Septieme ciel

Anal

Septieme ciel.. On devrait ménager ces messieurs. Leur réputation de sexe fort est usurpée. Ils perdent la tête pour un rien. Il est vrai que j’ai adoré toujours les tournebouler. Ce sont de grand niais et de grands enfants. On les mène par le bout du nez ou par autre chose. Gamine déjà leur complexion et leur sommaire psychologie n’avaient plus de secrets pour moi. La part reptilienne en leur cerveau n’est pas la moindre. J’ai appris de suite séduire et à appuyer sur le bon bouton. J’ai poussé cet art très loin. Je sais comment les toréer. J’en ramène souvent la queue et les oreilles.N’empêche je pousse ce jeu des fois jusqu’au déraisonnable. Il y a peu j’ai désarçonné mon charmant beau-père. Je révère celui-ci. C’est un homme si adorable. Au contraire des autres je me suis gardé de devoir l’allumer. J’ai cultivé avec lui une distance décente non dénuée d’une réelle affection du moins pouvais-espérer qu’il l’éprouvât ainsi. Ce monsieur avait entre autre passion, celle de l’astronomie qu’il voulut me faire partager. Mon mari en riait sous cape n’ayant jamais pu s’y faire. Je souffrais le martyre de lever la tête et d’avaler des considérations sur la voûte étoilée.Heureusement la chose était rare. Certains jours d’été je n’y coupais pas. Je ne sais si j’avais voulu comme inconsciemment prévenir ce risque mais advint un jour de ma part un comportement dont je vous laisse soin de juger l’indécence. Notez à cet égard que j’étais coutumier souvent d’un pareil geste. Cela pourrait constituer une circonstance atténuante. En effet je suis du genre nature voire délurée avec les mâles. Je n’ai pas de complexes. J’expose volontiers mes appâts et goûte qu’on leur témoigne intérêt et désir. J’aime allumer et séduire. Je ne vis et n’existe qu’au travers de ce miroir.Cependant et je l’ai déjà dit je me refrénais en cela à l’égard du charmant beau-père. Ce dernier cependant avait du m’observer en présence d’autres mâles que mon mari. Il avait pu s’aviser que j’étais une garce nonobstant les vilaines rumeurs colportées les bonnes ou vilaines âmes. On me prêtait nombre d’amants. Le front de mon mari était comme constellé de cornes. Je dois concéder qu’on était peu loin de la vérité. Mon mari avait cru devoir se consoler en perpétrant lui aussi et de manière fortuite des adultères. Pourtant dans ce match je le battais à plat de couture.Je collectionnais les amants. Je n’avais de cesse après avoir excité un mâle de lui offrir toute ma personne. Je lui savais gré de m’avoir rassuré sur ma beauté et la qualité de mon sex-appeal. Les années passant ce vice allait croissant. Je concevais qu’il y avait dedans comme une chose de désespéré. Je concevais muğla escort proche l’échéance où je devrais renoncer et accepter de ne plus subjuguer et me ranger et passer inéluctablement à autre chose. Cette perspective m’effrayait. L’idée m’en était insupportable. Aussi me donner entière à un mâle quelqu’il fut me rassurait un temps. Vain répit. Pathétique fuite en avant. On doit aux garces une certaine indulgence.Aussi n’est-ce peut-être pas le fait du hasard si j’ai un jour trébuché sur ce cher beau-père. Le destin par là a voulu m’adresser un signe. J’ai voulu peut-être transgresser. J’ai voulu profaner un peu de cette image paternelle. Il ne suffisait pas à la garce que j’étais de me contenter d’autres hommes. Enfin il est possible que j’ai voulu me venger aussi de l’astronome qui m’assommait avec ses étoiles et leur contemplation. Je ne dédaigne pas de rabaisser certains anges à la tourbe de la réalité. Je ne hais rien tant que ces hommes qui n’usent pas de leur queue et ne me toisent en femelle.Aussi j’avais requis maintes fois de mon mari qu’il me parlât de la vie sentimentale de son papa. Il m’était inconcevable qu’un tel bel homme n’eût pas cédé des fois à la tentation. La vertu conjugale m’étant hérétique. Au bout du compte et de guerre lasse mon mari m’avoua que son père avait en de rares occasions déçu ma mère. Il n’en avait pas moins été discret préservant toujours les apparences et prévenant ainsi une humiliation à son conjoint. Cela ne m’étonnait guère d’un tel gentleman. Bref il était acquis que le bonhomme n’était pas de marbre. Je respirais. Il était accessible au péché.Dès ce jour et presqu’ incidement je le rappelle, je partis en campagne. Du reste j’observais qu’il m’entretenait moins de galaxies et d’étoiles pour aborder à des sujets plus communs et terre-à-terre. Surtout ses regards ne mentaient pas. Il est terrible d’att****r en l’œil de l’autre cette flamme, celle d’un désir sauvage. On a le sentiment alors d’être radiographiée, parcourue par un million de rayons X. Nous sommes révélés, trahis jusqu’au tréfonds de l’âme. Le diable sûrement préside à cela en un étrange sabbat. Un temps cet homme sembla me fuir que le hasard coquin sans cesse me ramenait.Il y eût ce jour particulier, banal entre tous. Nous assistions tous à un semi-marathon en lequel certains des nôtres couraient. Je goûtais peu ce genre de manifestation. Je préfère davantage le tennis, sport plus élégant et aristocrate. Aussi restais-je un peu en arrière. Notamment cédais-je un peu à ce péché mignon de me rafraîchir ce en me maquillant et en changeant mes bas. J’avais dans mon sac une kyrielle de ceux-ci. Peu importe qu’ils escort muğla ne fussent filés ou fatigués, j’éprouvais un plaisir infini à les retirer et à les enfiler dessus ma jambe. Leur crissement sur ma peau m’excitait.Ce jour-là en cet été sous les arbres j’effectuais cette tâche, portière toute ouverte. Il importait peu qu’on me vit. Même dois-je avouer que j’escomptais qu’il y eût alentour des voyeurs qui pussent se repaître du spectacle. Faire la garce ainsi était une façon de tromper mon ennui. Tant mieux qu’il y eût érection en tout le voisinage et qu’on se branlât avec vigueur. Je n’en attendais pas moins lorsque j’exhibais mes belles jambes. Ce jour-là je troquais des bas noirs contre des de couleur chair. J’étais en train d’enfiler le second lorsque je sursautais percevant qu’on approchait de moi.Ce pouvait être un inconnu, un de ces indicibles cochons. Je ne fus pas peu déçue de reconnaître le beau-père. Je crus d’abord qu’il débarquait ici comme par inadvertance. Il avait cependant un regard hagard. Je compris rapidement vite qu’il m’avait observé depuis quelque temps. Mater eût été le terme plus exact. Il s’était mêlé à la foule obscure et ignoble des voyeurs. Cet homme depuis longtemps été descendu du piédestal où je l’avais inopinément mis. Il était rendu à son humanité, à sa banalité. Porc comme nombre. Je conçus à cet instant qu’il m’avait convoité depuis toujours.Au diable les étoiles et la conquête de l’espace. Tout cela du coup devenait fredaine. Je triomphais. J’avais la joie d’att****r un gros poisson. Je bénissais le marathon qu’il put offrir cette opportunité. Je ralentis du coup mon geste. Jambe tendue le bas était menée lentement jusqu’au bout de la cuisse.Je savourais celle-ci non moins que les voyeurs. J’ai toujours adoré offrir aux yeux, ces cuisses, ces jambes, ces pieds. Je trouvais normal qu’un beau-père fut de mes adorateurs. Il venait le témoigner ici, aujourd’hui et sans fard. Sorte d’aveu et de capitulation de sa part. Quelle joie !Détournant la tête tandis que j’achevais mon geste, je proférais : « Vous vous êtes lassé de la course ? » Il ne répondit pas d’abord. Il lui fallait du temps pour se remettre. Son regard était toujours ahuri car focalisé sur ma jambe. Je n’en montrais guère de dépit au contraire. Rien ne pouvait tant me réjouir. Mon pouvoir et la fascination exercée étaient ainsi attestés. J’étais prêt à gourmander cet homme qu’il eût joué la comédie autant et qu’il ne voulut point reconnaître son désir pour moi. Le tartufe se punit lui-même. Pourquoi se restreindre et se censurer ?Nous conversions. Il était dessus moi. Je demeurais assise toujours jambe tendue, jupe muğla escort bayan relevée. Tout autre femme eût adopté une position plus digne et décente. Je n’en voyais guère l’intérêt. D’une part j’adorais sentir la prégnance d’un regard sur mes appâts. De l’autre je lui signifiais assez que je savais qu’il connaissait ma réputation. Nos masques tombaient. Il était temps. Nous pouvions passer à tout autre chose. Nous dire les choses crûment. Je voulais découvrir en lui un mâle. J’aspirais non plus au téléobjectif et aux étoiles mais vertement à sa queue. Nous redescendions sur terre.Insigne détail, un escarpin gisait au fond du véhicule. Mon pied des fois affectait de vouloir l’enfiler ou à tout le moins le caresser. Ce jeu participait de ma séduction. Cela du l’agacer au point qu’il se baissât d’un coup pour quérir en sa main l’objet. Le geste était étonnant, intempestif. Je le trouvais remarquable voire courageux. Cet homme se désarmait de tout amour-propre sacrifiant à l’instant à son irrépressible désir. Du même ton je lui balançais : « Cendrillon recherche son prince charmant. » Je lui abandonnais ma chausse. Y mettant le nez il en humât fortement le parfum.J’en profitais de relever plus haut ma jupe découvrant de façon obscène ma culotte. Celle-ci l’était non moins car transparente. Mon doigt y caressait tout au travers le sexe. Je fermais les yeux. De loin quelque voyeur pouvait considérer un homme enfonçant une groin au fond d’un escarpin tandis qu’au bas une garce se caressait indûment. Nous formions comme un couple idéal. Chacun inclus dans sa jouissance. Le beau-père à présent était à se branler devant moi, queue exhibée hors du pantalon. Je lui fis signe d’approcher. Je le branlais à mon tour commençant à le sucer.Maintes fois ai-je sucé de le sorte un homme dans un bois. J’étais aguerrie à cela. J’y excellais. Je me faisais l’air d’une prostituée satisfaisant un client. Je jouissais qu’on se méprenne là-dessus. La vérité étant autrement plus choquante. Une bru pompait au su de tous son beau-père. Nous devions achever plus loin. Un de nos proches dont mon mari pouvait à tout instant venir. Nous allâmes quelques mètres en un endroit plus tranquille. J’y finissais ma pipe. Sa main courait dans mon cheveu. Il me balbutiait son plaisir, son dépit de n’avoir plus tôt recouru à tout celaJe lui dis avec un grand sérieux : « Pas grave nous allons ratt****r le temps perdu. » Sur la banquette arrière je fus prise avec vigueur plusieurs fois. Je fus impressionnée au point que je faillis lui avouer qu’il baisait mieux que son fils. Cet homme des étoiles était manifestement un amant émérite qui n’avait du être vertueux ni fidèle à sa femme. Il obtint tout ce jour. Lui offrant à la fin mes fesses, je lui jetais d’un ton âpre et vulgaire : « Encule-moi ! » Il s’y plia sans mots. Les voyeurs alentour durent se délecter du spectacle. Nous parvînmes ensemble au septième ciel.

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