“Ma soeur et moi”

Anal

“Ma soeur et moi”Cette nuit là, allongé dans mon lit, je n’arrivait pas à dormir. Je me sentais bien pourtant. En pensant de rien et de tout à la fois je me souvenais de ma journée: “Je venais de passer un moment excellent avec ma mère et ma soeur. Nous n’étions que trois mon père étant partit au travail pour 2 mois. Notre activitée favorite était d’aller au lac et de nous allonger au bord de l’eau. Ma famille habitait le coin depuis un bon moment, et nous connaissions les endroits tranquilles. Sur sa serviette dans un coin assez reculé, à l’abri des regards indiscrets, ma mère  aimait faire du top-less sans être derangée. Cette après midi là, alors qu’elle se déshabillait, je ne pus me retenir de jeter un coup d’oeil furtif sur cette poitrine si généreuse. Elle faisait du 90 D, je l’avais vu en regardant l’étiquette de son soutient-gorge. Elle ne vit heureusement pas ce petit regard pervers. La vue de ses seins me faisait à chaque fois le même effet: malgré mes efforts, j’avais du mal à cacher mon sexe qui gonflait donc je m’empressa d’aller dans l’eau pour éviter que ma mère ou ma soeur ne remarquent ce détail gênant. En allant dans l’eau, je remarqua que ma soeur me regardait. Elle avait du voir la cause de mon empressement et je la vit sourir discrètement. Moi et ma soeur vivions sur la même longueur d’onde. On se comprenait sans même se parler, et pourtant, je fus surpris de ce qui arriva ensuite. Même si on était très proche, on ne parlait jamais à propos du sexe, et je ne l’avait jamais vu nue depuis l’âge de 5 ans. Alors que je marchais vers l’eau, je la vit se lever et se mettre à me courrir vers moi. Je fis de même et nous rentrâmes dans l’eau en nous éclaboussant. On adorait se chamailler depuis tout petit, et nos parents en avaient l’habitude. Nous nous eclaboussions et nous rigolions tant qu’elle ne remarqua pas que la bretelle de son maillot avait glissé faisant tomber progressivement celui-ci. Cela laissa un grosse partie de son sien droit à ma vue et je dois avouer que j’en profitas. Elle n’avait une poitrine volumineuse, mais ses seins étaient très attirants. Ils ne canlı bahis pendaient pas trop et ils étaient d’une rondeur rare. Tout en nous battant je remarqua que je  pouvais voir son téton et je fus surpris de voir qu’il était érécté. Était elle exitée ou était-ce simplement le froid de l’eau qui les faisait resortir de la sorte? Elle se rendit compte que son maillot tombait et elle le remit rapidement en place. Ai-je dit rapidement? Eh bien elle ne fut pas assez rapide car je profita de la situation qui tournait à mon avantage pour pouser mon adversaire dans l’eau. En tombant elle s’accrocha à mon bras et elle m’entraîna dans sa chute. Nous tombâmes lourdement dans l’eau et nous nous retrouvâmes buste contre buste. Mon pénis était en pleine érection, et pour un temps infime qui me paru durer plusieurs longues secondes, il s’enfonça, malgrés mon short, au niveau de l’entre jambe de ma soeur. Il ne rentra bien évidemment pas dans son vagin, mais il l’effleura assez longtemps pour que je puisse sentir, même avec les deux couches de nos maillots, la chaleur de son vagin et je compris qu’elle était excitée. Elle finit par se degager, et elle ne me regardait même plus en marchant vers l’emplacement de nos serviettes. Elle n’était pas fâché, je le savais, mais elle était juste impressionné presque choquée par ce qu’elle venait de sentir. Elle était vierge et jamais, à ma connaissance n’avait-elle sentie un pénis effleurer son vagin. J’étais presque sûr qu’elle se doigtait, mais je ne pouvais pas l’affirmer. En revenant à nos serviettes, elle se coucha sur la sienne les genoux relevés et les jambes écartés pour prendre le soleil. Je vit, que son maillot blanc devenait vieux car je vis presque parfaitement son vagin tellement le tissu blanc était usé. Il y’avait même une partie de tissu qui s’enfoncait dans son organe reproducteur. En passant à son niveau, je constata aussi, qu’au niveau de sa poitrine, deux petits tetons erectés bosselaient son maillot. Elle avait fermé les yeux pour se reposer et elle ne vit pas mon regard s’attarder sur elle.   En prenant le chemin du retour, elle m’avait bahis siteleri fait des sourires. Je n’arrivait pas à savoir si cela avait un rapport avec le contact que nous avions eu quelques heurs plutôt ou si c’était juste comme dans son habitude. En-effet, elle était assez malicieuse de nature et elle cachait souvent un malaise avec un sourire radieux.     A la maison, notre mère se doucha et se fit belle car elle avait un dîner avec des amis. En descendant de la salle de bain, elle nous dit qu’elle serait de retour que demain soir car elle profitait de la journée pour rester avec ses amis. Après son départ nous avions dîné et j’étais allé me douché. Ma soeur se doucha, et nous nous souhaitâmes bonne nuit car désirait aller se coucher. Pour ma part, je fus une petite demi-heure sur fècebouk et j’alla dans ma chambre.”Me revoilà dans mon lit et je me rendis compte que j’avais l’envie irrésistible de voir les seins de ma soeur une dernière fois ce jour là. Sa chambre était juste à côté de la mienne. Le plafond de nos chambres était incliné car nos chambres étaient au dernier étage. J’aurai pu passer par le couloir, mais je ne souhaitais pas être vu. Je décida donc de passer par le toit. Un velux ornait le plafonds de nos chambres et je savais que je pourrai la voir à travers son velux. Je monta sur le toit sans faire trop de bruit et j’alla vers sa chambre. Il faisait nuit et la lumière de chambre était allumée. En passant ma tête au-dessus de son velux, je l’a vis entrain de lire un livre. Elle ne s’était pas changé. Tout à coup, je la vis poser son livre. Qu’aller t-elle faire? Elle commença à se déshabiller. D’où j’étais je voyais tout. Malheureusement, elle se leva et elle marcha vers l’autre côté de sa chambre sans doute pour chercher quelque chose mais ce côté m’étais invisible de où je me tenais. Je décida d’essayer de voir si de l’autre côté du velux il y’avait une meilleure vue. Malgrés mon agilité, en essayant de passer au dessus du velux, même si j’avais été rapide, ma soeur me vit car l’exclamation qui se lisait sur son visage me le confirma. C’est n’est qu’alors bahis şirketleri que je me rendit compte que j’avais une erection et qu’en plus jetais en caleçon. “Mince, me voilà dans de beaux draps” me dis-je.Elle ouvrit le velux et dit :” -Qu’est que tu fais là?!-Eh…eh…je prenais l’air… dis-je en balbutiant-En caleçon? répondis t-elle” Elle regardi mon caleçon et vit que je bandais. Elle savait depuis le début pourquoi j’étais venu, mais elle voulait me le faire dire.”Entre, tu vas att****r froid, dit-elle” avec un sourire malicieux. Elle était en soutien-gorge et string. Alors que j’entrais, son regard ne quitta pas la bosse dans mon caleçon et elle me dit:”Tu vas pas me dire que c’est moi qui te met dans cet état là!-Non, c’est pas intionnel, nous arrive parfois comme ça sans aucune raison” lui mentis-je. Son soutif rose rembouré mettait encore plus ses seins en valeur. Elle portait un string assorti, et je n’avais qu’une envie maintenant, la pénétrer bien profondément. Elle me prit dans le bras et durant le câlin qu’elle me donnait, elle releva la tête et me regarda si profondément que quand elle m’embrassa, je fus hypnotisé et cela je pris quelques secondes pour répondre au tendre baiser qu’elle me donnait. Ce contact fus merveilleux et j’en profita pour lui malaxer la poitrine. Elle passa sa main dans mon caleçon et me carressa le pénis. Elle se baissa ensuite, baissa mon caleçon, et prit ma grosse bite dans sa bouche. Avec mes 20 cm de long et 5 de diamètre, j’avais les atouts pour la faire jouir. Les va-et-vient qu’elle faisait me fit un bien indescriptible. A chaque coup, mon gland senfoncait dans sa gorge. Je senti que l’éjaculation était proche donc je lui dit et à ma grande surprise, elle avalla le liquide visqueux qui sortait de mon sexe. Elle était encore vierge et elle ne voulait pas aller plus loin me dit-elle mais elle avait juste un peu peur de passer à l’acte. Étant allé trop loin a mon goût, je la prit l’allaongea sur le dos, et donnant un bon coup de reins, j’entra d’un coup mon sexe dans le sien. Elle hurla de douleur, mais ce hurlement de douleur se transforma en râle de plaisir. Je lui fit lamour pour une bonne vingtaine de minutes puit nous nous endormâmes longuement avant de finir pas une longue entrainte sous la douche. “Merci” me dit-elle durant ce moment de plaisir.

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