L’enjôleuse

Anal

L’enjôleuseDéjà 15 heures que je roule à destination de la Suède, il va falloir que je ravitaille mon Range. Habituellement, je prends l’avion, mais là devant emmener un matériel qui ne peut voyager de la sorte, j’ai du prendre ma voiture.Ce n’est pas que ce soit pénible, Land Rover a vraiment su concevoir un extraordinaire salon roulant. Les compositions de cette cantatrice néo lyrique, occupent tout l’habitacle, l’insonorisation des bruits de roulement me permettant de profiter de tous les effets stéréo et des chaleureuses variations de sa voix. Néanmoins, il faudra surement compter presque 24h de route pour atteindre la banlieue de Stockholm depuis Paris, avec des conditions de circulation sans doute difficiles à l’arrivée en ce mois de novembre.Ah ! Un relai dans 10km, je vais me faire un petit repas sympathique, et me reposer un peu. Il est important que j’arrive en forme au regard des enjeux liés à ce déplacement.Je trouve sans problème une table et commence mon repas solitaire, pas vraiment passionné par le journal que je viens d’acheter, histoire de ne pas être en tête à tête avec mon journal. J’ai une impression bizarre que je n’analyse pas immédiatement, quand mon regard accroche un couple quelques tables plus loin. Leur attitude me laisse penser qu’ils parlent de moi : me regardant, discutant entre eux. Discrètement je me retourne, personne derrière moi, soit je suis en plein fantasme, soit c’est un pur hasard, soit vraiment…Elle est plutôt jolie à y regarder de plus près. Tiens voyant que mon attention se focalise sur elle, elle me sourit. Mes doutes s’estompent. Chaussée de talon haut, jupe tailleur, cheveux blond et des yeux d’un bleu profond, son décolleté me laisse imaginer des situations qui ont tôt fait d’animer mes ardeurs.Le couple se lève. Elle me décroche un sourire enjôleur en passant près de ma table. Oufff… Il se passe des choses sur les aires d’autoroute.Mon plateau terminé, je me dirige directement vers mon salon roulant, quand je dois canlı bahis laisser passer une Maserati. La vitre baissée me permet de reconnaitre mon enjôleuse. Sa jupe très remontée m’offre le spectacle du contraste de ses bas noirs avec le haut de ses cuisses. Et toujours ce même sourire….Humm! Elle me fait vraiment de l’effet cette nana… j’ai bien envie de les suivre bien que je n’ai aucune idée ou cette folie me conduira car c’est une folie bien sur… je les suis sur quelques kilomètres, voilà à une sortie pas très loin de notre point de rencontre, je vois les feux clignotants qui m’indiquent le chemin à suivre… Encore temps de laisser tomber; mais non c’est plus fort que moi je dois écouter mon envie qui est vraiment trop forte pour abandonner ….. Quelques détours, une route bien droite la Maserati a envie de courser je crois, la pédale au fond je poursuis cette jolie blonde qui déjà m’enflamme, je sens une chaleur m’envahir. Mais ou me conduira cette route qui n’en finit plus??La route se poursuit dans une série de virages qui nous font prendre un peu d’altitude. Le train d’enfer imposé par la Maserati est difficile pour mon Range, inadapté pour ce genre de sport. Je sens bien malgré tout que le conducteur semble lever le pied de temps en temps pour rester en vue.Soudain, les feux stop s’allument. Le bolide ralentit, puis s’arrête devant un grand portail qui ne tarde pas à s’ouvrir. Il est presque 20h et il fait déjà nuit depuis longtemps dans cette région du Nord. La Maserati entre et moi à sa suite, sur le portail est inscrit « Villa Alessandra Hôtel – Club privé ». Je ne peux plus renoncer maintenant.La passagère descend de la voiture qui part sans l’attendre. Elle ouvre la portière et dans un sourire éblouissant m’invite à poursuivre l’aventure : « J’étais sûre que vous relèveriez le défi. Un homme de votre trempe. Je vous ai trouvé très séduisant. Nous sommes chez des amis qui vous offriront le gite avec grand plaisir. Ils sont italiens d’origine bahis siteleri et très accueillants »Vous êtes fascinante, je n’ai pu résister à l’envie folle de vous suivre…..»Je profite de ce moment pour bien la mater de la tête au pied, de son corps se dégage une telle sensualité. Je m’approche d’elle, la regarde droit dans les yeux, je pose une main sur sa nuque, je l’attire doucement vers moi, pose mes lèvres sur les siennes, mon autre main glisse tout naturellement sur ses hanches et d’une légère pression je colle son bassin sur mon érection. Je la sens trembler comme une feuille au vent, et je recueille son doux gémissement entre mes lèvres.Ses lèvres deviennent sangsue, sa langue chahute la mienne dans un baiser enfiévré. Ma main parcourt ses fesses sans jamais rencontrer le moindre signe révélant un dessous. Elle accentue la pression de son corps contre le mien et j’ai l’impression que nos deux cœurs vont se mêler au rythme de nos langues. J’entends sa respiration devenir courte. Il me semble sentir la pointe de ses seins contre les miens. Je n’ai jamais ressentis de proximité plus sensuelle.Mes mains remontent tout doucement le long de son corps pour venir effleurer sa poitrine, un frisson la parcourt, elle relève une jambe qu’elle me glisse furtivement entre les miennes de son genou elle presse mon sexe qui n’en fini plus de durcir. Elle vacille quelque peu, je la retiens fermement, et lui offre de rentrer car bien que nos corps soient très chaud, une buée s’élève de nos lèvres.Elle appuie ses deux mains sur mon torse en guise de réponse et nos deux corps réintègrent cette ambiance cossue. L’intérieur est bercé d’une nouvelle mélodie vraiment suave. Je bascule le siège en arrière. A califourchon au dessus de mes jambes, ses mains remontent doucement le long de mes cuisses jusqu’à atteindre ma ceinture. Ses cheveux masquent quelque peu son corps gracile, mais le décolleté de son corsage me montre de jolies formes très excitantes. Mon regard s’accroche bahis şirketleri à son sourire prometteur et ses yeux bleus fjord.Bien assis sur le siège, je n’arrive plus à détourner mon regard, elle me captive, m’envoûte totalement. Toujours penchée sur moi, en ouvrant ma braguette, elle effleure de ses douces mains mon sexe gonflé à bloc, enfin elle le libère de sa tanière et lui permet ainsi de prendre toute son ampleur…..«Je peux me dit-elle?» Elle y porte sa bouche et de sa langue lèche cette petite goutte qui est là sur mon gland. «Hum! J’adore cette première goutte» moi je gémis de bonheur bien sur. Elle sait y faire.. Mon excitation devient trop grande, je me redresse un peu ce qui l’oblige à se relever également, d’une main je repousse ses beaux cheveux vers l’arrière et dépose un autre long baiser sur ses lèvres, mon autre main posée sur un de ses seins, du bout des doigts, je joue avec son mamelon fièrement dressé. Je l’entends gémir de plaisir.Sa jupe remontée bien haut sur ses cuisses me permet d’apprécier la douceur de sa peau nue au dessus de ses bas de soie. Car bien sur, elle ne porte aucun slip la coquine, et tout en la retenant d’une main plaquée derrière son dos mon autre main vagabonde entre ses cuisses grandes ouvertes placée comme elle est à califourchon sur mes jambes.C’est elle maintenant qui ne tient plus le coup, comme elle mouille c’est le déluge, j’ai rarement vu autant de mouille, alors que je la touche à peine….Mes doigts parcourent tous les recoins, les petits endroits de son puits d’amour. Elle se laisse caresser en gémissant de plus en plus fort. Ses yeux plantés dans les miens, m’incitent à aller plus loin.Mon doigt tourne autour de son clitoris. Elle, se tord alors que sa respiration s’accélère. Elle ouvre son corsage libérant ainsi ses seins qu’elle approche de mes lèvres. Je pince son mamelon, le mordille doucement. Elle laisse échapper un premier cri. Son bassin ondule au dessus de ma main. Son excitation est vraiment délirante.Cette fois c’est un véritable jet que je sens inonder ma main…. L’habitacle tout de même étroit de la voiture, m’incite à l’inviter à l’intérieur«Autant profiter de l’hospitalité de vos charmants amis princesse»

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