Un Dimanche hors du commun…

Amateur

Un Dimanche hors du commun…La moisson était terminée, nous parlions de vacances. Nous étions sereinement à l’apéro chez un autre agriculteur du village et je pensais encore à mon après-midi. J’étais assise et mon derrière encore quelque peu endolori m’empêchait de penser à autre chose. Je venais de le tromper seule, sans retenue, en prenant un pied d’enfer, et je me retrouvais même inassouvie. J’avais encore envie, envie d’être prise, sans autres sentiments, baisée, bref, jouir, me liquéfier. Il m’avait dit à demain. Il est 22h00, nous n’avons pas encore manger et ça picole, ça picole. Je réponds simplement aux questions posées, je pense à lui…23h00, je me lève et je dis à Yann que je rentre. Il me réponds dans un langage proche de l’Ouzbèque, qu’il doit être d’accord. L’air est encore chaud, les pierres des maisons dégagent de la chaleur. J’ai la clé du garage, j’ai juste à prendre une petite ruelle pour rentrer. Je fais le tour du village pour profiter de cette belle soirée d’été. Je pense. Les papillons arrivent… Je tourne dans notre rue et je ne sais ce qu’il me passe par la tête, j’ouvre ma robe, je n’en peux plus, j’ai envie, envie de baiser, de me caresser, de sentir son odeur, il m’obsède, je regarde mon téléphone, les lumières de rue sont éteintes, je continue sur le chemin qui mène vers les champs, je rêve d’un message. Je marche ainsi, la robe ouverte, mes seins sont durs, mon duvet se dresse sur ma peau, mon cœur bat à tout rompre, je suis seule au monde. Les papillons se multiplient, je sens des fourmis dans mon entrejambe. Je n’ose y toucher, si j’y passe ma main, je suis morte, je ne pourrais pas m’arrêter. J’ai l’impression que mes joues sont pourpres.Je cours, sentir l’air me fait du bien, m’essouffle puis rentre. Je m’engouffre dans le garage et je me déshabille. Ainsi nue, j’ère à la maison, je ne veux pas me coucher, je m’allonge sur la canapé, je souhaite qu’un homme rentre, là, et me prenne sans ménagement, mais rien, le calme, le silence absolu, je joue avec mon corps et commence à somnoler.De la lumière m’extrait de mon endormissement. Plus qu’un endormissement, puisque c’est la lumière du jour. Je suis recouverte d’une couverture, je ne sais l’heure qu’il est, je pense que Yann est rentré. Je baille, m’étire et je me lève, toujours dans le plus simple appareil et balçova escort je me dirige vers la cuisine. Pas de café, pas de pain, pas de croissants, il est 9h10. Mon téléphone ! Où est-il ? Je le cherche, pas moyen, je suis inquiète, l’a t-il trouvé, je n’ai pas effacé les messages et je ne le verrouille pas… je suis inquiète, j’enfile un peignoir, je n’ose le faire sonner pour le retrouver. Je jette un œil dans la chambre, le lit est défait mais personne, où SONT-ILS ? Je jette un œil par la fenêtre, le soleil est déjà très fort, son 4×4 est là. Le véhicule de notre employé aussi. J’entends du bruit au hangar, ils rangent la moissonneuse. Ouf ! Enfin, pas temps que je n’ai pas retrouvé mon téléphone, je le fais sonner avec le fixe. Je cherche, il est au garage, sous ma robe d’hier soir. Je consulte mes messages. “ça va ?”Oh joie ! Oh désir ! Oh les p*****s de papillons !7h45, matinal mon petit gaillard pour un dimanche.”bien et toi ?”Et là, les minutes paraissent des années…8mn plus tard exactement : “bien et toi ?”Rhâââ, dis m’en plus… “Oui, ça va, je viens de me lever, quel beau soleil””Oui, chaudement, je suis parti pédaler à la fraîche et je sors de la douche”Je réfléchis à ma réponse… car cela me trotte…”Ah oui, montre voir ?”Et je reçois une photo de sa douche. Tout à fait lui… mais cet aspect cérébral sera mon expérience de ma bête.”Ah oui, une douche”.Puis plus rien, je vais moi aussi prendre une douche, je vérifie mon entretien pileux, mes cheveux, mon vernis, j’ai envie d’être belle aujourd’hui, si je puis dire. Je prends mon temps, pas de sandwichs à faire, rien, barbecue à midi, il se débrouille. Je tourne, je vire…Je m’habille, corsaire et débardeur. Point.La matinée se termine, nous mangeons, j’attends un message, un seul, ça se passe, banalités. Je vais au champs l’après-midi, passer le chisel. Ben c’est bien, moi j’attends de baiser.Mon cerveau devient binaire. J’aime, j’ai envie.Je fais la vaisselle, j’ai envie de me toucher, je me retiens.”Tu fais quoi ?””La vaisselle et toi ?””Je bronze””Oooh””Où?””Dehors”- silence, je souffle, je lève les yeux au ciel -“Ah oui ! Géographiquement où ?”Et quelques minutes après, je reçois un espèce de code avec des nombres, des ‘ et des “… Mais qu’Est-ce que c’est ?”Trouve moi”Google est mon ami, balçova escort bayan véritablement, je copie ces codes et maps s’ouvre me signalant une clairière à une petite dizaine de kilomètres. Je ne termine pas la vaisselle, je saute en voiture. J’ai envie de lui faire une surprise. Je repère le chemin, y entre et me gare. Je ne prête attention à rien et me déshabille. J’avance vers cette clairière et je l’aperçois, assis dans un siège, ce type de siège de camping ou de pêche, il est nu avec quelque chose qui brille autour de son sexe au repos.Je l’observe. Les papillons. Je décide de mettre en action ma surprise. Je me mets à l’écart. Mon anus me fait toujours mal, mais j’y insère aisément un doigt, puis deux doucement, j’ai mal. Je prends alors le concombre que j’ai amené ainsi que la capote qui va avec. Tel un beau chibre, je pose le préservatif sur le concombre et je le présente à mon fondement. J’ai mal mais je mouille. Le concombre est assez fin et son extrémité n’est pas si grosse. Et je me détends, ça rentre, et ça rentre, mes joues rougissent, je m’imagine le spectacle si quelqu’un passait. Et me voici avec un bon demi concombre dans le derrière. Je me redresse. Ca tient. Je fais quelques pas, je sens qu’il s’échappe, je le maintiens et m’avance vers lui, ses yeux sont clos. Il dort ? A quelques pas de lui, je lâche le concombre qui reste en place et l’appelle. Il ouvre les yeux et son naturel qui m’a toujours exaspéré est là :”salut”Il a une fille nue devant lui qui n’attend que cela, et lui, peinard, nu comme un vert, ne trouve rien de mieux à dire que “salut”, alors que je l’ai trouvé avec ses codes à la con, je l’ai rejoins, bref, il m’exaspère. Mais j’adore.”salut, tu me fais une place ?”Un rictus, sa chaise ne peut évidemment pas nous recevoir tous les deux. Il se lève, se dirige vers son véhicule à côté et va chercher une seconde chaise.”Moi je t’ai fais une place”Il se retourne et me regarde interloqué.”Oui, Môssieur”Et je me tourne, il est béat. Je suis fière de moi. Il rapplique en 2 secondes. Il m’observe, me flatte la croupe, et ô grâce, il fait tourner le concombre sur lui-même. Je geins. Mes reins crient famine. Mon minou commence à baver. Délicatement, il pousse sur le concombre et commence à bander. Je le prends en bouche, il a un anneau escort balçova autour du sexe, c’est joli. Je le sent durcir dans ma bouche, tout lisse qu’il est, Il m’a bien mis les trois quarts du concombre. Il se retire de ma bouche et s’allonge au sol, pour un délicieux tête à queue. Mon sexe est béant, mon clitoris darde et il joue avec sa langue dessus, j’ai du mal à le prendre en bouche tellement je sens que je vais m’évanouir.Le concombre, sa langue, deux doigts, trois doigts, je ne sais combien, je viens, je m’affale sur lui. “Et ben !” Me dit-il.Je tourne ma tête et je vois son visage luisant. J’ai dû jouir plus que la normale. J’ai mal aux abdos. Je ne sens plus le concombre toujours présent au demeurant. Il agite son bassin. Je comprends et je le prends en bouche, je me l’enfile complètement, je tousse. Il joue encore en bas… oh… Je vais revenir, mais il maîtrise tout ceci. Il retire le concombre, et je sens que mon sphincter reste au large ouvert. Il crache dessus et joue avec son index. Oh que c’est bon. J’avance à quatre pattes et je lui tend tout mon arrière train. “Fais ce que tu veux”Il enfile une capote et entre dans mon cul, je suis trempée, de sueur et de mouille, je jouis, je jouis, je jouis. Il se retire puis me prend en levrette, en remettant le concombre. Je suis remplie. Je jouis à nouveau. Il va venir, je le prends en bouche. Plusieurs jets s’écrase dans ma gorge, j’avale ce liquide âcre et salé. Et le suce, sans m’arrêter. Il ne débande pas. Au contraire. je joue avec son méat. J’ai envie d’uriner.Je lui dis discrètement. “Fais” me dit-il. Je m’accroupis, il se place en dessous, je me libère sur son visage. Que m’arrive-t-il ? Quel pied ! J’ai fini, il me lèche et joue avec mon clitoris. Je jouis. Il le sait le malin. Il se relève et me regarde droit dans les yeux, le sexe à la main et il commence à m’uriner dessus. Je ne suis pas choquée ! Et je m’enduis de son liquide. Je suis trempée, les cheveux, le corps, mon corps n’en peut plus, mais mon esprit en demande encore. Il m’allonge dans l’herbe et me lime. Je brûle. Il jouit en moi sans capote. Je ne suis pas inquiète, je deviens ingénue, dominée. Il me lèche à nouveau. Et me branle avec 4 doigts. Je jouis comme je n’ai jamais jouis et j’éjacule un long jet. Il est heureux. Je le nettoie. Nous nous allongeons dans l’herbe.”Ma chère voisine va mieux ?”Je fais mes yeux de biche et je lui réponds simplement “admirablement mieux”. Nous somnolons l’un contre l’autre, la bise chaude nous apaise, les sauterelles et criquets chantent, les herbes crissent, nous sommes bien. Quel pied ! J’en veux encore…

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