban autour de sa tête pour cacher sa longue chevelure blonde et enfile un string, puis elle met son soutien-gorge, son jean, et enfin elle endosse un vaste chemisier et le boutonne puis elle se dirige vers son salon.
Depuis que son mari est en détention elle se sent paresseuse, peut-être bien dépressive. Elle hurle de peur en pénétrant dans le salon, le gros sergent lui sourit, Jimmy assis à son coté.
– Bonjour madame Sanderson, ravi de te revoir. Nous n’avons pas pu attendre samedi, aussi sommes-nous venus te faire une petite visite aujourd’hui, c’est bien ça Jimmy?
– C’est ça chef. Visez-moi ces beaux tétons. Je sens que je vais me faire faire une nouvelle cravate de notaire. Ou bien je vais la baiser dans son petit cul si étroit. Que préfères-tu madame Sanderson? lui dit-il railleur.
Elle veut s’enfuir, mais le gros homme lui agrippe le bras et la retient de force.
– Ne tente rien stupide salope!
– Que faites-vous chez moi? Que voulez-vous encore? Comment êtes-vous entrés? Partez ou j’appelle la police!
– T’as eu tort de mentionner la police chérie. Si tu les appelles ton homme sera mort ce soir. Pour l’instant, ils veulent juste l’enculer, mais ils le tueront sûrement si tu refuses de leur donner du plaisir. Ils l’enculeront puis lui couperont la bite et les couilles et enfin ils l’égorgeront! Le son est bon Jimmy?
– Impeccable chef.
– J’ai entendu dire que parfois ils font bouffer sa bite et ses couilles à leur victime avant de l’occire.
– De toute façon se faire enculer est le moindre mal qui puisse lui arriver à ce foutu bâtard! Ricane Jimmy en cherchant à l’effrayer.
Vicky tente à nouveau de s’enfuir, mais le gros homme l’arrête une fois de plus. Il la traîne par ses longs cheveux blonds dans sa chambre et la projette sur le lit.
– Sors les caméras Jimmy, on doit faire un film et prendre des photos de cette voluptueuse salope.
Jimmy sort les caméras et commence à filmer. Le gros homme commence par interviewer Vicky. Un moment plus tard elle doit faire un strip-tease face à l’objectif. Jimmy prend aussi des photos avec son appareil numérique.
Le gros homme l’avertit à nouveau des conséquences qu’entraînerait tout refus de participer. Elle opine à contrecœur et prend des poses obscènes à la demande des deux pervers. Le gros homme prend la caméra des mains de Jimmy et fait quelques rushs.
– C’est bien vrai, madame Sanderson, vous participez à ce film selon votre volonté, n’est-ce pas?
– Bien sûr. Répond-elle doucement.
– Plus fort madame Sanderson! Lui ordonne le gros noir.
– Oui. Reprend-elle haussant le ton.
– C’est bien. Maintenant allonge-toi sur le dos et écarte tes cuisses en grand. C’est très bien. Ecarte les lèvres de ta chatte. Plus que ça. Encore plus. Et maintenant doigte toi. Bien. Et maintenant manipule ton clito et fais semblant de jouir. Allez. Tu peux faire mieux que ça. Tu dois te montrer plus convaincante. T’es une bonne actrice. Cambre-toi. Ouvre la bouche et gémit sourdement. Fais comme si Boone te baisait la chatte. C’est ce qu’il va te faire dans 4 jours tu sais. Il aura vu ces images. Les Pendik travesti autres gardes aussi d’ailleurs. C’est bon. Maintenant mets-toi à quatre pattes face à la caméra.
La caméra enregistre les scènes avec un cliquetis sourd.
– Souris-moi sensuellement. C’est bon. Cambre-toi. Tends-nous ta chatte. Mieux que ça. Bien. C’est bon. Maintenant dis-toi que Boone t’encule avec sa grosse bite. Tu sais qu’il encule toutes les femmes de détenus. Je suis sûr qu’il aimera se farcir ton étroit petit œillet. Te tracasse pas madame Sanderson, il utilisera de la vaseline. Et maintenant on va faire quelques plans vraiment pornos.
Il lui dit de demeurer tranquille et de tendre ses nichons à Jimmy le temps qu’il déplace les caméras.
– Tu aimes ça Jimmy? Tu aimes les cravates de notaire? C’est l’acte sexuel que tu préfères. Presse les l’un contre l’autre. C’est bien. Lâche-les et laisse-les tomber. Balance ton torse. Secoue-les. Recommence. De bas en haut. Bordel ça a du chien. Tu vas gicler dans ton pantalon Jimmy si elle ne te soulage pas. Tu ferais mieux de te contrôler. Allez maintenant passons aux scènes pornos. Passe-moi un gode Jimmy!
Il prend un vibromasseur et lui tend.
– Merci, rallonge-toi sur le dos et écarte les cuisses. C’est bien. Ecarte plus. Oui, comme ça. C’est du bon boulot. Maintenant fourre-le-toi dans la chatte et branle-toi avec. Dis-toi que c’est encore Boone qui te reprend. C’est bon Jimmy? Allez maintenant à quatre pattes et ne perd pas le gode en te positionnant. C’est bien. Tes muscles vaginaux sont puissants. Tu serres tellement les fesses qu’on pourrait croire que tu te prépares à te faire baiser par un chien. On aurait dû amener Mac Jimmy. Ton danois. Peut-être la prochaine fois hein Jimmy? T’es-tu déjà fait baiser par un chien, chérie? Non? Ça te fera une nouvelle expérience.
Vicky frissonne de peur? Que veulent-ils lui faire faire la prochaine fois? La faire baiser par un chien? « Personne ne pourra m’obliger à un acte aussi dégradant » pense-t-elle fugitivement.
– Chérie tu ne m’écoutes pas. Cambre-toi mieux. Continue avec le gode. Plus vite. Tu prends bien tout Jimmy? Les copains verront ce film ce soir! Dit-il lui extirpant le gode de sa moule pour le positionner sur son œillet anal palpitant.
– C’est bon. On continue. Rentre-le. Plus fort. Prends le bien dans ton étroit petit cul Bien. C’est parfait Fais le aller Dedans, dehors dedans, dehors Plus profond. C’est d’enfer. Commente-t-il en posant la caméra.
Le gros homme s’approche d’elle tandis que Jimmy adopte une position plus confortable pour filmer. Il sort un godemiché à deux têtes qu’il met en place, et les enfonce dans leurs trous respectifs. Elle allait se faire fourrer les deux trous à la fois.
– C’est parfait! Les plans sont bon Jimmy? Bien. Et maintenant elle va te faire ta cravate de notaire Jimmy. Intervient-il en arrachant brutalement le double gode de ses orifices et en la repoussant sur le dos.
Jimmy se met à poil et enfourche son buste positionnant sa grosse bite entre ses globes mammaires. Il lubrifie ses nibards avec un peu de vaseline et commence ses va-et-vient tandis que le gros homme immortalise la scène. Jimmy presse ses gros nichons sur sa bite et se démène d’avant en arrière entre eux. Il lui fait mal, mais elle se force au silence.
Le gros homme lui intime l’ordre de feindre la jouissance, elle se met alors à gémir et à grogner exactement comme si elle se fait baiser âprement, Jimmy commence à jouir. Il gicle sur son menton, ses lèvres, ses joues et ses yeux en hurlant :
– OHHHHHHH!
Il s’assoit ensuite sur son buste et se sert de sa queue pour étaler le foutre sur son visage. Le gros homme prend des plans serrés de cet épisode, spécialement lorsqu’il essaie de lui repousser du foutre entre les lèvres.
– Ouvre Pendik travestileri ta bouche sale pute! Ordonne-t-il lui forçant les lèvres.
– Suce moi salope.
Vicky obtempère. Jimmy ajoute :
– Hummm. Toi au moins t’es une vraie salope. Fais-moi vibrer.
Puis il extirpe à nouveau sa bite de sa bouche et s’en sert pour la gifler à plusieurs reprises. A chaque claque un maigre jet de foutre gicle sur son visage. Les coups sont très sonores et le gros homme prend en détail sons et images de toute la scène. Il n’a pas d’autre but que l’humilier. Jimmy reprend la caméra alors que le gros noir ouvre à nouveau les cuisses de Vicky.
Il enduit ses doigts de vaseline et s’assoit au côté de Vicky. Il enfouit deux doigts joints dans sa moule. Quelques instants plus tard un troisième doigt rejoint les premiers, c’est approximativement la taille de la bite de Boone. Elle accepte l’intromission sans rouspéter, feignant l’orgasme pour la vidéo.
Déjà il extirpe ses trois doigts en graissant un quatrième en adressant un sourire railleur à Vicky. Il la force de ses quatre doigts joints tandis que Jimmy se remet à filmer. C’en est trop pour Vicky qui se met à geindre et à couiner. Son persécuteur ignore ses plaintes, ressort ses doigts et se graisse la main entière, il veut lui fourrer son poing dans la chatte.
Vicky ne pensait même pas qu’on puisse faire cela, son mari ne lui avait jamais rien fait de ce genre, il la manipulait toujours avec amour et mesure.
Elle est paniquée, comprenant qu’elle va endurer une nouvelle expérience, un nouveau type de souffrance. Il pose son poing graissé sur son ouverture vaginale et il commence à vriller sa main dans sa cramouille affolée.
Jimmy s’approche, prenant des plans resserrés du pénible empalement. Plus le gros porc vrille son poing dans sa foufoune, plus la douleur devient insoutenable. Il pousse de toutes ses forces, amplifiant les mouvements de rotation de son poing, Vicky hurle sa douleur. Soudain les cris cessent, elle s’est évanouie, le poing est entièrement enfoui dans sa cramouille.
Le gros porc fait une pause le temps que Vicky revienne à elle, puis il tente d’ouvrir sa main. Il peut à peine remuer les doigts tant la pression du vagin est intense. Vicky pleure à chaudes larmes le suppliant d’ôter sa main de son sexe.
– Ta gueule salope, tu n’aimes pas avoir un poing enfoui dans la chatte? Ce n’est pas plus terrible qu’un accouchement, chérie. Sauf que là il s’agit de mon poing. T’a tout pris Jimmy? Bien. Et maintenant tu vas le sentir passer. Annonce-t-il s’installant plus confortablement.
Il veut voir jusqu’où il peut enfouir sa main dans sa cramouille. Vicky sanglote lourdement le suppliant toujours d’ôter sa main de son ventre. Il pousse impitoyablement commentant à l’adresse de Jimmy :
– Hey Jimmy, je prends un sacré pied, et toi?
– Moi aussi.
– Maintenant chérie tu pourras dire que t’as expérimenté le fist-fucking comme disent les américains!
Puis il la pilonne de son poing serré, opérant impitoyablement de sauvages va-et-vient de sa main fermée dans son boyau meurtri. Il ne manifeste pas plus de compassion que de tendresse, mais juste du vice, de la férocité, la faisant hurler de douleur.
Alors qu’il enfouit et retire alternativement son poing de son vagin douloureux, Jimmy et son tourmenteur regardent fascinés les lèvres de sa chatte s’évaser sur le bras du gros porc, épousant étroitement le diamètre de son bras, accompagnant chacun de ses mouvements. Extirpant son poing, il commente lourdement :
– Jimmy, penses-tu que son mari va apprécier ces images? J’ai une nouvelle idée. Donne-lui la caméra, c’est elle qui va filmer la prochaine épreuve. Graisse ta bite et enfonce-la aussi profondément que tu le peux dans son trou du cul!
Paniquée Vicky hurle Travesti pendik sa terreur, Jimmy lui enfourne un chiffon dans le bec. Le gros porc insiste :
– Allez Jimmy, vient derrière elle. Graisse ton outil et fourre-lui dans le cul.
Bien que le chiffon étouffe ses cris, Vicky pousse des hurlements aigus. Jimmy enduit son gland et sa hampe de vaseline et prend position dans son dos.
– Courbez la en avant chef.
Le gros porc utilise sa main libre pour lui faire cambrer le cul. Vicky est folle de panique, elle attend avec terreur l’instant ou son épais gland pressera son œillet. Jimmy lui saisit les hanches et présente son bourgeon. D’une voix voilée elle le supplie de cesser ses manœuvres. Elle cherche à les apitoyer mais ils ne prêtent aucune attention à ses plaintes et ses supplications.
Jimmy insère son gland dans l’œillet récalcitrant. Il sent la main de son chef au travers du périnée. Il pousse plus fort. La main du chef saisit sa bite au travers de la fine membrane. S’enfonçant de plus en plus dans ses reins il sent s’accroître la résistance à son intrusion. Les plaintes étranglées que pousse Vicky excitent encore plus les ses deux tourmenteurs. Il réussit finalement à se loger entièrement dans ses entrailles, la main de son chef le branlant au travers du périnée.
Le gros homme intervient alors :
– Bougeons ensemble, toi ta bite et moi ma main. Ramonons-la en chœur.
Ils la défoncent sans pitié. Elle n’est plus qu’un morceau de viande qu’ils dégustent à leur convenance afin d’assouvir leurs appétits sexuels les plus pervers. Les pénétrations et les retraits sont difficiles pour les entrailles de Vicky qui enserrent la bite de Jimmy comme une main de fer. Il ne peut supporter longtemps ce régime et explose au fin fond de ses intestins. La main du gros homme continue à aller et venir sur sa hampe. Jimmy se retire et reprend la caméra en main. Il s’aperçoit alors que la cassette vidéo se termine. Il la remplace par une autre, rangeant la première dans son attaché-case.
Vicky est sur le point de s’évanouir lorsqu’elle sent le gros porc chercher à extraire sa main de son vagin. N’y parvenant pas il demande à Jimmy de lui donner le tube de vaseline. Jimmy lui enduit le bras du mieux qu’il peut, et le salaud essaie à nouveau d’arracher sa main de son cloaque. Il y parvient brusquement, un plop sonore résonne dans la pièce saluant sa victoire. Vicky ôte la serviette de sa bouche et cherche à récupérer. Elle se sent déchirée et elle pleure sourdement. Sa fente est si distendue que cela prendra des jours et des jours pour qu’elle retrouve sa taille initiale.
Le gros homme réclame une pipe et lui intime l’ordre de s’agenouiller. Elle défaille sous la douleur cependant elle se débrouille pour se mettre à genoux entre ses cuisses. Il laisse tomber son pantalon sur ses genoux et la gifle de sa bite semi-érigée.
– Allez chérie, mets-y tout ton cœur.
Vicky embouche la bite ramollie et fait aller ses lèvres de bas en haut sur son mât de cocagne. A peine sa bite est-elle raide qu’elle sent son éjaculation proche. Elle l’enrobe de sa longue tout en accélérant ses succions. Il jaillit dans sa bouche et elle avale au fur et à mesure des émissions sirupeuses Elle ne se révolte pas, elle avale servilement. Elle est brisée et se satisfait d’assouvir les fantaisies sexuelles de ces deux pervers.
Il termine la cassette en prenant quelques plans de Vicky nue, puis se rhabillant. Elle obéit passivement à tous leurs ordres. Ils la quittent vers 11 heures du soir. Le gros sergent dépose Jimmy chez lui et regagne son domicile où il passe plusieurs heures à développer les photos puis à monter la bande vidéo, puis il se couche vers trois heures.
Vicky passe plusieurs heures aux urgences, le temps de réparer les dégâts. Ils veulent la garder pour la nuit, mais elle refuse de peur d’envenimer les choses. Ils appellent la police qui l’interroge, mais elle fait une déclaration mensongère et ne dépose pas de plainte ni ne cite de nom. Vicky reprend sa voiture et part passer la nuit chez sa sœur, où elle pense être en sécurité.
A suivre…