Ma dernière sortie au KeeweeMa petite robe verte.J’ai lancé il y a quelques jours sur Xhamster une demande à mes amis pour m’aider à choisir une tenue pour ma prochaine sortie au Keewee. A l’unanimité, mes amis ont choisi cette petite robe verte toute simple en lycra moulante à souhait. Cet après-midi me voilà donc à l’entrée du sexe shop en mec efféminé avec mon petit sac. Minutieusement rasé, léger fond de teint, un peu de mascara et un trait d’eye-liner. Avant d’entrer je colore mes lèvres d’un léger rouge. Pour certains, ce lieu peut paraître « glauque », mais moi j’aime y déambuler en slim moulant et petit débardeur, très tapette, ou carrément en fille sexy. Tout y est permis et on y rencontre toute sorte de gens. Du papy libidineux à petite queue au balaise bien foutu et bien monté en passant par le travesti viril ou le transgenre délicieusement féminine. Du mec timide qui se cherche et ose à peine regarder les membres sortis de leur emballage aux habitués qui se branlent allègrement. Mais bon je ne vais pas vous faire une visite guidée du lieu. Je règle mon entrée et gagne directement une cabine pour me changer. Cet après-midi je ne suis que Valérie et je ne veux pas que l’on me voie en garçon. Porte fermée, je me déshabille, pour gagner du temps je porte déjà sous mon slim des Dim-up chairs et un string ficelle délicieusement coquin. J’enfile ma robe si moulante qu’elle ne masque pas mon sexe. Mes escarpins, ma perruque courte et mes boucles d’oreilles. Je prends mes vêtements de mâle dans mon sac que je range dans un vestiaire. Il y a pas mal de monde cet après’m. Je déambule dans le couloir, perchée sur mes talons hauts, ondule des fesses en inspectant les recoins sombres. Une des cabines Glory Hole, porte ouverte est occupée par deux hommes. L’un est assis, l’autre appuyé contre la cloison. La tête du premier est à hauteur du sexe de son partenaire et le mouvement de va et vient indique clairement qu’il le suce… Je ne vois pas la bouche mais la scène dans la pénombre est excitante d’autant plus que celui qui est debout a relevé son tee-shirt et joue avec ses tétons. Autour de moi plusieurs hommes se masturbent. Une main me palpe les fesses, glisse sous ma jupe et s’insinue entre mes globes charnus. L’autre main passe sur mon sexe, mais je la retire (j’ai trop peur de jouir trop vite). Ce que j’aime ici, non c’est non et personne n’insiste. L’homme qui me caresse le cul frotte sa verge tendue contre ma fesse. Je passe ma main dans mon dos et m’empare de sa virilité. Humm ! j’ai une belle bite en main. Deux autres hommes se serrent pour me tendre leurs verges. Oulala ça commence fort, trois belles queues à branler. Pour protéger mes arrières, je me laisse tomber sur un sofa. Assise, j’ai leurs bites à hauteur des lèvres. Je les masturbe en détaillant la marchandise. Une, totalement décalottée avec un gros gland violet, une autre longue mais fine d’un beau rose bien doux, et la dernière épaisse, d’un beau volume, toute épilée. J’humecte mes bahis siteleri doigts pour mieux faire glisser les membres qui enflent ostensiblement sous mes caresses. Un des hommes appuie sur ma tête, pousse son sexe contre mes lèvres. Je sors la langue, titille son gland. J’ouvre la bouche, avale la queue offerte. Elle a un bon gout et me remplit bien la bouche. Les deux autres m’offrent aussi leur virilité. Bonne fille, je les prends à tour de rôle en bouche… Je suce, je lèche, j’avale, je pompe avec gourmandise. Je caresse, palpe, soupèse leurs bourses pleines… A un moment je lève les yeux, deux des hommes se pince, se lèche mutuellement les tétons et se roulent une pelle. Je vois leurs langues s’agiter… ce qui excite trop le troisième. Je sens un gout salé sur ma langue, prémices du plaisir imminent. J’accélère la cadence de mon va et vient sur sa bite luisante de salive. Je le branle avec deux doigts… ça y est, il jouit… lâche deux ou trois petites giclées sur mes lèvres… son foutre est épais mais peu abondant (ce qui m’arrange). Il se retire, la bouche pleine de jus je m’occupe des deux autres. L’un des deux me donne la main et m’aide à me relever. Il m’attire à lui, lèche le sperme qui macule mes lèvres. J’ouvre la bouche, sa langue s’enroule autour de la mienne. L’autre se fait aussi pressant, je sens son membre contre ma cuisse… je tourne la tête, lui offre aussi ma bouche dont il s’empare avec gourmandise. Puis les deux hommes s’embrassent à pleine bouche. Je prends leurs sexes entre mes doigts et les frottent l’un contre l’autre. Ils ne s’occupent plus de moi alors je délaisse mes deux amants. Je vais aux toilettes me rafraichir, j’aime ce gout salé sur mes lèvres. Je ressors fraiche et pimpante. Je m’exhibe un peu, appuyé contre une cloison, je caresse mon ventre, dégage une bretelle de ma robe et pince doucement une pointe de sein. Je retourne vers les Glory Hole. Les deux hommes de la cabine sont dans le renfoncement, le costaud est torse nu, le pantalon aux genoux, l’autre à ses pieds avale goulument un membre surdimensionné. Ce que j’aime ici, tu proposes et si le partenaire ne veux pas il dit simplement non. Je m’approche d’eux, glisse ma main sur la poitrine nue de l‘homme debout, agace ses tétons, il acquiesce avec un sourire, passe sa langue sur ses lèvres, invitation claire… je ne suis pas fan des baisers (trop intime…) mais comme il est assez beau et surtout sans barbe ni moustache, je lui tends mes lèvres. Il glisse sa langue entre mes lèvres et fouille ma bouche. Sa langue est comme son sexe, énorme. Je sens ses doigts sur mon sexe, j’écarte sa main, toujours cette hantise de partir trop vite.- Tu ne veux pas que je te caresse chérie ?- Pas pour le moment, mais derrière si tu veux…Il palpe mes fesses par-dessus ma robe. Je frétille du cul, redouble d’ardeur avec ma langue. Ses doigts s’insinuent sous l’ourlet de ma courte robe, écartent mes fesses, titillent mon œillet. Très chatte, je gémis doucement. Il retire sa canlı bahis main et me donne ses doigts en bouche. Je les humecte de salive, l’embrasse de nouveau pendant qu’il plonge ses doigts humides entre mes globes charnus. Il me fourre un doigt dans l’anus… humm ! c’est divin. L’autre à ses pieds l’avale toujours avec délectation, il me semble qu’il a encore grossi… – Tu la veux dans ton p’tit cul ? – Oh non ! elle est trop grosse… Mais j’ai envie de te sucer… Il retire son doigt, appuie sur ma nuque pour me faire comprendre qu’il est d’accord. Je tombe à genoux à côté de l’autre homme qui avale le gros membre. Je caresse et lèche ses grosses bourses un peu trop poilues à mon goût… la queue ressort de la bouche, j’en profite à mon tour et l’avale le plus loin possible. Quel morceau… j’ai l’impression d’étouffer. Je le pompe longuement, le partage avec l’autre qui me donne sa langue au passage. J’ai déjà pris deux bites mais je n’avais encore jamais sucé avec un autre… plutôt pas mal… Je sens une contraction dans ses couilles, son membre sursaute, il ressort de ma bouche, se branle… et gicle son foutre épais et crémeux sur mon visage, ma bouche… l’autre s’est reculé et j’en profite toute seule… je comprends pourquoi il a de si grosses couilles… elles sont vraiment pleines. Je nettoie sa bite, mais j’en ai tellement sur le visage et dans la bouche que son jus coule sur ma robe… Je les abandonne pour aller me nettoyer. Malgré le nettoyage, le haut de ma robe est humide de larges taches… Ils sont partis tous les deux. Le couloir s’est vidé, il ne reste qu’un vieux monsieur. Deux cabines sont fermées. Je promène mon petit cul dans le couloir et attends l’occasion. Plusieurs hommes arrivent, certains me touchent un peu mais pas un ne me plait. Je pousse jusqu’au coin sombre que j’affectionne, je n’avais pas remarqué l’arrivée d’un mec. Il est totalement nu, seulement vêtu d’une chaînette qui relie deux pinces à seins et qui descend sur son ventre jusqu’à un cockring qui enserre ses couilles et son sexe. Il bande un peu. Collée contre lui, je tire sur les pinces, les tourne, il gémit et bande plus fort. Je prends sa queue à pleine main, serre ses couilles entre mes doigts… Il hâtelette…- T’aime ça salope…- Oui… Oh ouiii !- T’es une bonne pute ! T’aime te faire branler la queue…- Oui… Oui… vas-y c’est trop bon. Je m’acharne sur ses seins, son ventre, son sexe. J’ai envie de lui faire mal… il bande fort maintenant, dur, gros. Je me laisse glisser à ses pieds en léchant son corps au passage. Je me relève pour de nouveau jouer avec ses pinces, ça m’excite trop. Un autre homme se joint à nous, le pantalon ouvert, la bite à l’air, bel engin semi tendu. Je caresse les deux queues. A leurs pieds, je les prends alternativement en bouche, au fond de la gorge. Le nouvel homme palpe le cul de mon amant, se retire de ma bouche et frotte son sexe contre ses fesses. Je me relève, j’ai envie d’être directive, maîtresse. Je plaque l’homme nu contre la grille, j’écarte güvenilir bahis ses jambes, lui fait cambrer le cul les mains accrochées aux barreaux. L’autre homme a compris et vient se frotter dans la raie culière. Dans cette position, je peux tirer sur ses pointes de seins, serrer ses couilles, branler sa queue. Je m’agenouille de nouveau pour le sucer, l’avaler à fond. De ma main libre, je branle le chibre du frotteur, il lui titille l’anneau mais sans vraiment le pénétrer. Sa respiration s’accélère, l’autre cambre les fesses pour mieux s’offrir. Je branle sa grosse bite sur les fesses de mon amant éphémère. Il se lâche, se vide les couilles sur le cul, entre mes doigts. Il se retire rapidement, je n’ai même pas le temps de le nettoyer. Par contre, je me colle de nouveau contre l’homme agrippé aux grilles, les doigts plein de foutre j’étale le jus, écarte ses fesses, le badigeonne de sperme gluant. J’enfonce mes doigts pleins de sperme dans sa bouche, il les lèche sans résister. Je le retourne dos à la grille, relève ses bras comme si je l’attachais en croix, tire ses pointes de seins lui arrachant un gémissement. Je frotte mon ventre contre le sien, il bande vraiment fort. Bien que ça ne soit pas mon habitude, je lui roule une pelle au gout de foutre. Je fouille sa bouche avec ma langue, il me le rend. Je sens son membre dur contre mon ventre, je le serre entre mes doigts… mais j’ai trop envie de le sucer… Je me laisse de nouveau glisser à genoux, je m’empare goulûment de son chibre que j’avale au fond de la gorge, je le pompe, le suce, le lèche… quelle résistance… je passe son membre couvert de salive sur mes lèvres, sur mon visage, le soulève pour lécher ses couilles pleines… je voudrais lui faire cracher son jus… mais il tient. D’autres hommes sont autour de nous et se branlent en me voyant à l’œuvre. Mes deux premiers « clients » sont de nouveau là. Ils se positionnent chacun d’un côté, la queue sortie ils se branlent… Une queue dans la bouche, je prends les deux autres entre mes doigts… plus salope ça n’est pas possible… Si car je les suce à tour de rôle… Quand je lève les yeux, je les vois tous les trois se rouler des pelles, ils jouent avec les pinces de l’homme nu, lui martyrise les pointes de seins… sa bite tressaute dans ma bouche, je la ressort, il se branle sur mes lèvres… et envoie la sauce… deux, trois jets de foutre onctueux qui s’écrase sur mes lèvres, mon visage… on me tire vers la droite, je reçois plusieurs giclées de sperme jusque dans les cheveux. On me tourne le visage à gauche et je suis de nouveau inondée de jus épais… Putain ! je n’en n’ai jamais pris autant… je lèche un peu les trois queues… Oulala je suis vannée… Je me relève, mes trois amis me quittent. Je m’essuie avec un sopalin avant de traverser le couloir pour me rendre aux toilettes. Devant la glace je n’en reviens pas, j’en ai partout… je suis fière de ma prestation. Mais je m’aperçois avec horreur (et bonheur) que je suis là depuis 2 heures et demi… Je m’enferme pour me changer et même si je n’ai pas joui, ma culotte est humide de mon plaisir… j’ai vraiment pris mon pied à caresser, lécher, sucer toutes ces queues offertes, sans parler des douches de foutre crémeux et onctueux.